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Solitud Autumn

Solitud Autumn
Sensible retrait des sens
Autonome et seul si tôt ?
« bei uns, Ratstätte weit von Berlin »
Chez l´un ou l´autre autostrade
Les rades sont les haltes stradivariées
Au rythme des tankers trucks chari-vari, vari-chari
« eine Bein und Knee kommen auf die Autobahn »
Les phares froids défilent
Fluide d´étoiles filantes
Effroi rare d´un effacement
Une semence d´arbre se refaisant
Au bazar septentrional ballotant
Ballote dans la nuit brumeuse
L´humeur s´avoue enrhumeuse
Allo, allo dans tant de halos
Alors, alors que restent-ils des solitudes ?
Un solo balbutié en interlude
Entre des réverbères de Tankstelle.
Telle a été le sort resseentant la stèle d´un plus que parfait des plus esseulés.

Assez-yez-vous

Assez-yez-vous
Submergé par un raz de marée
Immergé dans un total arrêt
Subjuguer par des mots rêvés
S’immiscer dans trop de vérités
Avérées et sévères et asservies.

Sérieux comme se sériel se joue
Des partitions partout sous le joug
Conjuré d’un monde perdu,
Conjoncture de rondes déchues ;
Chut (e) de chuchotements.

Autrement se suivent les tenants
Aboutissant aux catastrophes fatales
Répondant aux assauts en rafales,
Terminaison farouche d’une année…

Nez à nez face à la manne rincée.
En voilà assez !

Ainsi va !
Vas-y reload
Recharges l’ode,
Connectes l’odeur.
If the pain cries
Islands of poetry
Sea from purity.
Cherches l’ardeur
Oublies la raideur
Restore l’humeur.

Prendre les traverses entre quartiers tissés

Prendre les traverses entre quartiers tissés
Vaquer vers les dalles de cité
Continue
Continue à
Continue à découvrir
Continue à découvrir les potentiels
Des tours et des barres
Des barres et des tours « empottés » en ciel.

Trouver la poésie dans un bac détérioré
Marcher dans un désert déterritorialisé
Procure la plénitude de l’urbain
Des tours et des barres
Des barres et des tours défaites au burin.

Rester au milieu de là où personne ne va
Surplomber l’autre ville que le soleil savonne
Accorde la présence assez privilégiée
Des tours et des barres
Des barres et des tours privées et légères.
06-09-2005
Continuer à rêver sur la ville arpentée
Ne pas vouloir grandir en son île argentée
Et cependant pourtant partant sous la tempête
Reprenant l’air à poumons pleins
Réinventant l’instant à peine soupçonné…

Sur mon manteau il y a l’automne
Oté maintenant auront autant
Raison les mots chauds différant
Le froid tombant indifférent…

Discernant dans un septembre soleil
Ce qui sert à trembler, seul sait
Reconnaître en la lumière en déclin
L’intensité ultime d’un déclic.

Rasant l’immensité en ses contours
Les arts nuancés des obliques ont cours ;
Détourées les formes s’adonnent,
S’entourent, se déforment, s’abandonnent.

Magie d’alchimie d’équinoxe passée
Ma mi-saison colorante ne sait pas
Si la moitié du monde disparaît
Ou si l’autre cœur est réparé.
15-09-2005

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s’aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
San dent m’indique en m’aidant
Un soleil d’automne refait.

Au delà de l’amour l’âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l’attache donnant malant
Plus rien à l’autre s’en allant.

Là calmement sur la place
D’une fin de journée lasse,
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action ;

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m’aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l’Un, maman.

Jusqu’où ce soir couchant
Inspire un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D’indien autant décrié ?

Hein dis moi conscience avisée
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grand tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l’évidence
Durant ceux qui dansent
D’un monde de faux semblant
J’exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet événement
De sa vie en avènement. 22-09-2005

Vivre tout intensément

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s´aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
Sans dent m´indique en m´aidant
Un soleil d´automne refait.

Au delà de l´amour l´âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l´attache donnant malant
Plus rien à l´autre s´en allant.

Là calmement sur la place
D´une fin de journée lasse
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action.

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m´aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l´Un, maman.

Jusqu´où ce soir couchant
Inspir un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D´un indien autant décrié ?

Hein, dis moi conscience avisée,
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grands tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l´évidence
Durant ceux qui dansent
D´un monde de faux semblant
J´exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet évènement
De sa vie en avènement.

Vivre tout intensément

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s´aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
Sans dent m´indique en m´aidant
Un soleil d´automne refait.

