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Indélébile agradation

Y-a-t-il ma terre dégradée
Graduation de matière à garder ?
Il y a au dedans animée une agradation
Hiéroglyphes organiques mûes par agraire action.

Pas débile
L’indélébile
Histoire d’un jet
Geste trajet
Voyage univers
« Tel un alizé qui t’aime »
Raconte-moi écosystème
Une mer ensemble
Détritus se désagrègent redonnant vie belle
À une entièreté aggravée en dégradé.

Février 2012

Transit Paris-Tunis/Tunis-Paris

Vue de Carthage- mars 2013

Survolant un ciel bas aux flots d’écume ouatées
la lumière étendue vogue en mue sur un toit de nuages
gazes de coton pansement de saison
en automne novembre vol de hauteur salaison.

Échappé en trouées la surface se découvre
en méandres de terre en traces situées
dès que s’ouvrent
les ailes altitude
déployant traversée d’Europe indistincte
jusqu’à la mer versée

Vers où voyage le jasmin ?
Entre diamètre d’yeux et parfums d’être en eux
Peuple à dieu a pris sa main
8-11-2011

Sarah et Suzanne

Quand Sarah arrive
Suzanne survient
L’une ne va pas sans l’autre
Car elles deux vivent sur
la même étoile jumelle
descendue en deux êtres
liées à l’ovule en double
Corps devenus œufs dextres.

Tunis, 6-11-2011

Kahlil

Forum social mondial, Tunis, 2013

Tissu tunisien en société activée
Quartiers autonomes font la Médina captivée
Quart d’automne fêté en liesse post-électorale
Fier d’être Tunisien électrique chorale
réunit l’unique cœur raffermi
par se sentir en ferveur entière
d’un peuple se grandir

10/12-11- 2011

atelier dessin au Forum social mondial, Tunis, 2013

Les rencontres s’effectuent
au détour du dédale
des hasards opportuns
se parlant là des dés
jetés de chacun
d’un coup d’homme
comme autre sein
si unis Tunisiens
Sommes-nous en notre sein ?


Korbus

« Nonchâler au chant in allah aérien
sous les châles des femmes ce peuple
les refrains des mansuétudes douces
dimanche automnal aux lumières vives
Des sucs des roches sulfureuses délivrent les pensées
cachées et anoblissent les coeurs des âmes étoilées »
Scribit Yasmine


Khalil

Partageons encore l’hymne
devant la mer du Golfe
Harmonique corde
aux doigts d’enfants
d’agapes folles
chœur de voix d’où le chant
s’improvise d’océan
par eux tous invités
s’asseyant en séance.
13-11-2011

Korbus

Bordure en soleil mer carthaginoise
Relâche un temps résidence gênoise
à la croisée en golfe d’étendues tenues
entre éléments de nature d’étendues
de roches continues à l’intérieur vagues
Sous un ciel d’azur que drague
Tunis unie de jasmin à la bague

Carthage, 14-11-2011

Transit Tunis-Paris

La ville est renversée
à son arrachement
giron panoscopique
sur son char lentement
L’ascension ne cesse plus
de monter vers les vents
Servants et servis
à l’instar en l’air
d’instants.
E(n)levée dans le haut des cieux ensoleillés
le bleu s’est écrémé
à l’heure délayée
de l’après-midi en lueurs
éblouissantes
qu’à côté bébé boit
d’espérance luisante.

15-11-2011

(Illustrations: Valérie de Saint-Do, mars 2013)

Voyage de Don Silvio Quicha

Del viaje 23-07-2009
S’il s’agit de créer du réel
Au mythe un récit sortant
S’il est agi d’être hors du temps
Dans l’espace du voyage le rêve vêle.

Refondre deux personnages de l’auteur
Et l’action nage vers des acteurs (…)

si c’est écrit d’avoir dé^à vécu
Alors écrire vaut d’être revécu (22-08-2009)
Si s’écrier dans les rues
Réussit à faire se réaliser sur (22-08-2009)

S’entr’apprendre côte à côte
Entre^patience et éréthisme
C’est bien d’en deux l’isthme
De l’humain d’à côté.

d’une rive à l’autre sol
Celle de Châlon c’est l’or
D’une côte des terres.

Note au benet:
question de l’autre détenant les clés de soi même
Question de l’humanité restante
Ouverture possuible de l’Etre.

Châlon dans la rue 23-07-2009
Va t’ en, va t’ en si divague ne signifie rien
Si tant va, si tant va la Saônne
A Châlon sur le port du son
Tant vont (bis) les Actions
Accent circonflexe
Sous l’ carillon bourguignon
Et un soleil jaunmillon
D’une rive à l’autre vertige
Châlon n’est plus, n’a plus la même
Perception de ville en festival
Répété en rue estivale
Le spectacle tergiverse
Sans action, sans aimer
Ce vivant d’imaginaire
A transmettre dans l’air
D’un partage d’instants
En émotion de moments.
Leitmotiv:
Que du in, pléthore de off
Programmation saturée
Poudre aux yeux assurée;
Plus de sens, plus d’étoffe
Rien qu’ennui et régression
Sans esprit de création.

