Baüme Schäden in Schobenhaussen
Largué dans un bled bavarois
Sans pouvoir aider ceux qui avaient l´arroi
Je tourme „am Rand der mittelaltlichen
Stadt Dorf“. Glacis autour de gens
Glacés en mai catholique saintes
Glaces sur le Heimet´s Denkmal.
En ce soir bavarois j´y ai vu l´ennui
Mélancolique mêlé à la nostalgie
Du temps en léspace glas lassé
De sonner (bis) pour qui l´entend.
Ce son d´eau sourdant en quelques endroits d´eau vive de fontaines chantant
Les oiseaux heureux d´avoir cette
Circonférence de marronniers
Suivant un sente pourtour.
Pour tout creux mieux vaut
Laisser venir et couler l´eau
Sous ses ponts factices humains
Se humant „le soleil des fils de héros“ de demain.
06-05-2009 „die Sonne der Helden Söhne“
ecrire un poème soulageant son Âme
dans ce rythme de l´oreille interne
où chaque battement de coeur
entend son sang couler.
08-05-2009
Blog
Baumeschaden
Au bonheur de la ferme
Au bonheur de la ferme 03-04-2009
Ames animales connectées à l´Havre
Protègent le lieu d´aménité vrai,
Animaux non mangés restant vivant
Accorde paix et satiété satisfait à l´envie
D´un jour rempli le lieu se dépose
Et la lumière se replie et se repose
En soirée venu de consacrés rituels :
Près de soi d´humaine haleur si tu et elle rient
En musique en dansant sous demi-lune
Ensemble formant mi un mi une
Sans vraiment pouvoir partir repart un air
D´aucun retour sans plus de retard.
Autour d´une tablée 05-04-2009
De p´tit matin emballé
L´aisance amène 06-04-2009
Avec obligeance
Confiance transmise
En connaissance déffets
Instants toujours partagés
Installés ensemble
Autour d´un paon
Au soir de Pan
Assois ta peau ambre
Sois là avec la chambre
Nature Eléments
Environnemnt, c´est l´aimant
Que le Lieu l´a amené.
A plusieurs respire
Inspirre et s´en irait
Ici là, entrew temps,
Avant, après, pendant
Que d´rentrer ; Hommage
Au ciel fromaggio
Dôhm d´un très beau fermage
Fait d´hommes semés de femmes mages
De présence d´animaux
Restés en sérénité
Endroit berceau et bercail
Voil’à l´eau près du bétail
Allez, allez vaille que vaille
Au soleil finissant droitement
Voici vraiment un toit
Tout, to ut dormiront
Bientôt les mots dans lávre rimant.
Annonce
A trois pas d´Paris, pardi
A deux lieues des banlieues hardies
Y a un endroit au milieu d´un p´tit paradis
A nanterre université enterrée
C´est une ferme ouverte terrew et
Bonheur enciellé de temps serr´
Serait avrre de paix et d´aménité
Au seuil franchissant des éternités
O toi laisses à l´entrée toute ton inimité
Pour être rempli de grâce d´un nature bain
Autant j´ai 20 printemps bien sûr
Ni l´OTAN, ni l´G20 n´empêcheront
De venir fêter le renouveau trance
O vous viens rejoindre la saturnale danse
D´un rêvedans l´action p^chée
Ni dissension, ni fâcherie ne terniront
L´eau liesse d´Amours de terre qui iront
En l´air de cet enclos secrétement enclavé.
Cité interdite d´une franche de l´Ame et
Aux invalides
Aux Invalides 28-12-2009
Dans sa crypte funéraire
Le beau tombeau austère
De marbre marron enterre
Napoléonienne en air
D´allégories empereur pierres.
Aux Invalides non tombés
Les cours aux canons tonnerre
Entonnent en silence mortuaire
Un coup de semonce sans bonté
A la trêve espére en paix
Des touristes exaspérés
Par de continuelles guerres.
Aux Infanteries d´enfants
Fascinés par les fondants
Uniformes en vitrines
Si ainsi s´infantilise
La post société s´enlise
La nation aux Elysées
D´un terreau non fertilisé.
