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La contre plongée du monde

La contre plongée du monde
Dehors, dehors la banlieue flambe
Dedans ,dedans chacun tremble
Noir novembre neuf
Sédition tuée dans l’oeuf

Nove, nove novembre
Novembre novateur
Nouveau nouveau novateur
Nouvel, nouvel acteur

Cités sous feu couvert
désespoir fou vers ceux
qui se retranche derrière
une politique arriérée.

On ne veut voir guère
à nos portes la guerilla
Urbaine là-bas où il y a
La violence et la guerre.

Novembre se remembre
Comment comment être ensemble?

(No more « melhancolical »
So that many alcoolical)
(No way in one sens
Policies are none sense)

Sensiblement urgent
Ceux sans argent
Sans sens censément
Germent essaimé
Ultime plaine sans mers.

Mais s’agit-il de voyager
Quand certain couvre feux viagers
Allume le mécontentement
Méconnu ostensiblement?

Ignorer les différences complètes
Entre populations obsolètes
Amène aucune vrai aménité
Et sur la place force d’insanités
Ne pas s’être entre temps préoccupé
Des problèmes sociaux occultés
Oser se préserver des soucis
Du monde réservoir ou si
Alors voir dans la perte soit de soi
Une dépression soit de la planète soit de
Fin de civilisation de décades
En décadence d’actions introuvés.

Terre favorable de talents à partager
Air adorable d’un latent tapage
Cités en flammes défaites
C’est l’alarme d’une défaite
Défaisez le feu des poudres
De fusils mitrailleurs dopés
Suffit les railleurs de paix
Les piailleurs politicards
A la solde du vieux Giscard
rocard pris pour un tocard
Qu’il soit mythe errant
Tous à résidence
C’est la nouvelle résidence
Du prince (bis) du prince
Du vil pain
La ville c’est du pain
Hein fidèles chiraquiens
Qu’est-ce qu’à raquer s’pèce de chiens
C’est pas du chichi(bis) c’est chirac
Qu’à la fin déca déca quinquennal
Quiconque aura faim
Avalera l’ivraie d’un bon pain
Dans ta gueule de Sarko-phage
Qui mangera ses morts par l’oesephage.

Sonnet à l’organe

Sonnet à l’organe
Insoutenablement en ces heures retenues
Un sentiment ténu s’enferme détenu
Derrière ses paupières dessinées de silence
Seules existent tes beaux songes clos peignés en cils.

Impertubablement en moment détendu
Une expression placide glisse en ces traits rendus
Devant son minois roi lisse sous la paix d’içi,
Ton miroir d’avant laisse le trou(ble) se dissiper.

Irrémédiablement entre corps ignorés
L’amour de diable en peau règne sur le cœur renié
On rit des oripeaux de nos âmes androgynes.

Indubitablement tu endors la nuit
Je durcis ma bite et ma mie m’amuït
Nous ne sommes maintenant qu’au début d’une origine .
21-10-2005

Sonnet à l’or manne
Main saisissant un sable sur ta peau paresseuse
Agace ce désir et passe encor caresseuse
Un dénuement complet d’épiderme dénudé
Me fait tomber dénu dans l’humide nuée.

Fol frisson court sur le long insaisissable
D’ une échine hérissée en reliefs chérissables
Une sensuelle attente par elle seule excitée
Me fait différer l’acte sexuel en elle seule.

Qui de nous commencés atteindra la douceur
D’une approche génitale de nos sexes soudeurs
A peine pénétré s’obtiendrait le plaisir ?

Qui de nous aimera recommencer rester
Au centre de nous deux en accordée terrestre ?
Tu ouvres enfin tes yeux dans lesquels je sais lire.

Sonnet à la mort d’un amour
Mon approche timide faite de maladresse
Respecte inimitée ce flot à l’âme tendresse
Vers toi indifférente inofferte aux avances
Réitérées des mains cherchant l’autre en cela.

Ta réserve inavouée ne laisse pas une adresse
Sans écho je suis voué à un destin dantesque
Sans toi aimante et là l’entier élan s’en va
Et nos ébats se perdent débattus et lassant .