Prélude:
Allons, allons
Dans l’port de Châlon
D’isola en isolement
« De la tour doyenne
Sans parasie fixe »
Trois cygnes vitesse moyenne
Remonte le courant en lys
Jusqu’en amont d’un sol aimant
Limaille de pont roulant
Sous le vent enroulant
Des nénuphars aux tournesols;
il s’agit d’un sol à retourner.
retournes toi châlonnais
Alors ça d’où l’on est
La ville naît du port
En activité d’âge d’or
Industrieux révolu.
L’action du rêve dévolu
Détourne les débris
Du monde débridé
Déconstruire sur un réel
Une concrète utopie surréelle.

Achalandise d’compagnie
A Châlon finit par nier
L’originalité, la singularité
L’hymne en hilarité
Tout s’ressemblant
Tous s’consommant
Font semblant
Et alimente l’ mensonge
S’en nourrissant sans songe.
Où est la magie
Enfant châlonnais
De cette image innée
Du théâtre vivant qui agit?
Les arts dela rue
Se prostitruent
d’enzymes bouffant
Tous azymut l’bouffon
et son rôle d’agité;
Sommes nous dolent
Et souffrons nous
De nan,tissement et d’anéantissement?

Rien d’autre
Que bon public
Voulant du prêt à
Applaudir les tarés
S’entre imiter
S’être limité
A l’applaudimètre;
alors faites donc quelque mètres
Direction l’port d’Châlon
Là où les véritables marchandises
Débarquent encore
sous la forme
D’actionneurs
De site, de synergie vrai
Que chacun peut délivrer./..

intermezzo:
changer l’absurde échantillon
de la vie sourde et esseulée
Dans un passe temps anti chambre
Où seull’ange de l’espace le sait.

Retour déambulatoire Saônne 24-07-2009
Ref annonce:
Sous le pont,sur le port d’Châlon
Coule la Saônne, coule le son
Sur le port de Châlon.
Suivant son chemin de halage
On a l’âge en allé.
Allons, allons de Châlons
Rdv 21 h en bas du bastion haut.

Alors, alors, suivons la Saônne
Jusqu’auson des silos
Passésous l’pont tablier
Aux fréquences des bagnoles liées
Traversez la brèche engrillagée
Pour arriver dans cette île âgée.
Du port en friche changée
En oeuvrement d’chantier réactivé.
Imaginaire vivant d’lautre côté du pont
Vaut mieux que spectacle pondu;
L’esprit ôte et vous accueille
Dans l’rurbain au seuil
D’Châlon outre pont
Dans la rue du port esseulé.

En Avignon 28-07-2009
(au pied de la Vierge hommasse au traiy d’un pape)
Menez un memuet, ménestels;
En avignon dans ses murs vaut bien une Grand Messe
Nouveau Pape et vieux spectacles, dames et messieurs,
Vous présentent le pouvoir d’insignation
De cette vierge vénale dorée à la résignation.
Avez-vous remarqué sa main droite assignant
a résidence l’ Europé volée au soleil insignifiant
Couché d’autres Ethnies spoiliées?Depuis Charlequint
L’Europe reste claquemurrée et serve.
Montez jusqu’au calvaire « en quinte
De tout » (dixit Alain) mérite au moins quelques vers.

Où se met l’accent du Théâtre? 29-07-2009
Circonflexe et opiniâtre
En vorthex est l’âtre
Tourbillonnant d’une voix tard
Le soir auprès de Catharsis
Cirque d’une scène car si l’Art
Circulaire est un feu allégorique;
Alors, allez tout de go onirique
Proscenium miroir d’un réel inversé
En imagianire ambroisie servie,
Ambrosiaque ambre insomniaque.

A lo’extérieur en les murs
Résonnance » et tonitruance
Dans les murs en murmure
Le théâtre coule du Rhône en Durance endurant.

(au pied de la Sorgue)
Les ombres de la Roue à aube
Tissent dans l’eau des rets
Tel un métier jusqu’à l’aube
Qui tourne sans jamais s’arrêter.

(au Delirium)
Quand les nuages s’embrassent
« La mousse des arbres » dixit
Aux herbes d’oiseaux (…)

Transit 13 (Châlon-Montpellier-Lodève) 25-07-2009
Fréquence différente au niveau des paysages
Ressent variablement nuance d’paysage
Perception de valléee en Bourgogne traversée
En train parallélise l’auto qui se verra.

Des champs au confluent de Saônne en Rhône s’évase
La ville de la veille en souvenir s’évade
Jusqu’au prochain pays suivant se découvrant
L’envoi véhicule change en gare routière rouvrant.

d’autres régions au sud d’ arrière relief se voient
au fil de successifs pays qui se perçoivent
Entre guarrigue et vigne l’Hérault quitte le plateau
Méditerranéen pour celui de là haut
des Causses au Cévennes va la veine en voie fière.

L’eau aide et rêve 26-07-2009
Encaissé entre deux hauteurs de pente
La Soulondre méandre sous les monts serpente
La Lergue plus large arrive en aval des Cévennes
Les eaux de Lodève aide de loin en pré les sèves.

Près des berges du cours sale dans l’eau des canards
Nettoient tout détritus de ceux qui marchent et narrent
jetable dans leur marre
des cons qu’en ont marre
Sur la rive mosquée s’entretient l’amène place
D’éco-système dans l’rurbain de petits univers espaces.

Sommes nous sous Londres ainsi pour oublier Lodève?
Où est passé leur monde ni d’Adam, ni d’Eve?
Quiétude inquiète passée faite en vain grognements.

Bien au sud du Hâvre y-a-t-il encore un âvre
De poésie tolérée être sans rien de grave
Symbiose humaine avec son environnement.