Aux plans reliefs „d´un pied
Pour cent toises“ à épier
Sur des maquettes d´époques
Posées sur tables socles
Se dilatent pupilles
Des nations obscures si les
Détails précisent ses cils.
„aux Afghans et nous“sommes
Tous victimes des hommes
Sans prestige dans l´honneur
Encouru de honte sonne
Le glas glacé dans l´heure
Renvoyée comme eux
A leur pays qui meurt.
A la lune dans la nuit
Brumeuse et comme lui
Bientôt ronde en boulet
De canon à tout chambouler
Pris à son pied d´ombre
D´empire des cas sombre.
Le Valaisan/ époque I Musiques des Montagnes du Monde
EPOQUE 1- LE VALAIS
L´émotion est encore là à l´arrivée
De la montagne au dessus surgissant.
Son paysage géant mugissant
Emeut l´^ame et suivrait
Le chemin du ciel lacté,
aux nuages stoppés et étalés.
Une montée d´âme serpente
Jusqu´aux cimes en pente
Et découvre l’á haut un autre
Rapport au monde, hôte
De ses hauteurs avallées;
Voici sous vos yeux le Valais
Pays d´un dieu au sommet
Dont la vigne est en somme
Don d´alchimie d´une terre redescendue
Et le goût d´un air odorant
Au terme d´une pédestre randonnée;
Voyez la ouate d´un ciel rendu
Embrasser le sol irrégulière au rendez-vous.
La variété des minéraux ,fleurs et animaux
Va en été accompagner la découverte
Des vies complètes des montagnes ouvertes
A 360° sans hourra ni mot.
Entendez la marmotte réveillée,
regardez une fourmilière vermeil,
touchez le sifflet d´oiseau,
goûtez du doigt l’eau
Du ciel. Respirez la quinte des essences
Et sentez cette entière quintessence.
assis sur un rocher promontoire
Pour poser le mot sur le toit,
de la vallée sillonnée
Par son petit Rhône, en bas de Sion;
Laissez vous envelopper
par le coton di ceil en paix,
Puis surtout après sa pause,
Ne tardez pas, et repartez
car je ne sais quel inspiré vent action
Pourrait vous emporter
Par monts transportés
Vers d’ autres cieux ports et
Vous retrouver soudain loin de Sion.
18-07-2008
A table concertée
( A midi)
Après quelques rösties
En guise d’un copieux ostie,
La discussion s’engage
Sur comment se déroulent
Les fils pour lester la Roue
Et confrontés à certains problèmes
de statique mobile probatoire (…)
(le soir venu)
Pour comment prouver un poids
« On peut foutre un peu de caoutchouc »
dixit Le Toînon et atchoum
Tout par terre
« Et si nous scions du bois »
Dixit Zonzon
« ça plairait au sapin si on
S’remue juste c’qui à
Changer un Jack qui a dit…
Et si malgré tout nous accomplissons…
18-07-2008
Face à certaines difficultés
Localement ocultées
Au lieu de le déplorer
Les Fils d’idées fusées
Font de la soucoupe uséee
Par l’espace fragile qu’elle déplace
Une invention adaptée
A chaque situation sur place;
De la matière à capter
Improvise un système constructif
A parfaire les palanquées
Par l’échange instructif
D’un plus rien à planquer.
Toute idée est dévolue à l’ action
A chaque situation la solution
Dérivée jusqu’à l’explosion
De rire. « 36 heures les gars »
Dixit Cisco sans s’ égarer.
S’agissant du temps à effectuer la prouesse
Tout le monde reste sous presse. 20-07-2008
tout l’ monde se connaissant suffisamment
l’ échange peut prendre savamment
Le liant d’une cuisine à composer
A plusieurs, pour plus qu’on ait osé
Faire ensemble le mélange
D’air entre chacun à manger.
Jamais ne s’arrête cette Roue
D’ingénérie à imaginer
Autour d’un fameux moyeui
A réussir à force d’avancer
Sur le parachèvement de moyens
Pour améliorer sa résistance.
