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Départ d’un port

Partant du Pirée pour la Crête la mer rit
Christmas day sous la lune falot iri
sante reste impavide dans son vide satellitaire.
Avec une mouette de Noël ; nous quittons la terre
Et son profond port ; une fois passée la jetée
Plate vers l’horizon un trajet jet
Sous un ciel pommelé se dirige vers les Cyclades
À peine à quelques miles lointains mouillés
Le continent finit par s’oublier
Au fur et à mesure qu’un cycle éclat
S en va au gré des flots à son âme lié.
Animées comme nous sommes ensemble
L étoile d un Noël doux entre jaune rouge vert
Et encore jaune civilisation jeunes vers
Ou se rencontrer a bord d un Ferry
D une traversée de nuit en guitare
Chantée.

Sur la peau du Pô

Sur la peau du Pô

Sur les berges du Pô sinueux dans Turin
Romantique se pose Près d´arbres noueux l´urbain
Le long du fleuve stagnant à cet endroit précis
S´apercoit un beau cygne filant droit et si près
D´une mémoire d´Ôrmante il revient au loin fier
Du coté de cette rive coule le long d´un fief
Aux ambiances allemandes de naturelles hâleurs
D´une peau aquatique mue d´italienne chaleur
Changeant d´autres villes ailleurs.
Mon coeur amoureux de la montagne à la lagune passe de la haute oxygène à la noyade.
Il suffit de quelques sentiments
De l´autre manquant à sa rive et
Face à un port comme démonté
D´un coup arrivant sur la viale Piave
Entre Calle congregazione e me piuve…
Fleurir como uomo andro
Veut chercher un lait dans l´eau?

Note au Benet:
L´hypothénuse de Turin
3d filmage: prendre cadre serré détail travée d´un monument dans l´axe de rues perspective perceptible.
2D carte: déterminer les angles de carrefour d´hypothénuse intersectant les longueurs concourrantes.

26-08-2008

.

Arrivée au Bosphore

Au matin mélange d eau salée
Aux intensités lumineuses d’azur
D un soleil turc qui percent l’iris
Bleu immanent d un regard orientable.
A Istanbul vers le présent donne
Bosphore ouvert de vagues riant
Entre terre habitée crênelant l’étendue
Mer naviguée de jaune bleu sinueux
Aux mille mouettes hébétées pointes blanches régulières
Et un jour remontent liées au courant
Du pont de petits poissons passant par la
Le long de fils à pêche et venant de là bas Ourals
Brillant sous le soleil sans poids orientés d est tendre
Quand l’appel du muezzin se fait entendre
Dans plusieurs villes istanbules de bulles oxygènes
31/12/2007

Au lointain au soleil là haut au ciel
Sur soi sur l’horizon la bas sur la mer
En mouettes en nouvelle liesse
Au dessus du Bosphore aux bateaux sans amarres
Au dessus des toits mille minarets
En dessous les muezzins narrent et
Sens dessus dessous urbaine étendue
Sous mosquée à Allah rendu.
01/01/2008
Intuitif urbain
Laissez vous guider au fil des rues
Par un 6ieme sens rassemblant
Les 5 autres. En silence
La nuit rendu déserte
Apres ses activités diurnes
Effrénées.
Quelque soit nation ou paws
La musique fait la paix
D’un chant amenant a danser
Son contenant jusqu’à scander

Venez a Venezia

Venez,venez a Venezia
Signori e signore
Como como ne pas s´ignorer
Ballo, ballo gallegiante

Enfermée d´eau qui entoure
Inclose of watered gate
Venise vous absorbe sans route
Arrivant de nuit sur la lagune
Le Léviathan ouvre les portes
Invisibles d´une cité d´aucune
Autre partie du monde en sorte.

Le silence stagne sur les reflets de falots
L´indolence règne sur les flots.

Durant l´été vénitien le fauve
Somnole, ayant reposé ses ailes fausses ;
Il laisse ses places désertes au zénith
De jour comme de nuit et hésite
A sortir d´une tanière enfouie
De ses murs contournés et fuyants.

Le soir un mauve crépuscule essuyant
La sueur du jour bouscule ensuite
Le sens des chemins de canaux
Comme des machins dans l´eau d´anneaux…
Comme des machines de ronds dans l´eau…

Il y a ici un oeil intérieur urbain
Qui repose comme sur un bain
Sédimenté en séculaires bâtisses
Aux fondations d´abysses.

Chaque facade conserve ses genres
Aux hautes fenêtres rangées
Découvrant à peine son dedans
Car le félin peut montrer ses dents.

Sorti du fond de l´Adriatique
La posture bâti se tient hiératique
Nonobstant cet équilibre sur pieux
Faisant croire au miracle pieux.

Tel ressorti d´une mer lacustre
Des siècles de pierre lustre
Eclairent la « città » croupie.

Elle reflète même pourrie
L´image d´elle même somptueuse
Quand bien encore présomptueuse
Sur le restant d´un monde décadent.

