Blog

Tous les articles

Le Valaisan/ époque III

Le Haut-festival

En musique et action
se rythme
une entente cordiale,
Sois bienveillant Valaisan,
L’esprit étant souvent
mal placé,]
Retrouves-tu certaines valeurs,
vous sans musique,
un hymne vérité facticiel
sous les artifices
de la Suisse
et au delà d’humaine jalousie
règne la musique
unie vers elle,
vibre à l’unisson
quand le Valais retrouve
les valeurs d’être ensemble heureux.
1er août 2008

Après un intense moment
passé ensemble à partager le même projet, à travailler selon ses talents côte à côte, la bienveillante (dixit Focie) et la confiance réciproque fait gagner en temps. L’espace d’une rencontre entière d’amis aux sincères sentiments de recherche d’un autre être-ensemble, d’un autre mode de faire que la chienlit régressive à n’aimer que leur chien faute d’avoir pu développer d’autres rapports. Face à la perte du monde par son individu peut s’initier l’utopie de faire avec joie plaisir et sens, le projet collectif d’œuvrement. Cette notion développe les capacités interactives d’apprentissage, de concentration et d’assimilation de chacun à plusieurs. Mieux encore, tout et tous peuvent se relier en synchronicité consciente : l’expérience enrichissante de vraiment échanger les choses et la chose amoureuse dans un partage entier et direct avec la communauté d’esprit partagée. L’action se réalise, le projet prend sens.
1er août 2008

Entre gens de bonne compagnie, trois violons, une contrebasse, dans une campagne qui rit ; anthropie, est-ce la perte d’une énergie ou bien la terre valeureuse d’amours humains ? Mélancolie, joue une mélodie enjouée sans mots dire, mêlant tous les instruments, se parlant entre eux bienheureux font mieux que tout discours sirupeux.
Si une flûte vous raconte
la journée passée revient
dans une sorte d’étreinte
de ce qui jamais ne peut s’éteindre.
À quoi tient d’aménité
entre être en sérénité
entre talents et valeurs
même si c’est sans heure
de partir
reste entêtant
tant de notes envolées
d’un moment entièrement
partagé•]
Sans tenir un rôle en quoi que ce soit
de semblant faux.
Que coule l’eau blanche
d’harmonies improvisées
sans rien de plus à prouver
qu’à ressentir à l’unisson
la chaleur aimante
de l’union]
d’au moins trois instruments
irradie d’une joie
toute humeur
lorsqu’une vibration
touche tous les ions
des corps ensemble dans la nuit
chantant en blanc.
2/08/ 2008

Grand’roue d’musicien

Tant de transfilages
sur la structure roulante
tissent les gens au fil
avec le monde qui l’entoure

Aprés s’être ébranlée
la grand’roue dévale
devant les Valaisans
le devers hâlé.

Là l’exploit s’ovationne
au rythme fanfaré
de descente actionnée
enfin fait les fans
jusqu’au soir jusqu’au bal final,
elle s’habille de toile maquillée
en roulement sans billes.
Haubanisée cette fois
elle montre ses jupes
de tenue de soirée
aux musiciens qui jouent
et viennent en son dessous
grimpant sur ses baleines.
Vision magique d’arches
humains musiciens
l’action féerique danse en tous
avec la muse sienne
en monde montagnes à l’écho d’arènes
de bal.
3/08/2008

ÉPILOGUE

Une fois tous nucléarisés,
tout s’atomise
le noyau acquis explose,
c’est de mise ;
seulement sans avoir détruit
son être
ni son individu réduit.
Bien plus tôt l’on repart émancipé
grandi d’avoir été si près
l’un de l’autre à l’unisson
par la musique unis au son
Intérieur comme extérieur
nous rendant tous très rieurs.
Voilà partons confiants de Tsalan
et virons cet écho de montagnes musicales
toujours s’en allant.

