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Vivre tout intensément

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s´aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
Sans dent m´indique en m´aidant
Un soleil d´automne refait.

Au delà de l´amour l´âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l´attache donnant malant
Plus rien à l´autre s´en allant.

Là calmement sur la place
D´une fin de journée lasse
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action.

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m´aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l´Un, maman.

Jusqu´où ce soir couchant
Inspir un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D´un indien autant décrié ?

Hein, dis moi conscience avisée,
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grands tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l´évidence
Durant ceux qui dansent
D´un monde de faux semblant
J´exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet évènement
De sa vie en avènement.
21-09-2005

S’aimer

Quand le temps se prend entre tes jambes
La joie d’être entre tendre et dur semble
Sur toi sur le moment intensément
Echange en va et vient s’aimant.

Encore au plus profond rentre
Ta pupille fondante tant
J’y bois la beauté ambrosiaque
La baisant comme l’eau braise.

Au matin de nuits fiévreuses
L’amour reste avec ferveur
Pour la fierté heureuse
D’exaucer un tiers deux vœux.

Deux désirs si ardemment
Voulus font d’une paire d’amant
Un amour mûri au fruit
Sans licence souriant sans bruit.

Voilà aimer c’est un tout
Trouvé même un peu partout
Seulement voilà, c’est toi
Par émoi qui m’donne un toit.

Entre deux pointes tes seins
M’apportent un nouveau dessein
Attendre un moment opportun
De d ésir voluptueux transport.

Inlassable et raffermie
Ta peau prend un air raffiné
De sable odalisque oisive,
Vois là la musique que voici :

Sidorémilasifasolla
Cî dort rémi(niscence) lascive
Face aux seules essences actives
S’agite émérite au flirt
Ni sens ni rêve aux fleures heures.

Effleurée d’onctions heureuses
Jeu d’un joli moment exaucée,
L’âme sort ô comment exorcisé
Corps ciselé au long d’un sexe hiss é.

Ne rien faire d’autre que s’aimer
Laisser seule la grâce semer
Son fécond silence bienfaisant
Bien être ensemble là se faisant.

Effusion d’instants fugaces
D’un « fucker » et de sa garce
Comme en premier envol
D’oiseau aimé et volant
Aller jusqu’au bout de l’hiver
Pour un printemps d’hirondelle.

Le temps n’est rien d’autres qu’ailerons
Qui battent à chaque respiration.
Le cycle repart après expiration
Des espaces immobiles d’îlots ronds.

Viens,viens donc sur le dos d’un frelon
Voir,voir le renouveau fredonné
Par tous les instinctsamenéset donnés ;
Adonnéeaux instants de longs relans
Se relancent en verte montée
De trances diurnes éhontées.

Devancé d’un désir d’aimer
Alchimie de deux êtres aimés
De deux flux conjugués en cœur voyant
C’est un stade suprême et semé
D’un partage heureux et vivant.

Liquide inné et éthéré
En équilibre invétéré
D’une équidistance avérée
Car qui est libre , aime et verra…

Un centre entre univers lointain
Et vecteur de cœur atteint
Dessine un point déterminé
D’être ensemble terminé.
Doux paysage en ta peau
Pose mes gestes patauds
Enlevant mes oripeaux
Ton parfum dissoud ma peur.

Puis, s’épuise ainsi flaire
Puisse être exaucé que l’air
Soit autant ce corps que faire
Se peut encor être flirt ailé.

En allant encor aimé
Etre talent et heurté allé
Devenant l’attente de tes heures.

Nature entièrement profonde
De l’âme uni au monde fondu
Sans râture écrit la volonté cible
D’être également bonté libre.

Etre lié à l’autre belle d’hier
En température bêlière alliée
C’est d’abord quitter un confus hiver
Et à venir à l’ été enfin plus vrai.

Immédiatement vulnérable et vénérable
L’amour est un sirop d’érable
Qui sucre nos veines d’arbres
Grandissant et renaissant dans tes bras.

Son écorce tendre durathème
Ne dure qu’un « je t’aime »
Elle se laisse entailler
Pour que mon suc s’en aille.

La sève alors remontera
Des racines, sera sans honte
Devant tes yeux inouïs
Fleur d’une âme épanouie.

