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Arrivée au Bosphore

Arrivee au Bosphore
Au matin melange d eau salee
Aux intensites lumineuses d azur
D un soleil turc qui percent l iris
Bleu immanent d un regard orientable.
A Istanbul vers le present donne
Bosphore ouvert de vagues riant
Entre terre habitee crenelant l etendue
Mer naviguee de jaune bleu sinueux
Aux mille mouettes hebetees pointes blanches regulieres
Et un jour remontent liees au courant
Du pont de petits poissons passant par la
Le long de fils a peche et venant de la bas Ourals
Brillant sous le soleil sans poids orientes d est tendre
Quand l appel du muezzin se fait entendre
Dans plusieurs villes istanbules de bulles oxygenes. 31/12/2007

Au lointain au soleil la haut au ciel
Sur soi sur l horizon la bas sur la mer
En mouettes en nouvelle liesse
Au dessus du Bosphore aux bateaux sans amarres
Au dessus des toits mille minarets
En dessous les muezzins narrent et
Sens dessus dessous urbaine étendue
Sous mosquee à Allah rendu. 01/01/2008
Intuitif urbain
Laissez vous guider au fil des rues
Par un 6ieme sens rassemblant
Les 5 autres. En silence
La nuit rendu déserte
Apres ses activités diurnes
Effrénées.
Quelque soit nation ou paws
La musique fait la paix
D un chant amenant a danser
Son contenant jusqu’à scander

Fond’d'colline

Fond d colline
En percee citadine
Face aux flux anodins
Fond mare d cafe
Presage d autres faits
Paysage sous ciel feta
Etre seul et se refaire
meme un instant l univers
un contrat a soi meme
et a tout autour aime. 17/12/2007

Enigmes urbaines
D ou vient ce rapport urbain entre ciel et terre
Declinant du detail au mouvement un vertical air
Au terme d athenes gravies
De ces hauteurs en surplo,b
Sur l etendue ville sur un long
Chemin arrive sous un ravi
Rossignol d hiver en redoux
Durant un chant en douce
Pente rentrante entre agglomeration
Lointaine et parc alentour. 19/12/2007
Et si Dieu est la ville
Dans ses archipels d iles ;
Qlors son entierete disparate
Apparait pour faire disparaitre
Le chaos urbain en chacun
Defait de detours qu aucun
Ne devine qu autour de l Acropolis
L energie verticale des poles qui s y glissent.20/12/2007

Pensees perpetuelles
Pensees en mouvement perpetuel
Aux visages fondues inter individuels
Se connecter en collectif corthex
Catharsis reconstituant les ex corps
En fusion. La magie d entrer
Comme au fin fond d un silende de mer
Mele au gas oil quelque soient nos querelles
En choeur. 20/12/2007

Paris opiné

Paris opiné
J´aime ce Paris aux rencontres inopinées
Opiniâtres quand bien même restant au pignon
J´déteste c´Paris aux gens sans opinion
04-12-2007
des nuages blancs évadés sur fond de nuit
s´balladent gonflés en voiles par le large
ciel en errance s´y dessine un
infini esperrance les regagne en marge.
(après des voyages de nuage)18-01-2008
ni fin mais ce retour au début
résout souvent sa vie en rhébus
si vient parfois un départ prématuré
sourd du Hasard de part en partie renaturée.
Changer le destin
J´en sais le destin
Du mauvais sort
M´épargnant pour que sorte
L´extrait de l´Etressentiel.
25-01-2008

Den leipzigen Regnen

Wieder warte ich auf den Regnen
Quand l´homme à la minerve revient
Sur la large avenue de la Karlliebknecht Strasse,
Résonne un orage arrosé passé
Allein unten leipzigen Regnen zu sein
Au coin de la rue je me guette à l´affût
De rencontres détrempées après le déluge d´éclairs.
Seuls les mouvements intérieurs de la ville
En colique promènent ses alcooliques sous la pluie esseulée
La ville disperse ses scories aux vents cardinaux suivant les canaux
Pour mieux s´engouffrer dans les voies percées aux chœurs électriques.
La fréquence des tramways règle le temps disloqué ici, à l´image des immeubles délaissés en chaos fractal
Régissant l´univers d´une constellation citadine.

Über den Berliner Überlebens Bilanz


Berlin bleibt im frühlingshaften Wasser
Etwas stagniert in der Erde. Was hörst
Du , meine Liebe? Im Himmel fliesst
Immer noch die Liebe mit ihrem zärtlichen Lied.

Berlin reste sur des eaux printanières
Quelque chose stagne en terre. Qu´entends-tu, ma chère ? Au ciel coule encore
Toujours l´Amour et son tendre chant.

Berlin bleibt im frühlingshaften Sieg
Wie Friedensinsel im Wafenskrieg
Hast du Lust, meine Liebe, irgendwas,irgendwann zusigen
Dennoch sehnt sich die Sehnsucht auf der Suche zum ringen.

Berlin reste sur des victoires printanières
Comme l´île de la paix dans la guerre des armes
As-tu envie, ma chère de chanter n´importe quoi, n´importe quand
Quand bien même la quête dépendante cherche le désir jusqu’à la bataille.