Devant certaines contingences
Les contraintes révêlent les potentiels
D’ un point évolutif en permanence
Toujours ouvert aux idées essentielles.
Architecture vivante par excellence
Elle détient les possibles scénarii
D’exister et si elle semble ne rein
servir, elle prend forme et s’élance
Devenant chose protéiforme et réifiée.
L’harmonie d’une arborescence 19-07-2008
Se plante en communauté récente
The sky is wheeling derrière le grain des yeux
If finally i will Chacun a un brin des cieux
entre Chose ensemble Commun:
« L’harmonie va avec les gens » dixit Javier
« y’a besoin d’un enthousiasme » dixit Tof
« Onest tous là pour ne pas finir; c’est pas fini » dixit Guillo
« ça s’auto génère » dixit Le Zonz
« Faudrait trouver un système, jusqu’à présent c’était moyen3dixit Tib.
Le site du Tsalan 20-07-2008
En contact immédiat avec le milieu
Sur le côté du Tsalan mille lieux
S’étendent d’un surplomb superbe
Au son de cloches alpagués
sur les pâturages des alpages.
Myriades de petites vies sur l’herbe
Font d’un rapport lointain le proche
Environnement ramené d’un regard
Là simplement posé sur la roche
Considérant les alentours avec égards
Tout içi se ramène du monde à soi
En ce dimanche Amen simplement qu’on soit là.
Le micro val est
Dans un creux d’amour caché
Se sont rassemblées en conciliabule
Répondant comme au ciel à bulle
Toutes les fleurs sauvées d’être arrachées.
Préservées du vent d’est tournant
Une remontée légère du sol entourant
Les éléments poussant tranquilles
Qu’ils soient de pierre ou organiques,
Se love en dévers secret d’île qui,
Face à Montana d’un or vert et air naquit.
Là l’alliance est scellée par le passage
D’un p’tit volatile jaune sous le pas sans âge
Dont le sifflet s’accorde à l’inouï
Entente naturelle qui dit oui.
Devinez là où le val est et se nourrit.
La fête du boeuf 20-07-2008
Se perdant dans les pâturages
Traversant à patte en nuages
Sur les alpages apparut au nord
La résurgence d’eaux de source
et traces d’animaux non ours.
La rencontre des vaches en cornes
De la région se fit à travers leur berger
Sans chien mieux qu’un Cerbère.
Il reste au dessus du banquet
sacrifiant une de ces bêtes quand bien
Même leur lait fait du fromage.
Fête religieusement en hommage
A un rite paganiste ancestral.
Le repas s’accomplit du corps des Alpes centrales.
Autonomie d’action 21-07-2008
L’autonomie de la production
Dans l’Action synergétique
dans la nécessité d’une auto-
gestion par indépendance d’esprit
commun émancipant l’individu
dans une véritable force de travail.
Montage sur site
dès le matin qui nous lève advenus
une fois le matériel venu
Tous s’active avec intensité
Et énergie dans une densité
A faire naître en altitude
La Bestiole en mult^ples attitudes,
Comme à l’image de ces fourmis nerveuses
En activité, tout est acheminé
Sans plus tarder sur le terrain miné
Par les trous de sangliers vénères.
Piqués par les vies en frénésie
S’affairantsur le lieu choisi,
jonché de gentianes aux oisifs
Genets en bordure une synesthésie
entre micro-monde au raz du sol
Et humains géants arrivant rentre en symbiose.
(refrain sitologique universel):
Se connectant à l’Ame Monde
Par le truchement d’une montée d’âme
Soudainement inspiré du lieu d’élection,
seul de mes yeux vus émus en dilection
Se sont posés plus d’une douzaine d’oiseaux légers hosannah
Répondant au sifflet amené
Par l’âme parfois en connexion
Avec l’entiéreté d’une onction.