Les fruits pousseront Là où nos promesses seront Comme une vie certaine Confiance recueillie et sereine.
Un goût d’éternité durera Baume d’ un palais rare Entre nous c’est l’histoire interminable De l’humain sans drame minable.
05-07-2005

Jusqu’au bout

JUSQU

Square de la république

ANNONCE DU MARCHE SQUARE DE LA REPUBLIQUE
Mesdames et messieurs, apprenez que votre ville
A été choisie pour que l’hôte se livre
Au génie collectif et à la poésie de chacun
Au coin d’la rue pour alimenter à jeûn
L’ annonce faite aux montreuillois
De vos vivantes exquises citations recueillies.
Déposé dans l’urne montrée,l’œil roi
Sourit aux passants à l’écoute de ses voisins.
Entendez,entendez d’une entière saine voix
L’appel constituéde vos spontanés fragments
Dont la disparité peut imaginer la fragance
D’un dialogue improvisé sans arrogance.

Place de la fraternité
Rendez vous demain place de la fraternité
Pour à deux mains sans retard avec l’éternité
Dès 14 h prendre sans vergogne l’ entonnoir
Portant votre verte voix en verve et sortant du noir
Vos phrases recousues en un bel habit
De dialogue voulues d’ histoires d’habité
D’habitudes, d’habitus bêlées par l’habitant.
Entonnant les tirades de mes concitoyens
Se donnant je pirate et trouve les moyens
A chaque angle de la place d’inventer un dispositif
Vivant d’architecture dans l’usage positif
D’un jeu non monumental de « carchétype »
Pour chacun inventant son personnage type
Allant parcourir d’un bassin de plan deMontreuil
Ses mondes en découverte sur la place en société
Avec l’aventure ouverte des hasards à satiété
Dans l’urbain imaginé de parcours de Chevreuil.
Jeu de cartes, de dés et de trajets
Sur la place de la Fraternité
Avec l ‘art de l’aménité
En fin de journée j’aurai
Incarné l’âme du lieu
Dit soit chantant en passant
Soit ensemble à plus de cent.

POUR LE LENDEMAIN
Venez, venez dès lors dès demain
Goûter à la cantonnade demandée
Une recette inventée à partir d’ingrédients
De vos extraits de phrases déconnectés et dingues.
Cuisinez avec musique et violons d’ Ingres.
Venez, Venez voir l’or d’un métal
De nos âmes partager une sorte d’étals
D’ateleiers vivants en direct pour rire, écrire et chanter
Un livret par vos soins décriés et enchantés.
Soyez, soyez alors tous bien inspirés
De grâce et d’opéra ensemble respiré
Pour là où tout un chacun irait rêver.

Rue de paris
Crieur, bonimenteur et animateur
Dans la rue pour chaque animal acteur
Que vous êtes en face en face, confiez
Votre phrase qu’elle soit conne ou fière,
Elle s’intègrera au dialogue
Potentiel pluriel décalogue
Inventant une poésie directement
Pour rencontrer ouvertement.
Laissez, laissez vos phrases
Vos colibets sans emphase;
Donnez, donnez vot’mot
Votre vision d’un autre monde;
Imaginez, imaginez, l’utopie
D’une utopoésie chantée en ut pour pie:

Chantre enchanté des rues animées,
Chantes et chantes en corps aimé
De ville en ville deviens l’aède
De vie en vie dix vins t’aident

Douleur amer racontée en doléance
Couleur d’une mer à côté de l’anse
L’heure rencontrée coule d’une danse
Ensemble d’une contrée aux cendres de lait.

Olé,olé donnez sans charité
Puisque vous êtes invités
Vite un verbe,desmots pour arrêter
Dans un poème le temps à l’éviter.

Si ,si mon Montreuil m’est découvert,
C’est soufflé en discret coups d’air,
Inspirant le fond de l’ âme nouvelle,
Et trouvant le trésor d’une venelle.
Entre l’Être et l’urbain s’ouvre
Souvent le mystère vouivre
Des lieux intérieurs cuivres.
Les hasard détournés démontrent
Les arts où naissent des monstres
Beaux comme des caryatides
Car rien en carence rides
Ne vieillit plus vite que la ville, que l’oubli du temps livide
Et de l’autre si vide…
Si, si jeune Montreuil ne veut vieillir.