Le génie Sylvain 27-07-2009
Le génie Sylvain serait un puits d’inspiration, au gré des pensées arpentées.
Le silence d’un chemin accompagné développe les idées traversantes jusqu’à saisir « l’ingénieux » (« Hidalguo »)
(quand le mythe devient réalité et que le réél se mythifie)

Réflexion sur le mouvement^perpétuel:
comment dans un vide- puisque l’univers est constitué d’anti-matière, générer à partir d’un input un mouvement^perpétuel (révolution atomique) « ad vitam eternam », permettant une production d’ énergie.

ni regret, ni nostalgie, ni mélancolie.

Ayant un sens d’observation intuitif inné, il collecte les informations infra ordinaires non remarquables pour une collecte sensible d’un ressenti proche des choses vivantes.
Hasard poétique d’occurences rencontrées au fil de pérénigrations, de détails perçus, d’objets insolites…
N’y-a-t-il pas noté à Lodève la particularité des portes massives d’entrée, correspondant à des entrées majestueuses révolues et le patronyme récurrent de Sancho chez les commerçants.

Le bonheur est évanescence
Seul survit le désir fugace
Dans un instant naissant
que la vie agace.

A propos de Montpellier:
Hyper centre historique hypertrophié
Place de la Comédie des terrasses consommées
Esplanade aboutissant au vide décaissé
Dalle commerciale de transit terminus
Ville nouvelle Antigone déconnectée 5aucun accés de ce côté, aucune liaison avec le centre)
Jardin public oublié dans la citadelle
Coupure de la voie ferrée
Hotel de ville monolhite
Tour solitaire
Palais des congrés lointain (Le Corum)

Transit 14 (Avignon-Bologne-Venezia) 30-07-2009
Défilement de pensées souvenirs sédimentés
En suite d’horizons animés et aimantés
Au métal de la route se forge l’entiéreté
Faire du voyage flash d’idées triées l’été.
31-07-2009
Entre sommeil et rêve une conscience chemin
Sans temps à décompter ou à déterminer
Nul part continu à rouler vers l’absolu
Imaginaire sans terre en esprit résolu.

Images accumulées se déversent en vrac
Sensations si saoûlées s’étiolent de loin en vrai
Fatigue prolongée jusqu’en évanescence.

Nouveaux reliefs lointains se rapprochent en vitesse
L’espace cadré ainsi sur la vitre s’évite
Les yeux cherchent et se ferment pour évader l’essence.

Bologna en dérive 30-07-2009
Suivant l’appel intuitif de ses rues anciennes
S’éconduire (…)
Découverte di Bologna par Sylvain
Viale Massimiliano Bruno :
A la sortie de la gare, parc en hauteur déconnecté du carrefour, un peu à l’abandon, un peu oublié ; fontaine d’eau dormante avec feuilles mortes et 3 tortues sculptures en son centre.
Le long d’une rue en bordure du parc pour arriver sur une place de marché-
Changement de direction à gauche le long d’une via sous les arcades jusqu’à une des portes en ruine ;tour complet de la porte au milieu de carrefour puis prise de direction :
« Qu’est-ce qui t’a fait prendre ce chemin ?
pris le passage d’l’côté de l’arche, y’a d’intéressant d’l’autre côté. »
C’est le coin des habitations
Entrée dans l’hyper centre historique, côté université :
« on dirait une école »
Arrêt sur fresque : « on dirait l’ Espagne », en considérant l’architecture de brique et un campanile à section carré rappellant celle d’une autre ville d’université, Salamanca .
A nouveau changement de direction, à gauche, longeant une petite place parking, encore à gauche une autre oblique de circulation, borfé d’une venelle déserte.
Nouveau corridor de circulation aux arcades.
Prise de direction vers la Piazza central.
Découverte d’une cour cloître au trompe l’œil à la Danaïade Pan.
Série de 3 cours intérieures jusqu’à une artère radiale.

Transit 16 (Bologna-Ancona)
Déplacement d’espaces en direct
Du temps traversé rectiligne;
L’espace voyage en imaginaire
Paysage transit d’Allégorie;
Le temps s’écrit en métaphore innée
Dirigée en transfert corps récit.
L’histoire se fait entre réel temps
Et Espace; se passent les Choses entre eux;
Entre réalité et rêve rejoints.
Le trajet raconte et gère loin
D’un début une trame en cours
Sans terminus d’un train en course.

Transit 15 (Venezia-Bologna) 07-08-2009
Tôt le matin partent les pensées
Le long d’un paysage en paix.
Arrêt sur gare aux gens sur quai;
Se levant leurs rêves s’attendent quand j’ai reçu
Oeil pour oeil le soleil levé
D’une lumière de conscience réveil.
Le réel reprend sa course changeant
Ses toiles de fond sans gens
Entre monts et vignes en premier plan
Echelle entre choses accessibles en mieux.
Nouvelle station s’écrit Monselice
Pour me dire « Lis ce mont »
Et suis ton rail rapide t’éloignant
D’un pays à l’autre du lointain au lent
Il y a se succédant plusieurs correspondances
Changement de sa vie de train du temps répondant.

Poesia ontologica 07-08-2009
(Venezia-Bologna-Ancona-Pescara-Arsita)
La Métaphore du temps dans un tour
De potier peut être un espace détouré
Axiome du réel fabriqué
Théorème de temps détourné
L’allégorie est une barique et
D’espace au temps s’est retourné.

