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Gueule unicorde

Gueule unicorde
A prendre de l´élan
L´Etat non subventionnant
Ânnonnant à arracher (le son d´un flambement de bois crépite)
Un non pour un oui
Un oui pour un lâché, l^cher prise (leit)
N´est pas lâche de faire du neuf
Faire du neuf pour lâcher prise
Pis aller, pis aller c´est là si près
L´Âtre d´Etre facétieux
L´Art d´air face aux cieux
L´épi de l´Amour
Un rythme de bois crépite
En reflet de table répit
Un son de chaise ne cesse
De couleurs est goût nécessité
Car la flamme a une danse
Parce que ce feu voyant
Force sémantique
Sans se pendre, apprendre à
Suspendre pour lesterl´anémique
Tirez, tirez les corps d´la dynamo numérique
Hâllez, hâllez jusque toit au dessus
Châtouillez, châtouillez le ciel doigté
Tâchez, tâchez d´y mettre du poids
Appréhende, appréhende à ne pas avoir peur
Connaître, connaître, ensemble circonflexe
De naître maître d´accent circonflexe
De mettre, mettre une voûte imaginée
De n´être, de n´être d´une °ame animée.
La physique des physiques
D´un suspennambule, que suis-je ,que suis-je
Qui suit et et déambule le fil en équilibre.
Si le corps s´accorde à l´esprit
Accomode la matière au goût
Des éléments règne l´évènement.
A renoncer à la gueule d´la cheminée
Quand la machine humaine a animé
L´ensemble s´activant devant l´Ivre réalité
Principe rêve irréalité.
De guindes acordées unicordement
L´uni a pris corps gaiement et dément
Défi à convier tous les éléments
Du bas vers le haut à ce ciel l´aimant
D´une toiture à la cheminée
Y´a pas de fin à ruminer.

Enzymes de Paris

Enzymes de Paris 11-01-2010
Paraît (bis), paraîtrait-il
Qu´à Paris, le spleen se plaît
Se plaint Paris est plein
Dans son ventre les enzymes
Bouffent (bis), tous azimut
Tous les hymnes…

11-12-2010
„le son que j´ai vu“ dixit Jean-Jacques au Mû
Paris sphérique gelée
„je l´ai“ (bis), je les ai les enzymes
de Paris digéré, j´irai
de la neige au verglas
glacé, c´est la jouer
la Comédie…

17-12-2009
être trop en société
atomisé, atome transcendé
de l´Etre anti-matière
s´éprouvant en voyageant
dans l´urgence…(::?

si se réalise le fond d´son inconscient
qu´en adviendrait-il du monde entier
ainsi révêlé pour chacun.
„le pas que beau se fait chier
au Hâvre“ dixit Jean
„intello tu tues l´eau“ inspirat Johann

libre de toute entrave
affranchi j´irai dans l´hâvre
de l´Etre ensoi au monde
du fond de son indissoluble solitude
„d´accords tacites d´un vert
mélangé, ange d´hiver
d´un verre anisé“ (dixit Julia) si né
le cinéma…

Apres quoi

Après quoi 31-12-2009
Après la fin de l´année
Après une époque suranné
Passe un nouveau jour
De l´an né rouge.
Leit:
Un chant en chacun
Chacun a un chant.

04-01-2010
après la fête de ses cotillons
après les alcools de réveillon
arrivent les résolutions
d´ultimes rêvolutions
premières désillusions.
Après la post décadence
Après la cadence des danses
S´éveillent conscience
Et poétique science.
Leit:
En chacun un chant
Un chant est en chacun.

Bleu ciel d’hiver

L´année dernière est passée
Derrière l´actuelle ne sait pas
Encore de quoi est fait le prochain,
du proche au lointain,
un peu comme en ce moment ce train
en mouvement dans une large étreinte
bleu ciel d´hiver en campagne
allant jusqu´à la mer sa compagne.
L´état tendre entre ressenti
Voyage en saississanzt instants
D´âme ou rapsodie d´un sang
Commun en qui le sentiment sourit tant,
en éléments réunis transitant
dans un transport tissant
un espace accord d´espèce de sens.
Les choses ainsi se rejoingnent
D´instinct pour que s´éloignent
Regrets, nostalgie et mélancolie;
Et que se mêle l´an à l´eau qui
S´actionnent en présent sel.
Au soleil se prend celle
Oubliant le temps du trajet
Jeune à la fois très âgée
D´éternels chants intérieurs
Et au teint de jour trÈs rieur.
Là-bas règne à l´horizon
Une reine lueur jusqu´ici en oraison
Réminiscence d´un paysage mélopée
Transforme toutes les errances épopées
En roman composé harmonisant
L´arrivée au hâvre réunissant
Destination et destinée rêve réunissant

A tout vent

A tout vent, à tout va
Rater son train
Et se retrouver
A tout vent en train
D´attendre ou je vais
Ou va je ne sais quel étain
D´un métal inspiré non éteint
Pour saisir dans l´entre temps
Les autres instant ou instinct
Pour écrire l´adresse à demain.

Ref:
A tout vent, à tout va
Autant se lève et t´avoue
Un poème sève au même
Rêve d´un Noel aimant.

Aménité du Hasard arrivé
De parvis (Paris) en square d´hiver
Ressentant tout autour des environs
En montée d´âme moment ravivé
D´êtres en choses au beau milieu
D´arbres aux étourneaux au lieu
D´être parti comme avec pigeons
Et rester seul oeil urbain dans son giron.

Dans cette halte inopinée
Sciemment ou inconsciemment
L´entre espace dévoile l´inné
Infinité loi mentionnant
Dans ses détails les vivants
Retours vers où va le vent
Tout à l´heure tout le temps.

L´occurence d´un vide imprévu
Se remplit de vie si près pas vue
Ainsi l´occasion fait le marron
Glacé à attendre en guise de repas
Les parallèlles coincidées sur des pas
Renoncant à l´idée du départ.

Le retard devient par chance
Des tours détourés en trance
D´amour d´un site trouvé
Oublié de toute les gares
Où va le vent ouvert
Va un lent art.
25-12-2009
NB: Absence des contingences rend simplement content.