D’âme et d’éternité
Dame, dame c’est comme donné
Eh toi ne nies pas d’exiiister
Ni soi, ni un coup de dés
N’honira jusqu’où il ira
Pour vivre un peu en voyage
Juste un p’tit moment de partage.

Merle arythmique guilleret
Non loin du parc des Guilands
Siffle à la ville ses hauteurs
Pour le bonheur de ses auteurs

C’est quand il le paraît
Paraît-il qu’il en rêve
Sur son île de paix
Plaît au soleil sève.

Et s’il est encor vrai
Vraimentenniivré
Vers les feuilles du vert
Ver de terre à l’envers.

Avalez alangui
La saison sans le gui
Chanter toutes les heures
Par ces mots que rit le tueur.
C’est la lueur du printemps.

Annonce de l’Aède
Conscience au jour (le jour) acheminée
Un jour une science s’anime et
La poésie se vit en art
D’être ensemble enfin ardent.
« Içi même où m’aime l’endroit »
Vous êtes invités à laisser vos voix dans
L’urne ci-jointe à la missive
De chacun ainsi immiscé.
Ainsi l’un après l’autre écrits
Se pourront vos phrases s’écrier
Sur la voie publique reconquise
Par le festival de la banquise
De l’autre iceberg de l’un en qui s’
Imagine une réponse à l’ atome.
Dialogue potentiel devenant tome
Décalogue nouveau ,une encyclopédie
D’habitants acteurs sans obédience
Libère d’une solitude cyclope et dit
« Je suis par ces mots »que l’aède redit.

Montres toi Montreuil
De mystères à proximité restent inconnus
Sur tout un territoire des plus méconnus
Quotidien et ordinaire deviennent
Imaginés en carte devinée
Utopie et poésie rassemblent
Lútopoésie d´un ensemble
D´habitants se remembrant
Oeuvrant au rythme découvrant l´`ame
Des mondes au seuil des oeils de Montreuil
Se recueillent les ambiances le long d´une treille
Citadine … pointillés sur la rue d´un Paris
S´éloignant .

D´un profond silence naít l´écho licence
Habitants, habité et habitus
Vous avez besoin de tous
De tout un Montreuil naít un coeur science
Qui, où et comment
Est-ce donc en somme
Additionné que c´est la somme
Face à l´informel des pensées
Le vrai talent des mots
Est de suggérer, d´associer
D´inventer les moyens
D´un savoir moyeu.

Laissons place à l´imaginé
Pouvoir se déployer en génie,
Heureux d´inventer la réalité
Changeant sa banale trivialité
Ca c´est l´envers des pensées
Secrètes inversées et incensées
Ca ce sont les essais inspirés
Librement en impros transpirées
Ca et là les aléas se dissolvent
Au contact de là où se résolvent
Les problèmes en théorème tissé
D´invisibles créations inexistées.

Si chantée ensemble est la mélopée
Enchantée semblant perdre les mots,
C´est un jeu aléatoire méli mélo
Du festival de chacun mélant tous les mots.

Mise en enchère de mots

Qui dit mieux?
A qui mieux mieux, Et pas de miaou,miaou
Ni de bijoux, joujou
Mais des remous
De mots pour nous.
A vous d’dire
Non mais sans rire
C’est du jamais vu à la télé
Pourvu qu’on leur allaite
encore une nouvelle alerte.
Apprenez moi vot’quotidien
L’air de rien, c’est le tien
A ton tour d’m'souffler
Tiens , histoire de jouer
Ton mot anodin
Sans s’ dégonfler
9a peut êt’le sien
Par hasard d’ un coup de dire
Je renchéris sur un mot à mot
Des fois qu’çà f’rait tourner l’moteur
D’histoires naturelles à Montreeuil.
Qui dit meilleur?

OPERAoké
Opéraoké sur Montreuil
Ok c’est l’oeuvre en tout oeil
Et courant tel comme Chevreuil
J’y vois au moins les gens au seuil.

Seul devant eux face à la ville
J’évite tant d’m'anihiler
Et s’il s’agit de raconter
Autant faut-il caracoller.