Ecrire l’évènement poétique en direct prend d’autant plus de sens que le réel s’écrit et l’écriture se réalise (cf trajet du Valfino)
Que s’écrive le réel
Que se réalise l’écrit.
03-09-2009
L’écriture se pose a posteriori
Se poste et ose se postérioriser.

Théorème sur perméabilité temps/espace.
A considérer l’écriture comme du temps et que le temps s’écrit (postulat),
L’espace voyage en imaginaire paysage.
Inclusion du temps (transit) dans l’espace:allégorie
Inclusion de l’espace (trajet) dans du temps (transfert):métaphore.
Direction espace/temps:allégorie
Direction temps/espace:métaphore
Note au Benet:
revenir un an plus tardsur les mêmes lieux pour faire les points entre les mots
d’un ou neuf ans: l’écriture peut se recomposer avec sens à partir d’écrits fragmentés en
divers lieux mais avec le même fil ontologique.

Trajet du Valfino 08-08-2009
Revenir là où tout s’est perdu,
Retrouver du sens dans l’insensée
Poésie située entre choses d’air pur.

D’aval en amont qui sans l’Un sait
En lacets s’enlçant
Le Valfino coule son chant d’été;
Son torrent printannier a été
Effritant son lit de pierre en poussière
Gravier rappellent la Matière à celle d’hier
Qui des phénomènes naturels repoussent
Le passage du gué humain jusqu’au souper.

Gravir au déjeuner la pente raide
Des monts pour atteindre l’alentour
D’un regard de sommet vrai t’aide.
Atteindre la plénitude qui allant sous tend.
Siest se pose là sous chêne ininterrompu
Remontant son tronc de fourmis rompues
Aux activités agircoles à l’image des laboureurs
Champs contre champs là-bas sous leur labeur;
Revoir içi ce même papillon soeur battre
Des ailes ou repartir quand le son du tracteur
S’interrompt de près en loin crissements de porcs réacteurs.
D’acteurs humains aux éléments animaux
De là haut Gran Sasso dell’Italia surplombe
L’ étendue insaississable de son point sur
La terre endormie un temps en minéraux,
L’autre réveillée en sursaut séisme
Ramenant l’humain aux drame et misère.

La tragédie ne peut être animale,
Si il y a eu catastrophe si mal
La fatalité condense l’erreur
Humaine dans l’heure
De son chaînon manquant.
Je me lève devant cette chaîne d’Abruzzes
Epaissi de nuages de pierre à la terre usée
Et m’en vais redescendre jusqu’ en vallée;
Cette couleur entre cieux et terre avallée.

La tête prise dans leur hautes cimes
Les pieds s’alourdissent comme ciment,
A refaire le chemin inverse
Sur certains décombres renversés.

Des éléments du réel viennent toujours ponctuer
Un trajet abstrait en quête chemin onctueux
De l’intérieur conscientisant tout de l’extérieur
Qui du transit au trajet découvre toujours réitéré
« D’insensée Poesia » un sens au jour éthéré.
Ecrire avant de vivre
Les choses s’inscrivent en réel
Une fois écrites elles se révêlent
Et les signes sont partout autour (« Umwel »).
Qu’y a-t-il de sens profond
De revenir sur les lieux.
Inspirés d’eau et d’eux liés
Font en soi des ronds fondamentaux
(Des « fondamente aux fondations)

09-08-2009
L’ancienne faille ne s’est pas cautérisée,
S’est rouverte en récurrente blessure;
Bien sûr rien ne peut encore autoriser
La catastrophe à rester plaie sur le blé.
D’orage en pluie torrentielle le ciel lave
La terre chargée d’électrons vulcains
Pour les changer évaporés en ion chacun.
Le beau temps revient sur les traces de pluie
Dégageant un ciel azur sur la crête mâchoire,
Les cendres scories se liofilisent en huile
Tellurique veine coulant jusqu’en été un soir.
Sang festif libérant les victimes mânes
Emportés brutalement, fantomes s’émanent
Dans un hommage in voto exutoire
Vorthex mémorable rendu vivant exultant.

Musica come risoluzione
Faire un avec le monde par l’instrument
Au p’tit matin les Abbruzes transhument
Et descendent le temps en pente douce
entre générations la vità dolce
Continue d’accordéon en synergie
Et chants plein d’énergie.

Transit Le Sole me colle 13-08-2009
Au loin de cette mer d’huile le rayon vermillon
De soleil du matin nous envoie ses millions
D’ions una matina de Sardaigne inconnue
Etendue d’une peau d’eau comme vers ta terre reconnue.

Ton soleil m’ a collé à l’horizon signé
D’esperanza départ pour l’Espagne saignée
Amour de tous quittés s’en retournent plusieurs
Sols des cieux amoureux pour ne plus tourner seul.

de ceux entier partage des Abruzzes tellurrées
Léger multiple unis que son assuré tel
Dis leur la direction des cuore réussis.

Corps entiers retransmis, Deus temps réuni
Réel espace vécu, déesse de a niente
Transmets leur d’éternelles beautés telle la tienne.

Transit 17 (Civita Vecchia-Barcelona)
Il n’y a plus d’exclusivité à aimer plusieurs à la fois.
Léger multiple à l’unisson qu’à un certain nombre nous réussisson.
Intensité partage fait que bien acquis est l’autre dans une liesse d’ensemble:
Sintonia entre lingua.