Venez a Venezia

Venez,venez a Venezia
Signori e signore
Como como ne pas s´ignorer
Ballo, ballo gallegiante

Enfermée d´eau qui entoure
Inclose of watered gate
Venise vous absorbe sans route
Arrivant de nuit sur la lagune
Le Léviathan ouvre les portes
Invisibles d´une cité d´aucune
Autre partie du monde en sorte.

Le silence stagne sur les reflets de falots
L´indolence règne sur les flots.

Durant l´été vénitien le fauve
Somnole, ayant reposé ses ailes fausses ;
Il laisse ses places désertes au zénith
De jour comme de nuit et hésite
A sortir d´une tanière enfouie
De ses murs contournés et fuyants.

Le soir un mauve crépuscule essuyant
La sueur du jour bouscule ensuite
Le sens des chemins de canaux
Comme des machins dans l´eau d´anneaux…
Comme des machines de ronds dans l´eau…

Il y a ici un oeil intérieur urbain
Qui repose comme sur un bain
Sédimenté en séculaires bâtisses
Aux fondations d´abysses.

Chaque facade conserve ses genres
Aux hautes fenêtres rangées
Découvrant à peine son dedans
Car le félin peut montrer ses dents.

Sorti du fond de l´Adriatique
La posture bâti se tient hiératique
Nonobstant cet équilibre sur pieux
Faisant croire au miracle pieux.

Tel ressorti d´une mer lacustre
Des siècles de pierre lustre
Eclairent la « città » croupie.

Elle reflète même pourrie
L´image d´elle même somptueuse
Quand bien encore présomptueuse
Sur le restant d´un monde décadent.

Sur un miroir noir éternel d´eau
Dark watered mirror …

Tu te reflètes même quand tu dors
Odalisque ville lascive
Tu restes comme passive
Au fil des temps qui passent vite
Tu enfiles ton ancienne parure
De déguisement bleu à rayures
Tu glisses ton masque te voilant
Et te dévoilant seulement voulant
T´amuser, oublier l´ennui voilà
Qui accompagne tes fastes d´antan
Tu continues á drainer autant
De visiteurs touristes consommateurs
Tu serais devenu un parc ludique
Pour passants en mal d´être acteurs
Tu leur laisse un lassant circuit en italique
Au pittoresque circulaire italien voyage
Tu les perds en picaresque veuvage.

Et ici se charrie chargé le passé dans l´eau :::
Là trouver toujours la cadence…

Réunir tout le monde dans la danse
Dans un rapport entier à l´autre
Faire du bal un vivant manifeste
Invite tous à s´engager dans la fête….

L’Alchemia poetica

« L’Alchemia poetica »
Quand le corps a l’esprit, l’âme met au monde l’essence
Des rêves, vœux et prières qui vivent sur l’éther
Que feraient nos destins à exister sans eux ?
Que deviendrait l’humain sans poésie sur terre ?

De Valencia à Beograd via Praha ou Salonik
Parcourir des Europés salés et oniriques
Se perdre et se trouver en tout lieu d’élection
Voilà un sauf conduit avec prédilection.

Jusqu’en orient d’Afrique, d’Amer indes sucrés
Jusqu’au bout d’ un seul monde ses désirs assurés
En marchant se déroule l’ Amour vrai expansé.

Intrinsèquement à l’individu, l’entre deux villes relie
Tout ce qui d’extérieur à l’ intérieur se lit
En poème ressenti simplement en pensées.

Maggyar

Maggyar
Le signe d’un regard franc prend le pli maggyar
Bride échevelés les têtes en magie d’un art
Hybride de fougue chevaux en eux jusqu’aux orients,
Arqués dans leur pupille, se baignent des turcs riant.

Revêche hongrois va aux bains s’soigner les pieds
Ablutions à l’ancien luxe au goût éclectique
Fastes de Budapest in the common city
So fast, so fast,…
Breathfull, deathless, is more and more better
Farniente tous les jours d’l’été
L’art de ne rien faire d’autre qu’ avoir été,
Lascive Buda, la peste de hongroise aux yeux souteneures
Dans ses parcs de nature érotique aux senteurs
De zéphyr sud est à la chaleur ventilée.
De quoi se faire une lasse lente idée
Des mœurs entendues entre parfois gens sans égard
Et beauté passagères de la rue en regard ;
C’est encore l’eau retenue là que l’ amour garde.

« Ruhleben »

« Vivre calmement » comme l’U-bahn aérien
Qui glisse sa « mélandie » ferrée riant prussien
Rester en berlinois au spectacle des rues
Même si aimer être seul est durement rude.

Réatterrir sur terre berlinoise sablonneuse
Réagir avec tout le vivant naturel
Entre éléments mobiles et sédentaires truelles
L’humain en concentré, c’est dans la terre « ionneuse ».

Devant tous les « Leerstand », que faire d’autre que suivre
Les corridors grégaires, là où la ville s’enivre
De nouveaux mouvements, là où coule tout un sang.

Paradoxe métropole prises en contradiction
De campagne à la ville, quiétude contre addiction
Une harmonie pourrait prendre un collectif sens.