04/08/2008

C’est plus comme avant…

C´est plus comme avant Berlin 07-07-2008
Afin d´éviter la mélancolie d´Berlin
L´été prend des trajets autres bien linéaires;
Condamné à la ville, les mêmes ambiances
Se perpétuent toujours atterri sur un banc,
Restent les solution de se réinventer
Un Imaginäre au gré des rues vantées;
Il y a encore l´air qui conduit au hasard
Des poésies trouvées en cité, soi et art.
Am Engelbecken (le temps d´une station de pause urbaine avec de Berlin à mes côtés
Malekoum salam)

Dérive vers l´Elbe

Station 1: Lukas Klause

Là où s´emmène
L´Elbe fließend
L´affluent terrestre mène
Jusqu´au bastion de Klause
Eingeschlossen et closed
Dans un jardin Schloß.
So nah den siedlungen
Aktionfrei schreien die Jungen,
Die mit der Stadtfreiheit spielen.
Nicht so weit von Lippstadt;
Ach Natur mit deiner Zeitliebe
Kannst du alle Dinge so zärtlich
Reparieren? ach altes Romantismus
Willst du das Lebenstadt ein Roman werden müßen?

station2: Gegen über Elbe- Gegenüber Frieden Brücke

De l´autre côté de l´Elbe il y a une île de paix
Où les choses s´oublient en l´espace qui plaît
D´une rive en face l´autre de la plaine à la ville
De Buga au Stadtpark contemples donc ses vies.

Une fois ses ponts franchis Magdeburgstadt s´étire
De bourgburgs étendus sourd de terre et attire
A elle toute l´étendue tenue du nord au sud
Parallèle courant urbain sur l´eau qui dort.

03-07-2008

Breiter WeG

aussi larges et menées sont les avenues
A l´angle de leurs rues, les parfums sont venus
De l´Elbe la nuit soufflant le vent de plaine
Le long d´un fleuve errant comme si « aimaritime »
S´inspire rasséréné son air proche et intime
Sous des souvenirs d Elbe fliessend sciant
Le paysage mêlant alt collines italianisant
Quelque chose d’inchangeant
Cette chose entre le sol ; le sel ; les gens
Les villes ; l’Aktion et l’Être qui s’échange.
L´heure coule en fluide d´amour actionné.

07-07-2008

Autobahn eins

Autobahn eins 30/03/2008
L eclaircie arrive en fin de journee
Et l air d autoroute renait
Sous les premiers rayons
Roulant sur les haillons
D un paysage d hiver
Laisse sur la page d hier

Present directement offert
Du temps passant que ferait
Vibrer l entiere foret
Dans son eveil de seve
Desir jeune qui se leve
Aux premiers jaunes verts
Devant l A1 aux autoombres portees

Sur la peau du Pô

Sur la peau du Pô

Sur les berges du Pô sinueux dans Turin
Romantique se pose Près d´arbres noueux l´urbain
Le long du fleuve stagnant à cet endroit précis
S´apercoit un beau cygne filant droit et si près
D´une mémoire d´Ôrmante il revient au loin fier
Du coté de cette rive coule le long d´un fief
Aux ambiances allemandes de naturelles hâleurs
D´une peau aquatique mue d´italienne chaleur
Changeant d´autres villes ailleurs.
Mon coeur amoureux de la montagne à la lagune passe de la haute oxygène à la noyade.
Il suffit de quelques sentiments
De l´autre manquant à sa rive et
Face à un port comme démonté
D´un coup arrivant sur la viale Piave
Entre Calle congregazione e me piuve…
Fleurir como uomo andro
Veut chercher un lait dans l´eau?

Note au Benet:
L´hypothénuse de Turin
3d filmage: prendre cadre serré détail travée d´un monument dans l´axe de rues perspective perceptible.
2D carte: déterminer les angles de carrefour d´hypothénuse intersectant les longueurs concourrantes.

26-08-2008

.