Arrivée à Barcelone
Rencontre avec un nino qui ne cessait de regarder le ton
de ma voix, m’a dit sa mère.
Voeux vers lui « del viaje de la vidabuena fortuna ».
Promenade noctambule
Sur le récent projet « La Rambla del mar », système de passerelle et de retrait de pont sur verrin.
Une grosse opération de nouvelle centralité reste déplorable avec aménagement
extérieur public anecdotiquement en levées de terre esthétiques, oblique de point de vue où personne ne va.
En revanche de l’autre côté, Barceloneta reste un tissu habité plaisant et proportionné à échelle humaine.

Euskadi (d’hier à aujourd’hui) 14-08-2009
A chaque architecture différentes modénatures
D’une europé qui s’est inventée içi
Europe américanisé par l’Espagne
Là-bas l’Espagne européanisant l’Amérique
Hybride Euskadi inventant l’Europé après, avant l’heure
Hospitalité « euskade » qui s’ moque d’la chârité chrétienne
Gens au tempérament entier d’un caractère de personne
Âge fusionnant trait pour trait l’Occident inefficient
Entre Bavière, Suisse, Italie et France du sud
Ouest reste récalcitrant sans suffisance exagérée
Et aimant les frontières depuis hier jusqu’à au moins
Autonome demain avec langues intégrées de pierre
Autrement « euskadi » qui a dit qu’ eux sont espagnols?
No màs que reempezar el Ayumiento
Al ayumiento (bis)
Los màs (ter)
La masse de l’air (bis)
Acquae sourcières
A quoi sert
ça s’passe entre tous les Etres
Entre les montagnes et l’ Ayumiento
Irun ironie de l’enropie de l’Europe
On trompe qui en Europe?
Euskadi!
Là uù l’aval se déverse el canttue
Del corazo encor court corre entre cuerpe euskadie.

Irun « a paese » 15-08-2009
Irun Ella que mejor
La voix se trouve dans son coeur
Chantant timbrement l’ Aurore
La rime est partie terrorisée.
« Euskara, ya que busca »
Entre lengüe
Détourner les images
ça change les messages
Trompe l’oeil au regard tronqué d’Amélie Pouliche.
A la casa d’Irun
Du béton qui s’affronte
Aux gens appartemment « de binotz » (dixit el cantuor)
Etzetera cante il cantuor
De « cabron »
« Piensamienta la strachera »
Puerta de la condicion del mundo
De las estrellas consuelas
Demaciado una seguida conocida.
« Erabaki deza kegli
Faxismo
Eta Seximoari Ez!
Euskal herria antifaxista
Moskako antifaxistak 09″

16-08-2009
Fishing (bis) the stars
Pisser, pêcher les étoiles
Euskadie dia por Dias
Recréons des sortes de religions (El Cuyon)
Rêve créé athé partagé d’oiseaux
Parallejos Paese somos nosotros
« Por que yo », màs lejos tu eyo
No duerma la unità, Pelote basque (vasco)
De Osteria ou c’est rira…
A peine écrit , proféré sur le champ
Le chant des gens d’içi et de là bas;
Enchevillé à Euskadi.

Irùn 16-08-2009
Retrouver les traces du sites et de son histoire évolutives sur place en direct d’un ressenti fait partie des premières impressions situationiste : hôtel Dieu axé sur le fronton, l’hôpital postérieur en retrait et fermant la place alors que ce fut une ouverture pour le bétail arrivant des montagnes pour étancher leur soif dans les abreuvoirs du bourt de la place.
Trajet de l’eau : marécage du parc- puits(proche de la fontaine)- soupirail dans l’axe des rues descendantes- abreuvoirs.
Place champ de foire avec jeu de pelote basque mettant en enchère les bêtes sur pied.

Moskaku in Irùn 17-08-2009
Après une soirée finale sur la place en liesse, le direct votif produit des fragments de textes improvisées sur des musiques partagées à plusieurs dans le chant, seul vecteur commun.
18-08-2009
L’inspiration collective peut agir concrètement sur l’individu, regénérant à travers chant et dans l’aménité humaine.
Il est étonnant d’être porté par l’ensemble réuni à l’unisson et de réinspirer soi comme toi simultanément avec les choses de l’âme une indivisible ressenti synchrone.
Il est curieux quand tout ce partage en liesse s’est estompé, de constater une sorte de psychose paranoïaque dans le tranquille quotidien de cette ville de prime abord avenant, mais dont une défiance plane dans l’air ambiante due sans doute à la délation ou la surveillance constante .

Burgos 18-08-2009
Entouré de campagnes agricoles cultivées aux pentes descendantes, Burgos est un gros bourg au fleuve de berges arboricées et bien vertes.
Elle reste pour l’Espagne bien abreuvée en période sèche et d’un agrément aprécié des gérontes.
Elle fait en effet ville du nord avec son tourisme urbain autour des monuments religieux omniprésents de style gothique flamboyant, baroque ou classique pour les édicules.
Elle est surplombée d’un castello restauré, plus intéressant pour son parc forestier, faisant toile de fond à la cathédrale, et son belvédère la surplombant et présentant son Hinterland de champ à blé environnant.
A partir de 23h les rues se vident alors qu’elles étaient remplies à 20 h.
Elle respire une ambiance de bourgeoisie jamais obtenue par sa ruralité mais consolé, concédé à sa gentrification urbaine de ville moyenne.

