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Mais Paris mai
Auto Gouvernance
AUTO GOUVERNANCE
Reliant des milliers d´infoormations en plusieurs endroits
La ville se fait le computer des lieux urgents
A la seconde près milles pensées des gens sur
La hauteur de son humanité individuels droits en
La veille des municipales
L´embarras d´un choix politique
Peut tout d´un coup devenir critique :
Soit s´unir à plusieurs ou se faire porter pâle ;
En étant seul dans la ville schizo.
Y aurait il encore un choix parmi
La pléthore politicienne faux ami
Des peuples en ce monde 2008 iso.
La tromperie et la confusion des pouvoirs
Instrumentalisent le sens des savoirs,
Abusent les gens jusqu´au populisme,
Jusqu´à leur faire croire que l´isthme
D´un seul représentant peut suffire à défendre
Les intérêts communs. Comment alors tendre
Vers l´Idéal d´être ensemble, si chacun s´atomise ?
Le débat peut reprendre si mots à
Mots , au lieu de luttes et dissensions partisanes
Le conflit devient architecture collective, artisans
Constructeurs, faisonsl´intelligence de 1+ 1 = 3.
Comment se réapproprier la ville ?Par un nombre au moins de troisnSur la place publiqueFaire de sa simple vie un hymne digne des rois Ecrire chacun dans une histoire biblique, construire le Théâtre d´Archtitecture
Par l´espace de parole et de lecture Du quotidien réenchanté Par l´acte des chants .(…)
Autobahn eins
Autobahn eins 30/03/2008
L eclaircie arrive en fin de journee
Et l air d autoroute renait
Sous les premiers rayons
Roulant sur les haillons
D un paysage d hiver
Laisse sur la page d hier
Present directement offert
Du temps passant que ferait
Vibrer l entiere foret
Dans son eveil de seve
Desir jeune qui se leve
Aux premiers jaunes verts
Devant l A1 aux autoombres portees
Avenue Jean Jaurès – Bobigny
Avenue Jean Jaurès – Bobigny
Franchir sous un ciel bas d´ondée
D´été l´Ourcq à l´onde verte,
Là en surplomb d´un pont au milieu de rien,
Comment tout ressentir dans un lieu
Entre terre et cieux, entre deux friches.
Arpentant seul le long des chiffres
D´une route urbaine, je scrute les contours
De l´horizon couvert dont les alentours
Contrastent avec des nuages anthracites
Dans une active poésie en transit.
17-06-2007
L’arbre à penser
L´arbre à penser
Dans le creux d´un arbre
Pousse heureuse une pensée
Montante en branchebras.
La naiveté
Accorde sécurité
Mieux que nier et voter.
06-05-2007
Si ,si mon Montreuil
Si ,si mon Montreuil m’est découvert,
C’est soufflé en discret coups d’air,
Inspirant le fond de l’ âme nouvelle,
Et trouvant le trésor d’une venelle.
Entre l’Être et l’urbain s’ouvre
Souvent le mystère vouivre
Des lieux intérieurs cuivres.
Les hasard détournés démontrent
Les arts où naissent des monstres
Beaux comme des caryatides
Car rien en carence rides
Ne vieillit plus vite que la ville, que l’oubli du temps livide
Et de l’autre si vide…
Si, si jeune Montreuil ne veut vieillir.
D’âme et d’éternité
Dame, dame c’est comme donné
Eh toi ne nies pas d’exiiister
Ni soi, ni un coup de dés
N’honira jusqu’où il ira
Pour vivre un peu en voyage
Juste un p’tit moment de partage.
Merle arythmique guilleret
Non loin du parc des Guilands
Siffle à la ville ses hauteurs
Pour le bonheur de ses auteurs
C’est quand il le paraît
Paraît-il qu’il en rêve
Sur son île de paix
Plaît au soleil sève.
Et s’il est encor vrai
Vraimentenniivré
Vers les feuilles du vert
Ver de terre à l’envers.
Avalez alangui
La saison sans le gui
Chanter toutes les heures
Par ces mots que rit le tueur.
C’est la lueur du printemps.
JUSQU’AU BOUT DE SOI
Des envols de pensées partent en poèmes aimés
Des vœux heureux partout rêvent ainsi parsemés
Je veux vivre en printemps de pommes imaginées
Il vole au temps suivi un hymne magie neigée.
Jusqu’au bout de son être n’est plus encor le même
Jusqu’au bout du seul monde rempli d’allegria
J’invente et rit aux anges de l’instant à rimer
Il vante à tour de bras sans qu’un son ne cria.
Sonne, sonne raison somme toute au fil de l’ordinaire
Ne plus nier les airs autres à l’ordre inédit
Jusqu’où ira le rêve d’harmonie à compléter ?
Chantes et chantes enchanté de jours anodins
N’est chantre encor radieux tout adieu à donner
Jusqu’au réveil vernal d’un amour de couplet !
18-03-2005