Delfi

Delfi
Gravir a nouveau la montagne sacree ;
Amene au site que le grec ancien crea.
De jaunes bleues mesanges accueillent
Au sifflet strident et a l espiegle oeil
Par le sentier emprunte par un chat elfe
de ces mondes chtoniens qu offre Delfes ;
La rocailleuse en surplomb de profonde
Vallee. Se pose d abord face a l onde
Du ciel un perimetre esplanade au dix
Simples colonnes alignees presentant l edit
D une montee decouvrant un panorama
Meilleur au niveau du demi cercle
Des rois d Argos e,brassant le paysqge
Penchee entre arbres. Du mur polygonal
A l arriere du portique des Atheniens
Base d offrandes Tarentis ; peribole
Pri,itif ; escalier dolonien ; Exedres.
Sejour des oiseaux races varies
Entre zigzag de chemin ; le rossignol est toujours la
Pres du tresor des Beotiens
Et celui des atheniens
A l edicule classique
Le rocher infractueux de lq Sybil
Au seul lierre a son pied
Le piedestal du Sphynx des Naxions
Portique des atheniens du boulenterion
A l autel d apollon amplitude
Des alentours pour au dessus l emplacement
De son temple en face le pilier de Prusias 2
Sur fond de roc ,ontagneux aux memes nuances
Colories de granit rouille
Fontaine d Asclepios
Peribole archaique
Cha,bre d Antinous
L Ischegaon
Scene du theatre ou la voix creuse
Sous ses pieds endalles une resonnance
Vibrant du larynx au talon grace au vide
Sous soi ; une acoustique peut monter en hauteur.
Direction le Stadium ; point le plus culminant
Decouvrant la vastitude d un lontain continuant
Pendant qu une longueur de jeux d athletes
Se campent en dessous d une ligne de crete.
Une fois la hauteur atteinte un axe decale
Se devine suivant une trace venant de vallee.
Et la commencant a redescendre tout
Finit par s articuler entre pieces
Sur un meme talweg suivant une invisible
Oblique a flanc de montagne.
Lecon d architecture appliquee a la
Geographie des lieux in situ sacral.
En contrebas sur le versant ; les vestiges
Du gymnase verifient le trace des monuments
Alignes sur le flanc de visu dont les extremites
Du parcours glorifient le corps entre stade et gymnase
Le theatre et les temples d Apollon et d Athena et son peristyle point le plus bas ;se dedient
a l esprit et l ame.
05/01/2008

Fond’d'colline

Fond d colline
En percee citadine
Face aux flux anodins
Fond mare d cafe
Presage d autres faits
Paysage sous ciel feta
Etre seul et se refaire
meme un instant l univers
un contrat a soi meme
et a tout autour aime. 17/12/2007

Enigmes urbaines
D ou vient ce rapport urbain entre ciel et terre
Declinant du detail au mouvement un vertical air
Au terme d athenes gravies
De ces hauteurs en surplo,b
Sur l etendue ville sur un long
Chemin arrive sous un ravi
Rossignol d hiver en redoux
Durant un chant en douce
Pente rentrante entre agglomeration
Lointaine et parc alentour. 19/12/2007
Et si Dieu est la ville
Dans ses archipels d iles ;
Qlors son entierete disparate
Apparait pour faire disparaitre
Le chaos urbain en chacun
Defait de detours qu aucun
Ne devine qu autour de l Acropolis
L energie verticale des poles qui s y glissent.20/12/2007

Pensees perpetuelles
Pensees en mouvement perpetuel
Aux visages fondues inter individuels
Se connecter en collectif corthex
Catharsis reconstituant les ex corps
En fusion. La magie d entrer
Comme au fin fond d un silende de mer
Mele au gas oil quelque soient nos querelles
En choeur. 20/12/2007

Transit 3

Transit 3
En demi-conscience s´écrivent à l´éveil
Des rêves images, réminiscence vêlée
A l´esprit continuant une science révêlée :
Route partie
Déroute repartie
Déroute partie
Route repartie.
Source d´une eau vive voyageuse
Ressource d´inspiration nageuse.
Là où s´interrompt le temps, l´espace le poursuit,
Créant les occurrences entre l´éther et le réel.
Das Ding, la chose entre l´âme et l´air.
21-06-2007

Avenue Jean Jaurès – Bobigny

Avenue Jean Jaurès – Bobigny
Franchir sous un ciel bas d´ondée
D´été l´Ourcq à l´onde verte,
Là en surplomb d´un pont au milieu de rien,
Comment tout ressentir dans un lieu
Entre terre et cieux, entre deux friches.
Arpentant seul le long des chiffres
D´une route urbaine, je scrute les contours
De l´horizon couvert dont les alentours
Contrastent avec des nuages anthracites
Dans une active poésie en transit.
17-06-2007