Madrid (Fuego Tierra) 19-08-2009
« fui sobre agua aedificada
Mis muros de fuegson »
Sobre un muro de la calle de Cuchilleros.

Alimenté par un petit cours d’eau discret, Madrid reste une ville de l’intérieur des terres d’une énergie tellurique ressentie des pieds (Calle Lavapies ?).
Notre arrivée de fin de journée sur la province de Madrid nous a fait traverser un paysage semi désertique du nord castillan érodé aux blocs de pierre rappellant ceux de l’Arizona.
La ceinture périphérique est vaste et à l’échelle des nœuds autoroutiers dont les bouches se superposent sur deux ou trois anneaux radio-concentriques autour de la ville.
La ville traversée par des artères rapides en tunnels ou auto ponts laisse des vacances d’interconnexions de voies à la proche périphérie de son hypercentre, marqué par l’axe vertébré de sa gran via.
Se laissant éconduire à pied par la déclivité topographique, la découverte de quartiers de « La Latina » nous fait découvrir au bout de ses rues le pôle centripète de placettes récemment aménagé en leur centre de jeux d’enfants.
Il est tangible de remarquer l’afflux et l’ attraction naturelle des passants autour d’un espace public réel, créant une sédantarisation tmporaire et inconsciente à l’espace.
Remontant la pente, faute d’étancher sa soif, il appert que la ville manque d’eau et de fontaines l’éconduisant.

« Ruto de Don quijote » 20-08-2009
Suivant de Tolède à Madrilejos, la route du Quijote,
nous ont apparu des moulins à vent sur la crête des monts, près d’un castello puis au sommet de hauteurs surplombant la petite ville d’Herencia,où nous avons fait étape pour une collation suivi d’une sieste dans un agréable parc municipal aux tourterelles (dont le chant me rappellait la volière de ma mère).
etant dans un paysage aride aux oliviers et vignes sur les côteaux ocres, l’étendue d’un demi désert sous la chaleur se prêteaux mirages dont a été vraisemblablement le sujet de Quixot traversant pendant des journées entières cette terre entre songe et soleil.
excité par les traces existantes d’un cadre naturel du mythe, le suivi en pourrait être « el volver de los dos Hidalguos Quichà »: le retour des deux chevaliers Quichà.
N’étantqu’à moins d’une centaine de kms au sud est de Toledo, je peux fort m’imaginer l’ingénueux Cervantès en quête d’inspiration dans ces plaines à moitié désertiques jusqu’à la rencontre de deux quidams autochtones du coin l’ayant conduit sur ces chemins de desserte de terre…
La Mancha, terre de granit bleu gris et de vent sans sel ; au pied de los Molinos de Herencia sensation des géants dans le vent chantant contre les ailes devenues métalliques du moulin.
Du haut de la crête près de leur giron, l’étendue majestueuse d’un 50 kms de rayon d’oiseau vous procure cette sensation aérienne de voler tel un géant ailé à 7 lieues à la ronde.
Pays éole inspiré et expirant une inspiration de solitude quiete comme ces moulins vivants « encalados », blancs de chaux.
Or il m’en chaut de releir les 2Manches au Miguel, comme je l’ai signalé à la taverne d’en bas.
Hasta luego, Pays!

Note au Benet:
« tu restes là une journéé à tout vent venant et tu deviens ta propre girouette, amigo Alano. »
Notre symbolique port en terre de chute en la Mancha, e qui viva, le tout vent va!

Toledo-Méthode d’investigation des villes à pied avec carnet à la main. 20-08-2009
Après une première marche propédeuctique, arrêt par point de départ.
Découverte de figure sculturale de cervantes après porche.
Détails appareillage pierre :modénature andalouse.
Topographie rue grimpante :vue axiale extérieure de la ville (car inclosion, cluster’s town).
Présence aigle bi-céphale.
Soupirail défait : »boca de riego ».
Bibliothèque régional jouxtant palais Alcazar «armoirie de la ville ».
Refigure de Quijote et Sancho :comment les deux figures se sont précisées dans leurs représentations ?
Panorama sud est :reconnaissance territoire.
Kiosque PVC/métal.
Architecture moulin au loin ressemblant à clocher de la Mancha.
Deux plumes rappellant Quijote et Sancho dans une venelle déserte.
Rue Medina-bifurcation-montée ou descente (aguas de Toledo).
Descente sur un flanc sud de la ville :moins de touristes.
Clocher d’église :la mère à sa fille (« zona azul »).
Fontaine avec eau sur placette :présence granit bleu gris et d’habitants rassemblés (Plaza de San Justo).
Arrivée sur cathédrale (Calle del locum).
Plaza Mayor (Teatroderojas).
Lieu de passage touristique.
Cathédrale dans l’ouverture d’une percée :fronton aigle bi-céphale.
Panorama passage dans rues de la place cathédrale.
Rue arrière chevets :montée et descente puis remontée,suite logique parcours).
Pensées perdues.
Découverte panorama nord ouest aux monts lointains de Toledo.
Recircuit touristique.
Clocher monastero en rue.
Deux aigles frontiscipes sur deux façades scrutant deux directions différentes (bifurcation :choix rue rétrécie).
Fers sur iglesia.
Belvedère « Bajada de San Juan de los reyes »

(préalable : ne jamais revenir sur ses pas)
Observation infinités détails incongrus.
Comment se ré-orienter.
Comment recoller élément puzzle abstract mémoire à différentes échelles territoires :changements d’échelles.
Pour une école environnementale, urbaine et territoriale.

