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A la Marquise

Marquisards Chez Mesdames à la Marquise
REf:
De fortune, d´urgence insalubres s´échouent
Hôtel 2008 (bis), leur loyer résilié
Campings éco-construits (ter) sanitaires surpeuplés
201o logements.
Leit:
Parait,paraitrait-il
Qu´à Paris, l´hospitalité
Qui s´moque pas d´la charité,
naît il ou est-elle?
L´hôpital faute d´hospitalité
Vers où va l´printemps expulsé…
Paris, pas rien.

Trêve hivernale échue
Crèves sans toit et chut
Rêvez d´autres accueils
Verts au printemps que cueille
Pris rien qu´un temps au seuil
Pauvre et sans logis erres seuls
Jolis (bis) logements expulsables
Des logis expulsions inexpugnables.

Second tour et paris ne va plus
Sable en sol, rien ne vient si pas vus
Les surpris pris au dépourvu
De´s´faire déloger d´où vers
Habiter reste une affaire foncière.
Foncièrement si une cité sociétaire ne recoit plus
D´habitants modestes en son sein , soit plus
La terre est cher plus l´air rendant
Libre de circuler s´expulse en dehors,
soit plus l´indifférence dedans s´endort.
Sommes nous avec ou sans maison? (bis)
Hôtes `*a l´endroit particulier? Mais on sonne chez…

Mondanités

MONDANITES
Semblant faux dans une cohue tohu bohu
Intercomplémentarités sans complaisance
Terre sans plus d’asile, ni d’hospitalité
C’est la charité qui s’moque d’l’h^pital et hue les bobos hués,
Car si à l’horizon c’est la débâcle et la déroute
Unissez vos forces centristes , Royal ou Bayrou,
En intelligence collective réformatrice, soyez l’air ou
La crise sociale deviendra incivile et subie :
Plus de pugilats, c’est un appel de salut public.

Refaisons un monde futur
Pour ne pas dire tu fus
Génération sacrifiée sur l’autel
De la société d’argent dans l’étau
Des consortium, d’intérêt et de taux ;
Contenter de consommation
Quelle régression sans onction
Réunissons nos volontés
Entières et sensibles en bonté face aux raccolleurs éhontés
Sans réelle proposition d’action
Ni programme pour les générations.

Devant la débâcle politicarde
our des querelles de cocarde
venons en à l’ essentiel :
s’il y a une essence au ciel
qu’elle inspire sans polluer
les démocraties évoluées
vers la chance d’utopies
à réaliser et générer au pire
dans la rue vécue en direct
une parole débattue ensemble.
Face à la propagande guerrière
D’une politique grégaire
Soyons plus responsables que nos vieux pères
De l’2xécutif à l’ Assemblée les 2 font la paire
A condamner et punir leurs plus jeunes enfants.
Sourions entre nous, car entre la souris et l’éléphant
La civilité engagée fait la civilisation
En aménités poétiques défaisant de viles actions.

ANNONCE PREELECTORALE

ANNONCE PREELECTORALE
Contre tous mots ineffectifs
Je n’ ai qu’une parole faite d’éthique,
Contre tous ces requins mesquins
Mon prédateur qu’est le mien
Se prête à l’ acte dompteur
De ses « mots que rit le tueur ».
Peuples plurielles, écoutez l’aède
Qu’ils puisse de ses ailes tétraèdes
De poèmes venir vraiment en aide,
De vos peines soulager le tourment ;
Seules les anges l’entourent
Et la muse s’amuse de ses tours
De « brevis vita » jusqu’à « Ars longa ».
Munis, munis, si pâles
In situ, in situ, en situation
Unis, unis sans râle,
Municipales en action
Commune dont les intérêts
Ne sont pas de se taire
Mais bien au contraire
D s´parler politique concrète
Au coin d´la rue populaire
Tradition française citoyenne
Inspiration collective dans l´air
Débattons ensemble en direct Car Marianne vaut bien la troyenne (une plus une = troise)( …)

Tu seras fus

„tu seras fus“
Tu serais furet
Et t´aurait-il tout fait
A tort et ferait
Dire la fierté
Pour un fief francais.
Fieffé fiel d´engrais
Envieux vieux jeunes en grés
Pour ceux qui seraient
En l´étau national si près
De la hâche aux récifs
D´un l^che sauveur Shériff
Dont l´ensemble affûté
Serait de tout refuter
Et si possible de fait en fût
Aura e uses effets…
Le temps mauvais a son meme complet gris
Ris pas Paris les condés sourient
Sur Paris en penitence
Rassasié en sentences potences.
07-05-2007

Pouvoir vulgaire

Pouvoir vulgaire
Campagne galvodée et versatile
Où chaque candidat s’estime utile
A l’identité nationale sécurite
Sans immigration c’est le registre populiste facile.
Vulgarités
Langues politiques vulgaires
Vos vulves manquent pas d’air
Vous asphyxiez tout de vos guerres
Intestines, anodines et vilaines
Utilisant de paroles vulgates.
Vous n’enlèverez jamais la fibre
Poétique sève élevée à vivre
En ressource dans un Paris (Paris se tait-il, s’éteint-elle ?)
Amuï par des media papparazzi.
A chaque jour son poème
Car jusqu’à la peau aime
Transporter une fragange
Au-delà de sa petite France en arrogance.

Des vieux sans veillée

Des vieux sans veille
Les vieux sans veillée, ne leur en veuillez pas,
Qu’ils soient sans action ou nouveaux réacs
Ils ont peur de ceux qu’ils ignorent
Et sacrifiant de jeunes générations dans une orgie du nord
Se rallient à la cause d’un plus fort pouvoir.
Sécuritaires sont les mitoyens ; qui est pour voir
Solidaire sur terre ? Citoyens, pour qui nos voix ?
Hey, Papy, ça boom, l’confort du plumard à ressort
Etl’conformisme, n’est-ce pas la mimétis du confort.
Ploucs et ploutocrates, au pouvoir les gloutons
Sans plus de respect ni pour demain ni pour les autres en qui nous luttons.
Eux prônant le respect d’autrui, aveugles de son prochain.
Avenir ou pas après eux, les catasstrophes fatales,
Peu importe la fin d’un lmonde qu’ils engendrent,
Pourvu que leur vieux jours soient peinards avec un gendre,
Proche du gouvernement . Soit tuer dans l’œuf fœtal
Les gueux à l’intérieur de l’Etat vulgaire sur eux.
Hosannah aux plus haut des cieux amoureux
A devenir mieux que l’homme moureux.
14-03-2007