Au delà de l´amour l´âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l´attache donnant malant
Plus rien à l´autre s´en allant.

Là calmement sur la place
D´une fin de journée lasse
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action.

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m´aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l´Un, maman.

Jusqu´où ce soir couchant
Inspir un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D´un indien autant décrié ?

Hein, dis moi conscience avisée,
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grands tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l´évidence
Durant ceux qui dansent
D´un monde de faux semblant
J´exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet évènement
De sa vie en avènement.
21-09-2005

Prendre les traverses entre quartiers tissés

Prendre les traverses entre quartiers tissés
Vaquer vers les dalles de cité
Continue
Continue à
Continue à découvrir
Continue à découvrir les potentiels
Des tours et des barres
Des barres et des tours « empottés » en ciel.

Trouver la poésie dans un bac détérioré
Marcher dans un désert déterritorialisé
Procure la plénitude de l’urbain
Des tours et des barres
Des barres et des tours défaites au burin.

Rester au milieu de là où personne ne va
Surplomber l’autre ville que le soleil savonne
Accorde la présence assez privilégiée
Des tours et des barres
Des barres et des tours privées et légères.
06-09-2005
Continuer à rêver sur la ville arpentée
Ne pas vouloir grandir en son île argentée
Et cependant pourtant partant sous la tempête
Reprenant l’air à poumons pleins
Réinventant l’instant à peine soupçonné…

Sur mon manteau il y a l’automne
Oté maintenant auront autant
Raison les mots chauds différant
Le froid tombant indifférent…

Discernant dans un septembre soleil
Ce qui sert à trembler, seul sait
Reconnaître en la lumière en déclin
L’intensité ultime d’un déclic.

Rasant l’immensité en ses contours
Les arts nuancés des obliques ont cours ;
Détourées les formes s’adonnent,
S’entourent, se déforment, s’abandonnent.

Magie d’alchimie d’équinoxe passée
Ma mi-saison colorante ne sait pas
Si la moitié du monde disparaît
Ou si l’autre cœur est réparé.
15-09-2005

Vivre tout intensément
Avec ou sans argent
Les gens ont tous un art
A faire valoir en s’aimant.

Un pauvre indigent dément
A qui confier ce refrain
San dent m’indique en m’aidant
Un soleil d’automne refait.

Au delà de l’amour l’âme
Peut vibrer si bien sans mal
Que ne l’attache donnant malant
Plus rien à l’autre s’en allant.

Là calmement sur la place
D’une fin de journée lasse,
Au milieu de circulation
De jacques Duclos sans action ;

Après avoir tout perdu
Et surtout celle qui m’aima
Je reprends la vie qui perdure
Et le tout dans l’Un, maman.

Jusqu’où ce soir couchant
Inspire un accouchement,
De nouvel automne réécrit
D’indien autant décrié ?

Hein dis moi conscience avisée
Si les mots sont lessivés
Pour atteindre un grand tréfonds
Et toucher une grâce à fonder.

Rendu à l’évidence
Durant ceux qui dansent
D’un monde de faux semblant
J’exige le vrai en blanc.

Quelque soit le sentiment
Soit intimiste ou intimant
Reste cet événement
De sa vie en avènement. 22-09-2005

Démo-dynamique

Démo-dynamique
Plus je rencontre croisée
En interférences de soirées
Des flux refaits d’effets efforts
Plus je flaire d’autres éphémères
Oscillations jamais fermées.
Si l’os se met en action sous le foret
De sons s’allume en réaction une forêt
D’énergies éconduites électriques.

Plomberie d’une eau démo-dynamique
Nous n’sommes que des tuyaux qui s’animent
Avec l’aménité pour soigner l’anémique ;

Epoque antalgique et morose
Les artistes sont morts roses,
Vive l’art actif agissant
Seule praxis non agonisante.

Dynamo, dynamo externe
Dynamique, dynamique interne
Puissance d’être plusieurs
Plurielle nouvelle matrice
Liberté commune créatrice
Pour ne plus naître seul
Pour n’être plus seul.

Entre deux crée
Et plus que deux serait
Une illusion réifiée
Autrement dit qui sait défier
L’autre jusque là retranché
Derrière ce que les systèmes ont su rangé…
.

S’aimer

Quand le temps se prend entre tes jambes
La joie d’être entre tendre et dur semble
Sur toi sur le moment intensément
Echange en va et vient s’aimant.

