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C’est plus comme avant…

C´est plus comme avant Berlin 07-07-2008
Afin d´éviter la mélancolie d´Berlin
L´été prend des trajets autres bien linéaires;
Condamné à la ville, les mêmes ambiances
Se perpétuent toujours atterri sur un banc,
Restent les solution de se réinventer
Un Imaginäre au gré des rues vantées;
Il y a encore l´air qui conduit au hasard
Des poésies trouvées en cité, soi et art.
Am Engelbecken (le temps d´une station de pause urbaine avec de Berlin à mes côtés
Malekoum salam)

Dérive vers l´Elbe

Station 1: Lukas Klause

Là où s´emmène
L´Elbe fließend
L´affluent terrestre mène
Jusqu´au bastion de Klause
Eingeschlossen et closed
Dans un jardin Schloß.
So nah den siedlungen
Aktionfrei schreien die Jungen,
Die mit der Stadtfreiheit spielen.
Nicht so weit von Lippstadt;
Ach Natur mit deiner Zeitliebe
Kannst du alle Dinge so zärtlich
Reparieren? ach altes Romantismus
Willst du das Lebenstadt ein Roman werden müßen?

station2: Gegen über Elbe- Gegenüber Frieden Brücke

De l´autre côté de l´Elbe il y a une île de paix
Où les choses s´oublient en l´espace qui plaît
D´une rive en face l´autre de la plaine à la ville
De Buga au Stadtpark contemples donc ses vies.

Une fois ses ponts franchis Magdeburgstadt s´étire
De bourgburgs étendus sourd de terre et attire
A elle toute l´étendue tenue du nord au sud
Parallèle courant urbain sur l´eau qui dort.

03-07-2008

Breiter WeG

aussi larges et menées sont les avenues
A l´angle de leurs rues, les parfums sont venus
De l´Elbe la nuit soufflant le vent de plaine
Le long d´un fleuve errant comme si « aimaritime »
S´inspire rasséréné son air proche et intime
Sous des souvenirs d Elbe fliessend sciant
Le paysage mêlant alt collines italianisant
Quelque chose d’inchangeant
Cette chose entre le sol ; le sel ; les gens
Les villes ; l’Aktion et l’Être qui s’échange.
L´heure coule en fluide d´amour actionné.

07-07-2008

Envol de mots publics

En vol de mots publics
Les mots publics circulent de rue en rue véloces
Les voyez-vous voguer sur une parole envol
Souffleurs d´un feu commun, échange d´un oeuvrement
Récolté en quartier, au gré vraiment aimant
D´une rue en rue, reliant sur le lieu
L´entre –deux-habitant pour un beau milieu
Composé de chacun, réinventant l´espace
De ville partagée, ensemble rencontré
A travers tout et un quotidien en contrées
Racontées sans ambage, le long des rues qui passent ;
Les entendez-vous être flux et fluides mouvants
D´habité soufflé en publics mots émouvants.

Eloge à Léon

22-11-2008
Léon, dis nous, c´est long la vie à soixante dix
Ans sage arpentant champs et bocage normands
Quel est ton héritage essentiel soi disant
De sacrifice à l´oeuvre amour juste eaux dormantes.

Pierrot, dis nous, c´est loin l´enfant d´un septième ciel
Aux années de 38-45 liesse aimée
Entre souffrance oubli et France Algérienne
Orphelin reconstruis à partir de rien.

Léon, dis nous, c´est quoi les principales valeurs
Qui restent au Généreux entre sincère chaleur
D´etre confiance heureuse vraiment sans faux semblant.

Perrot, racontes leur, aux petits petits fils
De tes filles en famille l´histoire tirant les fils
De celui qui s´est fait tout seul au nombre ensemble.

Retour normand 16-06-2008
TER bleu océan filant sur fond de prairies
Vers ces ciels blancs au soleil qui riait
Jusqu´au mauve de soirée de juin rassérénée
Vert tendant en campagne tendre et rincée
De lumière arrivée en fin de journée
Comme au pied d´une pièce d´eau au son serein
De ruisseaux s´écoulant toujours nés
En Normandie redonnant le jour aîné.

Melancolie de juin

J m promene dans Paris
Jusqu au jardin des Tuileries
Seul au milieu des touristes
Sous un ciel couvercle rapide
J traballe une truite qui rit
Dans l vent qui vous lit
J sais pas c qui m arrive

J m sens emporte par l envie
De n avoir plus aucun desir
Plus qu a rester la c est dire
Comment etre sans vie
Dans l vent qui vous lit
J sais pas cqui m arrive

J m vois assis face aux champs
J m etends ainsi mineral
Paris en pierre renal
Meme couleur entre bas et haut
Pas d contraste en soleil chaud
J attends c qui est la
Dans l vent qui vous lit .