Tout rentre en relation tout durant qu’une attention
Se porte au delà des apparences
s’apparaissent les actions apparentées
sans paresse s’activant
En l’intérieur perçu des vies en acte
Sur le site extérieur. On s’entr’apprend
Tout à chacun au contact de ce qui prend
Tournure autour d’un endroit texto
Aux contours vivant de contexte….Ohhhhhh!
Sur la peau du Pô
Sur la peau du Pô
Sur les berges du Pô sinueux dans Turin
Romantique se pose Près d´arbres noueux l´urbain
Le long du fleuve stagnant à cet endroit précis
S´apercoit un beau cygne filant droit et si près
D´une mémoire d´Ôrmante il revient au loin fier
Du coté de cette rive coule le long d´un fief
Aux ambiances allemandes de naturelles hâleurs
D´une peau aquatique mue d´italienne chaleur
Changeant d´autres villes ailleurs.
Mon coeur amoureux de la montagne à la lagune passe de la haute oxygène à la noyade.
Il suffit de quelques sentiments
De l´autre manquant à sa rive et
Face à un port comme démonté
D´un coup arrivant sur la viale Piave
Entre Calle congregazione e me piuve…
Fleurir como uomo andro
Veut chercher un lait dans l´eau?
Note au Benet:
L´hypothénuse de Turin
3d filmage: prendre cadre serré détail travée d´un monument dans l´axe de rues perspective perceptible.
2D carte: déterminer les angles de carrefour d´hypothénuse intersectant les longueurs concourrantes.
26-08-2008
.
Delfi
Delfi
Gravir a nouveau la montagne sacree ;
Amene au site que le grec ancien crea.
De jaunes bleues mesanges accueillent
Au sifflet strident et a l espiegle oeil
Par le sentier emprunte par un chat elfe
de ces mondes chtoniens qu offre Delfes ;
La rocailleuse en surplomb de profonde
Vallee. Se pose d abord face a l onde
Du ciel un perimetre esplanade au dix
Simples colonnes alignees presentant l edit
D une montee decouvrant un panorama
Meilleur au niveau du demi cercle
Des rois d Argos e,brassant le paysqge
Penchee entre arbres. Du mur polygonal
A l arriere du portique des Atheniens
Base d offrandes Tarentis ; peribole
Pri,itif ; escalier dolonien ; Exedres.
Sejour des oiseaux races varies
Entre zigzag de chemin ; le rossignol est toujours la
Pres du tresor des Beotiens
Et celui des atheniens
A l edicule classique
Le rocher infractueux de lq Sybil
Au seul lierre a son pied
Le piedestal du Sphynx des Naxions
Portique des atheniens du boulenterion
A l autel d apollon amplitude
Des alentours pour au dessus l emplacement
De son temple en face le pilier de Prusias 2
Sur fond de roc ,ontagneux aux memes nuances
Colories de granit rouille
Fontaine d Asclepios
Peribole archaique
Cha,bre d Antinous
L Ischegaon
Scene du theatre ou la voix creuse
Sous ses pieds endalles une resonnance
Vibrant du larynx au talon grace au vide
Sous soi ; une acoustique peut monter en hauteur.
Direction le Stadium ; point le plus culminant
Decouvrant la vastitude d un lontain continuant
Pendant qu une longueur de jeux d athletes
Se campent en dessous d une ligne de crete.
Une fois la hauteur atteinte un axe decale
Se devine suivant une trace venant de vallee.
Et la commencant a redescendre tout
Finit par s articuler entre pieces
Sur un meme talweg suivant une invisible
Oblique a flanc de montagne.
Lecon d architecture appliquee a la
Geographie des lieux in situ sacral.
En contrebas sur le versant ; les vestiges
Du gymnase verifient le trace des monuments
Alignes sur le flanc de visu dont les extremites
Du parcours glorifient le corps entre stade et gymnase
Le theatre et les temples d Apollon et d Athena et son peristyle point le plus bas ;se dedient
a l esprit et l ame.
05/01/2008
Den leipzigen Regnen
Wieder warte ich auf den Regnen
Quand l´homme à la minerve revient
Sur la large avenue de la Karlliebknecht Strasse,
Résonne un orage arrosé passé
Allein unten leipzigen Regnen zu sein
Au coin de la rue je me guette à l´affût
De rencontres détrempées après le déluge d´éclairs.
