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Über den Berliner Überlebens Bilanz


Berlin bleibt im frühlingshaften Wasser
Etwas stagniert in der Erde. Was hörst
Du , meine Liebe? Im Himmel fliesst
Immer noch die Liebe mit ihrem zärtlichen Lied.

Berlin reste sur des eaux printanières
Quelque chose stagne en terre. Qu´entends-tu, ma chère ? Au ciel coule encore
Toujours l´Amour et son tendre chant.

Berlin bleibt im frühlingshaften Sieg
Wie Friedensinsel im Wafenskrieg
Hast du Lust, meine Liebe, irgendwas,irgendwann zusigen
Dennoch sehnt sich die Sehnsucht auf der Suche zum ringen.

Berlin reste sur des victoires printanières
Comme l´île de la paix dans la guerre des armes
As-tu envie, ma chère de chanter n´importe quoi, n´importe quand
Quand bien même la quête dépendante cherche le désir jusqu’à la bataille.

Élections des voies amoureuses

Electre a su choisir l´intérieur élu
D´une belle oiselle dont avec l´oeil lueur
Elle voit celle stellaire de l´étoile au soleil
La seule voix chantant l´énergie d´eaux là-haut.

Du poisson à l´oiseau se véhicule l´eau comme
Une âme oreille interne entendant un peu l´Ohm
Un humain pareil là à la tonalité
Près si se précisent les pensées oralités.

Transport télépathe et un brin papillonnant
Via vecteur patenté au désir sillonnant
Entre terres, mers et cieux harmonieusement.

Des elections finales désignant enfin
La verte voie d´une femme en hymne sur son dauphin
Au vote Amour centre sans le nier heureusement.
27-04-2007

Intensités d’être

Intens

Essence du ciel

Sonnet en essence du ciel

Tout corps jour en toi

Tout corps jour en toi
Tous les jours en ton corps
Joue l´infininvisible
Fluide doux infini visible
Rêve toujours et encore.
De toi à moi la fin d´une cible
Tape dans mille dicibles
Con Poisson et coeur coron
Se pénètrent fronts contre front
A l´intérieur des forts
Tendre oeil dans l´odeur d´yeux
Se cueille au seuil
De ton jour et tout sort.
06-03-2007.

Ballade à l´infante

Quiconque arrive à la cheville
D´un coeur enchevillé
Quinconce entre eau et rive aimée
Rend le rêve véhément.

Fluidité d´sentiment l´été
Esquive c´qui a été
Amoureusement oublié
De son âme aubier.

De 6 à 8 pieds
J´reprends tous les vers à l´envers
Comment à nouveau l´air
Revient en refrain épié.

Et si l´amour fait grève
J´me verrai dégrevé
De l´être éternel
Et créverai en terre de grès.

Mais si, si mirer le sol
D´un sol au ré d´humeur
L´amant qui se meurt
Trouve un chant d´amour soleil.

C´est là qu entre les deux amants
L´infini huit est monté
Jusqu´à cette saison
Et si personne n´avait raison…

Adieu ma belle Infante
J´n´suis qu´un éléphant
Qui de l´homme à l´enfant
Saura de qui l´enfantera.

Je sais tu chanteras
Un écho hantera
Mon oui étendu,tu vois le 8
D´un oui mêlé à ta voix d´huitre.

Refermes bien l´écrin
De ce que tu n´as craint
Car si l´amour est hyménée
De 8 à 8 l´hymne m´y a mené.

10/10/2006

Ballade à l’Infante (II)

Quiconque arrive à la cheville
D´un coeur enchevillé
Quinconce entre eau et rive aimée
Rend le rêve véhément.

Anges jumeaux passent et là restent
Sous l´arbre jumelle terrestre
Pleurant ses eaux égoûtantes
Leurs Oreilles encore écoutant
La mélodie pas trop dégoûtante
Inspire par pauvre et belle
De leurs yeux un peu comme Elle.
10-10-2006

Novembre en toi

Novembre en toi
Mon membre en toi
Se tient droit
Novembre entre toi
Et moi c’est étroit

Vois ce dimanche novembre vibrant
Comme un cœur nouveau et brillant
Dans ce lendemain d’ excés ;
Une chanson légére devant ceux excédés.
Respires alors ce froid d’hiver rasséréné
Que nous procure l’étoile rare sirène
Saisis donc ces dés du hasard heureux
Pour que cette vie soit une chance aux heures.
Goûtes souvent cet instant novembre moment
De sérénité ambrée et aimante.

Décembre et toi
« j’sais plus dormir sans toi »
D’un mois à l’autre trop et tous ces gens
De moi à toi et les autres se toisant
N’est plus sans hormis cent étoiles

Etendre ce moment de décembre sur toi
Avec des yeux de si près magnifiques de toi
Fait ressentir aucune fin en soi
Et tend mon ëtre jusqu’entoi.
Au sentir vrai et proche de tes perles
Entières et intérieurs j’acquiers de l’air
Pour mon âme et dissoud les contours
Entre corps et monde tout contre toi.

Aimer me consacrer à toi
Serrer sous serment pour toi
Je vais dormir vraiment en vers et avec toi.

Sonnet à l’organe

Sonnet à l’organe
Insoutenablement en ces heures retenues
Un sentiment ténu s’enferme détenu
Derrière ses paupières dessinées de silence
Seules existent tes beaux songes clos peignés en cils.

Impertubablement en moment détendu
Une expression placide glisse en ces traits rendus
Devant son minois roi lisse sous la paix d’içi,
Ton miroir d’avant laisse le trou(ble) se dissiper.

Irrémédiablement entre corps ignorés
L’amour de diable en peau règne sur le cœur renié
On rit des oripeaux de nos âmes androgynes.

Indubitablement tu endors la nuit
Je durcis ma bite et ma mie m’amuït
Nous ne sommes maintenant qu’au début d’une origine .
21-10-2005

Sonnet à l’or manne
Main saisissant un sable sur ta peau paresseuse
Agace ce désir et passe encor caresseuse
Un dénuement complet d’épiderme dénudé
Me fait tomber dénu dans l’humide nuée.

Fol frisson court sur le long insaisissable
D’ une échine hérissée en reliefs chérissables
Une sensuelle attente par elle seule excitée
Me fait différer l’acte sexuel en elle seule.

Qui de nous commencés atteindra la douceur
D’une approche génitale de nos sexes soudeurs
A peine pénétré s’obtiendrait le plaisir ?

Qui de nous aimera recommencer rester
Au centre de nous deux en accordée terrestre ?
Tu ouvres enfin tes yeux dans lesquels je sais lire.

Sonnet à la mort d’un amour
Mon approche timide faite de maladresse
Respecte inimitée ce flot à l’âme tendresse
Vers toi indifférente inofferte aux avances
Réitérées des mains cherchant l’autre en cela.

Ta réserve inavouée ne laisse pas une adresse
Sans écho je suis voué à un destin dantesque
Sans toi aimante et là l’entier élan s’en va
Et nos ébats se perdent débattus et lassant .

Aucune rancœur au cœur rendu pour prêter
Ainsi encor à peine né l’amour arrêtait
Rien de plus ou en moins en rencontre acquittée.

Tacite entente à deux entêtés à teinter
Implicite attente d’autres amoures qui s’éteint
Nous nous sommes simplement finalement quittés.