Car à côté entre vos dire
Outre un prétexte d’un audit
Il en naît des mots trésors
Inconscients au palais rose.
(Il en est des mots trésors
Inconscients dans un palais rose)

Il y en a des mots trésors
Car à côté entre vos dires
Outre un prétexte d’un audit
L’inconscient est un palais rose.

Et s’il s’agit de raconter
Autant faut-il carracoller
Seul devant eux face à la ville
J’évite ainsi d’m'anihiler

Et courant tel comme chevreuil
J’y vopis au moins les gens au seuil
OK c’est l’oeuvre en plusieurs oeils
Opéraoké sur Montreuil.

La chanson casée de Montreuil
Sur ce livret d’or
Votre mot ivre dort
Lâcher un mot ou une sentence
Au vol inspiré des poésies assauts au ciel
Pour constituer un corpus associé
Auprès des passants vers une chaîne se ressentant:

A mesure que s’accumulent les bribes
Et fragments de chacun, un brin débridé,
S’écrit en filigrane l’inconscient d’un chant
Hymne automatique vivant et réenchanté.

Laissez avec votre dédicace vos coordonnées
Afin de vous réinviter pour ordonner
La création en direct d’un « vivant exquis »
Décidé selon votre gré et génie qui sait?

Ainsi au final aurons-nous un livret
Ensemble rassemblé pour avoir délivréé
Une libre composition non plus auteurisé
Mais en collectif opéra opéré autorisé.

Immense amour

Immense amour
Chasser le spleen jusqu’en Poçlogne
Ecouter l’hymne quand dans sa pogne
Retentit
Le manque en l’absence résonne
S’absoudre sans que se perdent les raisons
De ressentir du repentir .

Des étés rentrent, restent les raisins
De mi-saison mûri sous un astre serein
Derrière les nuages l’hyménée dans le gris
Dissoud l’imaginé grandie.

L’immensité s’ouvre avec altitude
Des pays ne dépaysent plus l’attitude
Dégagée d’être un autre heureux présent
Sourire pleinement à l’humeur d’une autre heure se prenant.

Vom judischen Friedhof bis Zion Kirsche
Prenant le temps d’automne, arpentant ce cimetière
Les pensées s’attachent tant à cette lointaine terre
Promise et ressentent le miel de tes yeux
Le fruit d’amour tombé éloigne l’ennuyeux.

Marchant entre les tombessous la saison bruni
Ton souvenir partout se trouve réuni
Dans un parcours partant avec cet écureuil
Sur tes cheveux de robe, au même bel œil curieux.

Le chevreuil se dérobe devant glands et marrons
L’amande déborde de cœur dans cet air marrant
Désinvolte en face celle qui a la clé du cœur
Car d’une nécropole au seul lieu gagné
Le soir flâneur ramène ton amoureux regard
D’un regain vif de source au son, lacté de son corps.

Immodérée

Immodérée et
Immobile odeur
De l´hyménée
Aux étoiles aimées.
C´est un trajet droit
Au coeur qui passe par un détroit
Périlleux des sentiments humains.
Vaincre sa passion à mains nus
Occire la souffrance crainte
Dépasser l´idillle répassée.
Un amour sans sujet amuit son être
Et résonne la nuit sans echo à faire naître.
Alors restses lié à l´essentielle sincérité
D´un partage en ancienne union héritée.
Tempérance sans tempête de juillet,
Etanche un fond d´âme mouillée,
Même si l´été avec toi me manque
Non loin de ton anse
Je mouillerai mon ancre
Continuerai à couler une encre
De mon sang oxygéne sans que
Cet odyssée ne fasse perdre mon cran…

D´arrêt…
Image restée
Magie éthérée
De l´amour
Sans loi, ni mort.
C´est un arrêt momentanée,
Jolie mome de l´année ,
Qui suspend l´évolution
De nos coeurs en révolution
Dégager le nuisible
Deviner l´indicible
Défaire léntiéreté inquiète
Faire un le présent quiet
Une amie objectale suffit-elle ?
Ma mie érectale erre futile
Alors restes ailé dans la lointaine randonnée
Avec le ciel beau et net à donner .
Echange humain et céleste
Etanche l´unité sans plus d´ordre à lester,
Même si l´automne sans toi arrive
Non loin de la rive
Je dormirai en ta beauté
Demeurerai là où sera tombé
Mon âme offerte sans être oté
De l´éternelle nuée modérée…
Et aérée…

Eros d’Ethios

L’éros d’Ethios en rose

Vue de la route ton corps
Voyage en paysage
Passé de la montagne à la mer par péage
Ce n’est pas simplement un pays contemplé
Mais tes formes amoureuses qui en font tout un temple.