Toledo (bastion castillan de la Mancha) 20-08-2009
De nuit elle surgit de son promontoire altier, désorientant son jour de découverte ; elle apparaît majestueusement surplombant son large fleuve, la détournant de la moitié de son périmètre.
Elle semble inaccessible tant sa hauteur grimpe sur les cimes face à ses monts de Tolède.
Les pentes sobnt raides et passent par des portes distincts aux points cardinaux.
Une fois en ses murs, plus de panoramas, que murs droits et impénétrables, puis au détour d’un croisement de rue une percée visuelle fait découvrir les alentours de collines au loin dans l’axe.
Tout est( en dévers, rien de plat, même pas ses places, présentant dans son œil intérieur urbain de cité gardé les dispositifs monuments, symboliques et institutionnels à la ciudad.
On peut retrouver l’influence arabe dans les ouvertures andalouses et un tissu de labyrinthe de venelles en medina.
Le rapport au sol est primordial, en jure l’invention architectural d’un passage faille telluri-béton dans le sol abrupt d’un côté de la citadelle.

Valencia de noche 21-08-2009
Arrivée sur avenue fréquentée en artère pénétrante la ville comme son fleuve disparue faisant la césure entre centre historique et extension.
Son Hinterland de vallée fluviale et fleurie fertilise toute une région richement agreste.
De nuit par auto elle vous perd inexorablement et paradoxalement par une trame régulière et irrégulière de ses éléments physiques (fleuve césure, port excentrique, centre reclus, artères tangentilles).

Comment d’auto,arrivant en ville la perception suit des fréquences d’échelles variables en fonction de son rpérage et de l’attraction du vide centré.
comment est prise la bifurcation à tel endroit précis ou aléatoire rétrécissant un périmètre d’approche à pied: passage d’une échelle à l’autre.
chemin continué à pied abouchant à la place.
Sensation diverses d’une géométrie tenue.
Détails observés: tentures pliées de jour, filin de pêche sur immeuble.
de quelle manière la ville génère, procure des types d’états sensibles aux ambiances changeantes variables: comme une sorte de météorologie du temps qui passe dans la ville, d’épaisseur dans la ville.
De la gravité urbaine à la gravitation citadine.
Cartographie active:
nouveaux vides d’attraction de constellations urbaines
désorientation permanente sans repère des éléments physiques naturels: rio, mar.
artefact de bioparc (coulée verte)

Valencia restant insaississable à l’intellect est bel exemple de nouvelle ville au système régénéré, à l’organisme muté à la symbiose (high tech, bio parc) surprise et surprenante.
Exemple du jardin del Tuja à l’aménagement paysager intégré aux architectures structurelles.

Transit 18 (Barcelona-Paris) 21-08-2009
De gare routière grégaire, un melting pot condense
Départs et arrivées sans meeting plot en danse,
Sans savoir rencontrer au lieu d’un terminal
Au transit de cent pas terminant l’ermitage.

De estacio servicio le temps d’un plein remplit
L’espace entre deux pas d’inattendues séquences
A connecter entre elles ainsi autant quand c’est
Aussi inopiné que devant un tremplin.

De situations nées d’arrêt spontanément
Saisis dans l’instant lié en plaçant aimantés
Les trajectoires trajets se croisant recroisés
D’occurrence et hasards coïncident en soirée,
Sur l’aire reposé d’un rassemblement fortuit
Dans l’air échangeur d’heures voyagent seules les Fortunes.

Retour du périple Voyage de Don quixchà 22-08-2009

Baie de Somme

Baie de Somme – Le Crotoy 20-12-2009
Déconcentrée la ville se disperse espaces sels
Arrive la campagne aux brÈches temporels
Soleil en baie de Somme
La Somme eau vent soleil s´additionne
Sur l´étendue du sable mêlé à la terre
Terre d´estran au chenal profond
Fait de plus près la mer au front
Lointain aux silhouettes à l´entrée.
L´embouchure avallée d´amygdales collines
Boisées au dessusdesquelles l´eau qui ne part
Revient ronger la côte qu´à la vesprée du soir
Jonction de deux grandes surfaces où se rencontre l´horizon albâtre.

Sur la peau du Pô

Sur la peau du Pô

Sur les berges du Pô sinueux dans Turin
Romantique se pose Près d´arbres noueux l´urbain
Le long du fleuve stagnant à cet endroit précis
S´apercoit un beau cygne filant droit et si près
D´une mémoire d´Ôrmante il revient au loin fier
Du coté de cette rive coule le long d´un fief
Aux ambiances allemandes de naturelles hâleurs
D´une peau aquatique mue d´italienne chaleur
Changeant d´autres villes ailleurs.
Mon coeur amoureux de la montagne à la lagune passe de la haute oxygène à la noyade.
Il suffit de quelques sentiments
De l´autre manquant à sa rive et
Face à un port comme démonté
D´un coup arrivant sur la viale Piave
Entre Calle congregazione e me piuve…
Fleurir como uomo andro
Veut chercher un lait dans l´eau?