Aucune rancœur au cœur rendu pour prêter
Ainsi encor à peine né l’amour arrêtait
Rien de plus ou en moins en rencontre acquittée.

Tacite entente à deux entêtés à teinter
Implicite attente d’autres amoures qui s’éteint
Nous nous sommes simplement finalement quittés.

Solitud Autumn

Solitud Autumn
Sensible retrait des sens
Autonome et seul si tôt ?
« bei uns, Ratstätte weit von Berlin »
Chez l´un ou l´autre autostrade
Les rades sont les haltes stradivariées
Au rythme des tankers trucks chari-vari, vari-chari
« eine Bein und Knee kommen auf die Autobahn »
Les phares froids défilent
Fluide d´étoiles filantes
Effroi rare d´un effacement
Une semence d´arbre se refaisant
Au bazar septentrional ballotant
Ballote dans la nuit brumeuse
L´humeur s´avoue enrhumeuse
Allo, allo dans tant de halos
Alors, alors que restent-ils des solitudes ?
Un solo balbutié en interlude
Entre des réverbères de Tankstelle.
Telle a été le sort resseentant la stèle d´un plus que parfait des plus esseulés.

Assez-yez-vous

Assez-yez-vous
Submergé par un raz de marée
Immergé dans un total arrêt
Subjuguer par des mots rêvés
S’immiscer dans trop de vérités
Avérées et sévères et asservies.

Sérieux comme se sériel se joue
Des partitions partout sous le joug
Conjuré d’un monde perdu,
Conjoncture de rondes déchues ;
Chut (e) de chuchotements.

Autrement se suivent les tenants
Aboutissant aux catastrophes fatales
Répondant aux assauts en rafales,
Terminaison farouche d’une année…

Nez à nez face à la manne rincée.
En voilà assez !

Ainsi va !
Vas-y reload
Recharges l’ode,
Connectes l’odeur.
If the pain cries
Islands of poetry
Sea from purity.
Cherches l’ardeur
Oublies la raideur
Restore l’humeur.

Prendre les traverses entre quartiers tissés

Prendre les traverses entre quartiers tissés
Vaquer vers les dalles de cité
Continue
Continue à
Continue à découvrir
Continue à découvrir les potentiels
Des tours et des barres
Des barres et des tours « empottés » en ciel.

Trouver la poésie dans un bac détérioré
Marcher dans un désert déterritorialisé
Procure la plénitude de l’urbain
Des tours et des barres
Des barres et des tours défaites au burin.

Rester au milieu de là où personne ne va
Surplomber l’autre ville que le soleil savonne
Accorde la présence assez privilégiée
Des tours et des barres
Des barres et des tours privées et légères.
06-09-2005
Continuer à rêver sur la ville arpentée
Ne pas vouloir grandir en son île argentée
Et cependant pourtant partant sous la tempête
Reprenant l’air à poumons pleins
Réinventant l’instant à peine soupçonné…

Sur mon manteau il y a l’automne
Oté maintenant auront autant
Raison les mots chauds différant
Le froid tombant indifférent…

Discernant dans un septembre soleil
Ce qui sert à trembler, seul sait
Reconnaître en la lumière en déclin
L’intensité ultime d’un déclic.

Rasant l’immensité en ses contours
Les arts nuancés des obliques ont cours ;
Détourées les formes s’adonnent,
S’entourent, se déforment, s’abandonnent.

Magie d’alchimie d’équinoxe passée
Ma mi-saison colorante ne sait pas
Si la moitié du monde disparaît
Ou si l’autre cœur est réparé.
15-09-2005

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s’aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
San dent m’indique en m’aidant
Un soleil d’automne refait.

Au delà de l’amour l’âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l’attache donnant malant
Plus rien à l’autre s’en allant.

Là calmement sur la place
D’une fin de journée lasse,
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action ;

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m’aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l’Un, maman.

Jusqu’où ce soir couchant
Inspire un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D’indien autant décrié ?