Seuls les mouvements intérieurs de la ville
En colique promènent ses alcooliques sous la pluie esseulée
La ville disperse ses scories aux vents cardinaux suivant les canaux
Pour mieux s´engouffrer dans les voies percées aux chœurs électriques.
La fréquence des tramways règle le temps disloqué ici, à l´image des immeubles délaissés en chaos fractal
Régissant l´univers d´une constellation citadine.
Venez a Venezia
Venez,venez a Venezia
Signori e signore
Como como ne pas s´ignorer
Ballo, ballo gallegiante
Enfermée d´eau qui entoure
Inclose of watered gate
Venise vous absorbe sans route
Arrivant de nuit sur la lagune
Le Léviathan ouvre les portes
Invisibles d´une cité d´aucune
Autre partie du monde en sorte.
Le silence stagne sur les reflets de falots
L´indolence règne sur les flots.
Durant l´été vénitien le fauve
Somnole, ayant reposé ses ailes fausses ;
Il laisse ses places désertes au zénith
De jour comme de nuit et hésite
A sortir d´une tanière enfouie
De ses murs contournés et fuyants.
Le soir un mauve crépuscule essuyant
La sueur du jour bouscule ensuite
Le sens des chemins de canaux
Comme des machins dans l´eau d´anneaux…
Comme des machines de ronds dans l´eau…
Il y a ici un oeil intérieur urbain
Qui repose comme sur un bain
Sédimenté en séculaires bâtisses
Aux fondations d´abysses.
Chaque facade conserve ses genres
Aux hautes fenêtres rangées
Découvrant à peine son dedans
Car le félin peut montrer ses dents.
Sorti du fond de l´Adriatique
La posture bâti se tient hiératique
Nonobstant cet équilibre sur pieux
Faisant croire au miracle pieux.
Tel ressorti d´une mer lacustre
Des siècles de pierre lustre
Eclairent la « città » croupie.
Elle reflète même pourrie
L´image d´elle même somptueuse
Quand bien encore présomptueuse
Sur le restant d´un monde décadent.
Sur un miroir noir éternel d´eau
Dark watered mirror …
Tu te reflètes même quand tu dors
Odalisque ville lascive
Tu restes comme passive
Au fil des temps qui passent vite
Tu enfiles ton ancienne parure
De déguisement bleu à rayures
Tu glisses ton masque te voilant
Et te dévoilant seulement voulant
T´amuser, oublier l´ennui voilà
Qui accompagne tes fastes d´antan
Tu continues á drainer autant
De visiteurs touristes consommateurs
Tu serais devenu un parc ludique
Pour passants en mal d´être acteurs
Tu leur laisse un lassant circuit en italique
Au pittoresque circulaire italien voyage
Tu les perds en picaresque veuvage.
Et ici se charrie chargé le passé dans l´eau :::
Là trouver toujours la cadence…
Réunir tout le monde dans la danse
Dans un rapport entier à l´autre
Faire du bal un vivant manifeste
Invite tous à s´engager dans la fête….
Lettre à ma chère
Lettre à ma chère
Face à l´étendue calme de l´eau rejoingnant la soleil couchant, nous sommes deux astres en revolution permanente autour de la vie et son mouvement inexorable, comme tendus sans jamais s´atteindre.
De là vient une force commune, c´est d´être toujours séparés pour mieux se (re)trouver un instant intense, comme le moment d´un couchant et bientôt d´une aurora à faire naître du lune au soleil au tre….
Hier de partance n´est plus triste mais bienheureux, car l´élégie d´un Berlin plus apaisé aujourd´hui a su donner un gout different à ses rues mélancoliques pour réinspirer l´air des villes qui rend enfin libre, comme en voyage prochain.
09-07-2007
S´improviser sur un lieu, c´est comme lui conférer un centre qui est soi; s´introspecter soi-même dans la ville, c´est lui accorder le don de soi en profondeur.
11-07-2007