Encore au plus profond rentre
Ta pupille fondante tant
J’y bois la beauté ambrosiaque
La baisant comme l’eau braise.

Au matin de nuits fiévreuses
L’amour reste avec ferveur
Pour la fierté heureuse
D’exaucer un tiers deux vœux.

Deux désirs si ardemment
Voulus font d’une paire d’amant
Un amour mûri au fruit
Sans licence souriant sans bruit.

Voilà aimer c’est un tout
Trouvé même un peu partout
Seulement voilà, c’est toi
Par émoi qui m’donne un toit.

Entre deux pointes tes seins
M’apportent un nouveau dessein
Attendre un moment opportun
De d ésir voluptueux transport.

Inlassable et raffermie
Ta peau prend un air raffiné
De sable odalisque oisive,
Vois là la musique que voici :

Sidorémilasifasolla
Cî dort rémi(niscence) lascive
Face aux seules essences actives
S’agite émérite au flirt
Ni sens ni rêve aux fleures heures.

Effleurée d’onctions heureuses
Jeu d’un joli moment exaucée,
L’âme sort ô comment exorcisé
Corps ciselé au long d’un sexe hiss é.

Ne rien faire d’autre que s’aimer
Laisser seule la grâce semer
Son fécond silence bienfaisant
Bien être ensemble là se faisant.

Effusion d’instants fugaces
D’un « fucker » et de sa garce
Comme en premier envol
D’oiseau aimé et volant
Aller jusqu’au bout de l’hiver
Pour un printemps d’hirondelle.

Le temps n’est rien d’autres qu’ailerons
Qui battent à chaque respiration.
Le cycle repart après expiration
Des espaces immobiles d’îlots ronds.

Viens,viens donc sur le dos d’un frelon
Voir,voir le renouveau fredonné
Par tous les instinctsamenéset donnés ;
Adonnéeaux instants de longs relans
Se relancent en verte montée
De trances diurnes éhontées.

Devancé d’un désir d’aimer
Alchimie de deux êtres aimés
De deux flux conjugués en cœur voyant
C’est un stade suprême et semé
D’un partage heureux et vivant.

Liquide inné et éthéré
En équilibre invétéré
D’une équidistance avérée
Car qui est libre , aime et verra…

Un centre entre univers lointain
Et vecteur de cœur atteint
Dessine un point déterminé
D’être ensemble terminé.
Doux paysage en ta peau
Pose mes gestes patauds
Enlevant mes oripeaux
Ton parfum dissoud ma peur.

Puis, s’épuise ainsi flaire
Puisse être exaucé que l’air
Soit autant ce corps que faire
Se peut encor être flirt ailé.

En allant encor aimé
Etre talent et heurté allé
Devenant l’attente de tes heures.

Nature entièrement profonde
De l’âme uni au monde fondu
Sans râture écrit la volonté cible
D’être également bonté libre.

Etre lié à l’autre belle d’hier
En température bêlière alliée
C’est d’abord quitter un confus hiver
Et à venir à l’ été enfin plus vrai.

Immédiatement vulnérable et vénérable
L’amour est un sirop d’érable
Qui sucre nos veines d’arbres
Grandissant et renaissant dans tes bras.

Son écorce tendre durathème
Ne dure qu’un « je t’aime »
Elle se laisse entailler
Pour que mon suc s’en aille.

La sève alors remontera
Des racines, sera sans honte
Devant tes yeux inouïs
Fleur d’une âme épanouie.

Les fruits pousseront Là où nos promesses seront Comme une vie certaine Confiance recueillie et sereine.
Un goût d’éternité durera Baume d’ un palais rare Entre nous c’est l’histoire interminable De l’humain sans drame minable.
05-07-2005

JUSQU’AU BOUT DE SOI

Des envols de pensées partent en poèmes aimés
Des vœux heureux partout rêvent ainsi parsemés
Je veux vivre en printemps de pommes imaginées
Il vole au temps suivi un hymne magie neigée.

Jusqu’au bout de son être n’est plus encor le même
Jusqu’au bout du seul monde rempli d’allegria
J’invente et rit aux anges de l’instant à rimer
Il vante à tour de bras sans qu’un son ne cria.

Sonne, sonne raison somme toute au fil de l’ordinaire
Ne plus nier les airs autres à l’ordre inédit
Jusqu’où ira le rêve d’harmonie à compléter ?

Chantes et chantes enchanté de jours anodins
N’est chantre encor radieux tout adieu à donner
Jusqu’au réveil vernal d’un amour de couplet !

18-03-2005