Hein dis moi conscience avisée
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grand tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l’évidence
Durant ceux qui dansent
D’un monde de faux semblant
J’exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet événement
De sa vie en avènement. 22-09-2005

Vivre tout intensément

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s´aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
Sans dent m´indique en m´aidant
Un soleil d´automne refait.

Au delà de l´amour l´âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l´attache donnant malant
Plus rien à l´autre s´en allant.

Là calmement sur la place
D´une fin de journée lasse
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action.

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m´aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l´Un, maman.

Jusqu´où ce soir couchant
Inspir un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D´un indien autant décrié ?

Hein, dis moi conscience avisée,
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grands tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l´évidence
Durant ceux qui dansent
D´un monde de faux semblant
J´exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet évènement
De sa vie en avènement.

Vivre tout intensément

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s´aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
Sans dent m´indique en m´aidant
Un soleil d´automne refait.

Au delà de l´amour l´âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l´attache donnant malant
Plus rien à l´autre s´en allant.

Là calmement sur la place
D´une fin de journée lasse
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action.

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m´aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l´Un, maman.

Jusqu´où ce soir couchant
Inspir un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D´un indien autant décrié ?

Hein, dis moi conscience avisée,
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grands tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l´évidence
Durant ceux qui dansent
D´un monde de faux semblant
J´exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet évènement
De sa vie en avènement.
21-09-2005

Prendre les traverses entre quartiers tissés

Prendre les traverses entre quartiers tissés
Vaquer vers les dalles de cité
Continue
Continue à
Continue à découvrir
Continue à découvrir les potentiels
Des tours et des barres
Des barres et des tours « empottés » en ciel.

Trouver la poésie dans un bac détérioré
Marcher dans un désert déterritorialisé
Procure la plénitude de l’urbain
Des tours et des barres
Des barres et des tours défaites au burin.

Rester au milieu de là où personne ne va
Surplomber l’autre ville que le soleil savonne
Accorde la présence assez privilégiée
Des tours et des barres
Des barres et des tours privées et légères.
06-09-2005
Continuer à rêver sur la ville arpentée
Ne pas vouloir grandir en son île argentée
Et cependant pourtant partant sous la tempête
Reprenant l’air à poumons pleins
Réinventant l’instant à peine soupçonné…

Sur mon manteau il y a l’automne
Oté maintenant auront autant
Raison les mots chauds différant
Le froid tombant indifférent…

Discernant dans un septembre soleil
Ce qui sert à trembler, seul sait
Reconnaître en la lumière en déclin
L’intensité ultime d’un déclic.

Rasant l’immensité en ses contours
Les arts nuancés des obliques ont cours ;
Détourées les formes s’adonnent,
S’entourent, se déforment, s’abandonnent.

Magie d’alchimie d’équinoxe passée
Ma mi-saison colorante ne sait pas
Si la moitié du monde disparaît
Ou si l’autre cœur est réparé.
15-09-2005

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s’aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
San dent m’indique en m’aidant
Un soleil d’automne refait.

Au delà de l’amour l’âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l’attache donnant malant
Plus rien à l’autre s’en allant.

Là calmement sur la place
D’une fin de journée lasse,
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action ;

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m’aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l’Un, maman.

Jusqu’où ce soir couchant
Inspire un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D’indien autant décrié ?

Hein dis moi conscience avisée
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grand tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l’évidence
Durant ceux qui dansent
D’un monde de faux semblant
J’exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet événement
De sa vie en avènement. 22-09-2005

Unterwegs

Unterwegs ist ein weg
Der immer geht

Energy, energy on emergency
Agency, agency of the States and cie.

Si j´garde un s´cret à Berlin
Town Berlin town (ter) (allegro)
C´est qu´les jaguards s´regardent
De la Zionkirch, c´est mon Kiez
Bis Hirtschof, das´s mein Kiez (bis).

Mot , mot , mot, moteur est le mot
VVV, vecteur est le désir
L´essence révêlée des mots zélés
Ton truc survit, constructiviste (ter)
C´qui s´déplace continue sans racine
A créer de nouveaux liens inédits
D´un air que respire la narine
Jusqu´au mot appartenu qui lui est dit.

Die Kälte macht warm
Die Dichte macht Dichter.