Note au Benet:
L´hypothénuse de Turin
3d filmage: prendre cadre serré détail travée d´un monument dans l´axe de rues perspective perceptible.
2D carte: déterminer les angles de carrefour d´hypothénuse intersectant les longueurs concourrantes.

26-08-2008

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Delfi

Delfi
Gravir a nouveau la montagne sacree ;
Amene au site que le grec ancien crea.
De jaunes bleues mesanges accueillent
Au sifflet strident et a l espiegle oeil
Par le sentier emprunte par un chat elfe
de ces mondes chtoniens qu offre Delfes ;
La rocailleuse en surplomb de profonde
Vallee. Se pose d abord face a l onde
Du ciel un perimetre esplanade au dix
Simples colonnes alignees presentant l edit
D une montee decouvrant un panorama
Meilleur au niveau du demi cercle
Des rois d Argos e,brassant le paysqge
Penchee entre arbres. Du mur polygonal
A l arriere du portique des Atheniens
Base d offrandes Tarentis ; peribole
Pri,itif ; escalier dolonien ; Exedres.
Sejour des oiseaux races varies
Entre zigzag de chemin ; le rossignol est toujours la
Pres du tresor des Beotiens
Et celui des atheniens
A l edicule classique
Le rocher infractueux de lq Sybil
Au seul lierre a son pied
Le piedestal du Sphynx des Naxions
Portique des atheniens du boulenterion
A l autel d apollon amplitude
Des alentours pour au dessus l emplacement
De son temple en face le pilier de Prusias 2
Sur fond de roc ,ontagneux aux memes nuances
Colories de granit rouille
Fontaine d Asclepios
Peribole archaique
Cha,bre d Antinous
L Ischegaon
Scene du theatre ou la voix creuse
Sous ses pieds endalles une resonnance
Vibrant du larynx au talon grace au vide
Sous soi ; une acoustique peut monter en hauteur.
Direction le Stadium ; point le plus culminant
Decouvrant la vastitude d un lontain continuant
Pendant qu une longueur de jeux d athletes
Se campent en dessous d une ligne de crete.
Une fois la hauteur atteinte un axe decale
Se devine suivant une trace venant de vallee.
Et la commencant a redescendre tout
Finit par s articuler entre pieces
Sur un meme talweg suivant une invisible
Oblique a flanc de montagne.
Lecon d architecture appliquee a la
Geographie des lieux in situ sacral.
En contrebas sur le versant ; les vestiges
Du gymnase verifient le trace des monuments
Alignes sur le flanc de visu dont les extremites
Du parcours glorifient le corps entre stade et gymnase
Le theatre et les temples d Apollon et d Athena et son peristyle point le plus bas ;se dedient
a l esprit et l ame.
05/01/2008

Den leipzigen Regnen

Wieder warte ich auf den Regnen
Quand l´homme à la minerve revient
Sur la large avenue de la Karlliebknecht Strasse,
Résonne un orage arrosé passé
Allein unten leipzigen Regnen zu sein
Au coin de la rue je me guette à l´affût
De rencontres détrempées après le déluge d´éclairs.
Seuls les mouvements intérieurs de la ville
En colique promènent ses alcooliques sous la pluie esseulée
La ville disperse ses scories aux vents cardinaux suivant les canaux
Pour mieux s´engouffrer dans les voies percées aux chœurs électriques.
La fréquence des tramways règle le temps disloqué ici, à l´image des immeubles délaissés en chaos fractal
Régissant l´univers d´une constellation citadine.

Tarantella calabrese

TARANTELLA CALABRESE

Retrouvés au milieu de l´arrière
Pays calabrais c´est comme la prière
Devant un paysage de contrées mélangées
D´arragonnais, d´irrelandaise orangère.

Se sont rassemblés là par ces temps de nuit
Insoumis et révoltés ces calabrais
S´insurgeant en véhémence contre l´ennui
Bourgeois, aimant cette terre qui l´embrassait.

Vraiment depuis Pythagore un théorème
Antique plane sur un paese varié,
Si ce soleil ardent brille en anathème
C´est bien marqué sur des visages ravis.

Authentiques caryatides à l´horizon
De la montagne à la mer via la maison
Il y a ici une sacrée vue d´aigle
Ile sur terre perchée à vol d´oiseau
L´âme oiselle garde bon oeil espiègle
D´une tarentelle comme passée au doigt
De Dame tarentule comme pris au piège.

Des crêtes surplombent les oliviers
Fragments de paysage de partout survivent.
Les récoltes d´un sol gras nourrissent en vivier ;
Les traces d´une primitive Thrace se suivent.

Par la mer ionienne venaient les invasions
Par le fiume ont laissé des influences
Etrangères générant des ions d´évasion
Echangées les âmes erraient en confluence.

Jusqu´où reviendra le sempiternel chant
Scandé à l´unisson d´une vrai région ;
Jusqu´à quand continuera l´air éternel
Dansé ; nous irons réunir la légion
Joyeusement emmenée sempre par Elle ;
Belle Tarentelle regarde dans son giron
D´amoures suprêmes emportent peut être la Terre.

Dans ces mélodies anciennes traversant les Etres
Trance ancestrale est sienne si se versent les autres
En musique bacchanale entrez en trait
D´union thracienne entrant en tarantelle été.

L’arbre à penser

L´arbre à penser

Dans le creux d´un arbre
Pousse heureuse une pensée
Montante en branchebras.

La naiveté
Accorde sécurité
Mieux que nier et voter.

06-05-2007