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Unterwegs ist ein weg

Unterwegs ist ein weg
Der immer geht

Energy, energy on emergency
Agency, agency of the States and cie.

Si j´garde un s´cret à Berlin
Town Berlin town (ter) (allegro)
C´est qu´les jaguards s´regardent
De la Zionkirch, c´est mon Kiez
Bis Hirtschof, das´s mein Kiez (bis).

Mot , mot , mot, moteur est le mot
VVV, vecteur est le désir
L´essence révêlée des mots zélés
Ton truc survit, constructiviste (ter)
C´qui s´déplace continue sans racine
A créer de nouveaux liens inédits
D´un air que respire la narine
Jusqu´au mot appartenu qui lui est dit.

Die Kälte macht warm
Die Dichte macht Dichter.

Solitud Autumn

Sensible retrait des sens
Autonome et seul si tôt ?
« bei uns, Ratstätte weit von Berlin »
Chez l´un ou l´autre autostrade
Les rades sont les haltes stradivariées
Au rythme des tankers trucks chari-vari, vari-chari
« eine Bein und Knee kommen auf die Autobahn »
Les phares froids défilent
Fluide d´étoiles filantes
Effroi rare d´un effacement
Une semence d´arbre se refaisant
Au bazar septentrional ballotant
Ballote dans la nuit brumeuse
L´humeur s´avoue enrhumeuse
Allo, allo dans tant de halos
Alors, alors que restent-ils des solitudes ?
Un solo balbutié en interlude
Entre des réverbères de Tankstelle.
Telle a été le sort resseentant la stèle d´un plus que parfait des plus esseulés.

Romance d´un père et fils

Entre l´ancien allegro andalou
Et un jeune violoncello alto
Se joue le bel alliage alors
(Re)transmis d´un père au fils louant,
Un 9 novembre, la chute des eaux
Musicales du sud au nord
Des murs européens,
Leur romance fils et père d´airain.
A l´intérieur d´architecture toujours contemporaine,
(Hommage à Hans Sharoun)
Ils savent (ré)introduire ,de leurs rois instruments,
Le travail rallié d´une baroque époque reine
Avec un flamenco rénové de sainte sereine humeur.
Intragénérationnelllement l´émotion
Se passe sans partition, sans mot, en onction,
Réconciliant des lustres d´opposition ;
Si tous pouvaient prendre leur position,
L´amour et l´aménité pourrait se jouer
Des distances et du temps à louer,
Ramenant au clàssico PAPA PEDRO
L´expériméntale en el GASPARD HIJO.

Outre d´autre chose

Outre d´autre chose
Trouvé par trop d´mots
Trouvé par hasard l´amante
D´un mot ouvre des amantes.

Trop de maux sur la terre
Chose trouvée dans l´air
Troué par des feux
Outre d´autres eaux.

Par hasard rencontrée
L´amante ne dit mot ouvre ses yeux sablonneux
Aux amandes douces et bleues.

5à 7 pieds qui passent
Les rimes en trépassent trouvé par hasard
Momentanément amante.

Epouvantail des possibles (dixit Marco)

Un ciel bas sur les toits
Déconstruit les partitions.
L´automne virevolte face à Paname
Atonal j´y vis l´as d´un Pan à l´âme
Des éléments tombant près de l´eau du canal
Entre mouettes rasant le fil vers l´aval
Et feuilles descendant d´une jaune cime,
C´est le temps de l´aulne en hymne.
25-10-2007

Môqueries
Hey, Guy, on s´moque de qui ?
Des gerbes de fleurs dans l´métro
Pour ta jeunesse sacrifiée
Damnés collabos rétro…

Über den Berliner Überlebens Bilanz


Berlin bleibt im frühlingshaften Wasser
Etwas stagniert in der Erde. Was hörst
Du , meine Liebe? Im Himmel fliesst
Immer noch die Liebe mit ihrem zärtlichen Lied.

Berlin reste sur des eaux printanières
Quelque chose stagne en terre. Qu´entends-tu, ma chère ? Au ciel coule encore
Toujours l´Amour et son tendre chant.

Berlin bleibt im frühlingshaften Sieg
Wie Friedensinsel im Wafenskrieg
Hast du Lust, meine Liebe, irgendwas,irgendwann zusigen
Dennoch sehnt sich die Sehnsucht auf der Suche zum ringen.

Berlin reste sur des victoires printanières
Comme l´île de la paix dans la guerre des armes
As-tu envie, ma chère de chanter n´importe quoi, n´importe quand
Quand bien même la quête dépendante cherche le désir jusqu’à la bataille.

Turbulences

La confusion de l´anti
Que Chaos sans gouverne
Ne revienne anéantir,
Ce qu´un monde nanti
N´ait usé vous guette !
Guet-apens de systèmes
A peine auront été les items
Allaitant la globalisée planète,
Tel un alizé qui t´aime,
Naît un nouveau goût vert.
Alimenté en turbulences,
De plus en plus d´ambulantes
Micro-migrations se balancent
D´un point à l´autre allant
Turbulents fous, vers où fuir vos guerres.

La poésie, ultime résistance

Face à l´informelle douleur d´un monde moureux, le dernier recours reste son irréductible foi en l´ultime :
A la question qu´est-ce que la poésie ?
Chacun la sienne puisqu´il s´agit avant tout de dire Je.
Réussir à mettre des mots sur l´ineffable
Et faire des images inouies nées de fables
Respirer les syllabes dans leur arôme
Toucher de peu l´âme d´un Rhome
Continuer de voyager entre les mots
Des langues de terre jusqu´au silence du sable.

Friedrichstrasse

J´sais pas , j´sais pas où va l´argent
J´suis pas, j´suis pas à pas les gens
Sépia, sépia cést la couleur
D´la honte à la mode d´la douleur.
J´m´fous, j´m´fous d´la souffrance
Tant qu´j´reste, tant qu´j´rest toujours en France
A consommer, a´s´consumer indifféremment
Tel un insatiable amant.
Magenta est un filtre
Qui laisse voir en pink
Cyan est un philtre
Qui veut boire des litres
Ma junte à moi c´est punk
Flirt, jeune et lunatic
C´qui n´a pas d´tune
Sûrement pas la une
Plutôt à « bleuner » et tiquer la lune ;
Un peu comme à Berlin
J´fuis, j´fuis c´qui reste des grands magasins
Des violets d´la Friedrichstrasse
L´envie de violents violets
Des violets violent l´envie
De violentes envies violées
Voll , voll ich hasse
Die Erscheinung im Magazine
Die Meinung so frei bleibt
A Berlinpinpinpinpin.