Sur un miroir noir éternel d´eau
Dark watered mirror …

Tu te reflètes même quand tu dors
Odalisque ville lascive
Tu restes comme passive
Au fil des temps qui passent vite
Tu enfiles ton ancienne parure
De déguisement bleu à rayures
Tu glisses ton masque te voilant
Et te dévoilant seulement voulant
T´amuser, oublier l´ennui voilà
Qui accompagne tes fastes d´antan
Tu continues á drainer autant
De visiteurs touristes consommateurs
Tu serais devenu un parc ludique
Pour passants en mal d´être acteurs
Tu leur laisse un lassant circuit en italique
Au pittoresque circulaire italien voyage
Tu les perds en picaresque veuvage.

Et ici se charrie chargé le passé dans l´eau :::
Là trouver toujours la cadence…

Réunir tout le monde dans la danse
Dans un rapport entier à l´autre
Faire du bal un vivant manifeste
Invite tous à s´engager dans la fête….

Eaux (II)

Source d´une eau vive voyageuse
Ressource d´inspiration nageuse.

Wann See und Sonne versammeln
Étendue calme de l´eau aux oiseaux
Gazouillis aux pacifiques miroitements
De journée au soleil finissant droitement
Sur l´onde ondulant au ciel haut de joie.
Ô corbeau coassant au sommet d´un cerisier
Désignant le lieu d´élection où meurt l´astre
Sur l´eau il ne reste aucune trace
Si ce ne sont que reflets orangers où je m´assieds.
Face à l´instant privilégié et complet
Wann kann die See zum Himmel teilnehmen
Apparaissent les hérons au gracieux vol couple
Wenn seie stilles Licht im ruhigen Wasser heil atmen.
08-07-2007

Wann See und Sonne

Wann See und Sonne versammeln
Etendue calme de l´eau aux oiseaux
Gazouillis aux pacifiques miroitements
De journée au soleil finissant droitement
Sur l´onde ondulant au ciel haut de joie.
Ô corbeau coassant au sommet d´un cerisier
Désignant le lieu d´élection où meurt l´astre
Sur l´eau il ne reste aucune trace
Si ce ne sont que reflets orangers où je m´assieds.
Face à l´instant privilégié et complet
Wann kann die See zum Himmel teilnehmen
Apparaissent les héronx au grâcieux vol couple
Wenn seie stilles Licht im ruhigen Wasser heil atmen.
08-07-2007

Au lointain au soleil (Eaux)

Au lointain au soleil là-haut au ciel
La matière humaine est un matériau dans l’urbain
Des corps enchâssés sont comme dans un bain
Dont l’eau serait ce liquide de chair défaite
Aux os structurés.

Brasserie de cultures- Kultur Brauerei.
Faire d´une ville sa maison,
Arpentant l´île des raisons
Seule ici sous la pluie, c´est mon
Havre d´inspiration entre deux
En un monde pluriel, il pleut
Sur Berlin, Dante et eux.

dimanche Tunis
il y a un bleu derrière l’gris
il y a un heureux derrière un sourire
bancs de nuages dissipant
le blanc soleil récipient.

la mer apparait dans un réceptacle
aux accidents de montagnes spectacles.

Le cap descend ses eaux flux pluviales
Les thermes chaudes baignent d un soin viable.
L horizon côtier dégage la punique Carthage.

Dieu et l´eau

Diantre Dieu seul sait
Dans cette ville à l´essai
Transformé en solitude
Retour jusqu´en plénitude
Ressentir comme avant
Ce qui outre les façades
Change les rues ravalant
L´eau de gouttes souvenirs
Sur les routes à venir.
Input renforce l´espoir
Output renfonce un désespoir.
Des causes à effets récurrents
En conséquent faits courant,
Quand il pleut, des cieux entrent.
26-27-06-2007

Transit février

Tansit février
Il roule passé neuf heures
Pluie de pensées vers Hannover
Vers où le vague à l’âme offerte
S’ en vient sur la route et ferait
D’un ciel trai des traits de forêt.
Une chute des eaux non traitées
Touche en silence comme en arrêt
Toutes les truites en rêves à l’orée
D’un œuf fécondant le creuset qu’auraient
Pris dix imaginaires pieds dans ses rêts.
Il pleut une fois passé Hannovre
Des kilomètres d’eau à l’œuvre. 27-02-2007

Transit février

Il roule passé neuf heures
Pluie de pensées vers Hannover
Vers où le vague à l’âme offerte
S’ en vient sur la route et ferait
D’un ciel trai des traits de forêt.
Une chute des eaux non traitées
Touche en silence comme en arrêt
Toutes les truites en rêves à l’orée
D’un œuf fécondant le creuset qu’auraient
Pris dix imaginaires pieds dans ses rets.
Il pleut une fois passé Hanovre
Des kilomètres d’eau à l’œuvre.
Assez-yez-vous
Submergé par un raz de marée
Immergé dans un total arrêt
Subjuguer par des mots rêvés
S’immiscer dans trop de vérités
Avérées et sévères et asservies.

Plomberie d’une eau démo-dynamique
Nous n’sommes que des tuyaux qui s’animent

Non loin de ton anse
Je mouillerai mon ancre
Continuerai à couler une encre
De mon sang oxygéne sans que
Cet odyssée ne fasse perdre mon cran…

Si la veule morosité se propage
il faut un propane à l’eau d’une page

27-02-2007