Ressenti du jour plein ta peau seule adoucit
L’heure d’ une lueur regardée sans souci
Il arrive que le temps s’oublie et disparaisse
Derrière ces callipyges collines grecques de paresse.

Caressé en vitesse l’excés parfois atteint
Ton décolleté des sommets en teintes
Ton ambre sur la contréese change alors en or.

Goûter d’un nombril nu un soleil de désir
Rougit sur tes joues et ta lune rousse de plaisir
Surgit sur ton paysage corps sage qui s’ endort.
29-08-2004.

Vert amoureux vers Sienne

Sous les oliviers de l’été rôde
L’anima de ses yeux vert émeraude
Le vertige amoureux prend la couleur
Du paysage versé en toscane hâleur
Farniente en milieu de journée Hosannah
De niente le lieu prend l’âme d’ Annah
Belliza.

Terre de Sienne brûlé a pris le vert
Persienne de ses vieux volets sévères
L’horizon en claire voix de reliefs rondeur
Dégage un vol d’oiseau entre des collines d’odeurs
Le soleil surplomb dore les airs perchés
De villages en pic de chaleur sur une chère peau
Bellissima.

San gimignano n’ignore pas sur ses versants
La vertu de l’harmonie servant
Au-delà de ses tours et vers des détours
De touristes dans une ville musée détournée
De parcours parfumé entre oliviers , cyprés
Et figuiers extravertis dont le vertuheureux naît si près
De Lizabelle.

L’imaginée Aimée

L’imaginée Aimée
Par ton image aimée je réalise l’ampleur,
Face au néant toisé, du monde espérenpaix,
Un et humble devant toi , j’assiste sans peur
A la naissance année d’autres univers pensant.

Plaît-il à la magie animée d’ une année
Il est agi de rêve aimant comment planer
Point d’inflexion à deux, c’est tout de même t’aimer,
Qui des réflexions seules, m’enchante de mieux en mieux.

« A tout à l’heure, mon cœur », d’un sol au ré d’humeur
« tu me manques et si vite » il tend résolument
« A demain sous le toit », immensément t’aimant.

Inconscient actionné d’ axiomes amoureux
A l’écriture enjointe de joie reçue sur eux
A la gamme uni vers notre air mêlé maintenant.

A deux doigts

A deux doigts
A deux doigts de situer
Tout cet amour longtemps si tu
A sa place tant dévolu
Je jette tous mes dés dévoués

A deux doigts de jouir
Je les mets sans jouer
Au fond des lèvres inouies
Dénouant mes nuées nouées.

A deux doigts de ne rien vouloir
Tout devient aussi évolué
Que nous deux ainsi envolés
Dans l´idylle avoué de nous voir.

A deux doigts de parvenir
Ensemble au plaisir parvenu
Notre embryon est emparé et mu
Ala fois s´est grandi d´avenir.

A deux doigts de partir
Vers la mer variable. Roulons,
Tu jouis, je situe, nous voulons.
Doit-on arriver à lárt d´en rire ?
Doit-on ?
Doit on ou non se quitter ?
En rester là et finir par oublier#
Tout notre fol amour à lier
Pour sén tenir à cette chose acquittée.
Se contenter au beau milieu de l´´eté
D´extrémités tentées et regrettées
Au lieu de partir sur notre planète
Pour de nouveaux soleils à naitre,
Sacrifier ce chevreuil aimant
Dans un élan véhément,
Sauver cet oiseau blessé
Pour soigner l´âme délaissée.
En arriver à cœur ouvert
Aux aveux découverts
Et dépasser la perversité
Pour virer vers la vérité.
Suivre son destin
Avec un songe éteint
Survivre à la perte
Dans un malaise certain
Veut-on si oui continuer à s´aimer ?