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Tout corps jour en toi

Tout corps jour en toi
Tous les jours en ton corps
Joue l´infininvisible
Fluide doux infini visible
Rêve toujours et encore.
De toi à moi la fin d´une cible
Tape dans mille dicibles
Con Poisson et coeur coron
Se pénètrent fronts contre front
A l´intérieur des forts
Tendre oeil dans l´odeur d´yeux
Se cueille au seuil
De ton jour et tout sort.
06-03-2007.

Si Tunis uni

Si Tunis uni
Tenue la Tunisie détient
Tes nuées d´la nuit, dès que s´éteint
Ta journée, s´réunissent dans tunis
Les Tunisois en tunique.
Ici, s´activent tous les soirs
(Sois Tunis, Tunisois…)
Hâtivement, saintement
Salam Malekoum
Tous les Malek s´aiment
Malekoum Salem,
Y´a pas d´mal à ca
Ca c´est comme être ensemble;
Inutile est l´ennui
Si sois-tu Tnis
Ainsi sont les Tunisois
Si faire d´la tune unit
Alors tant mieux pour Tunis,
Mais se taire s´il faut
Alors l?à l´accord ne vaut rien
que si Tunisien reste sien,
Si ni Tunis, ni soi reste sien.

Turbulences

Turbulences
La confusion de l´anti
Que Chaos sans gouverne
Ne revienne anéantir,
Ce qu´un monde nanti
N´ait usé vous guette !
Guet-apens de systèmes
A peine auront été les items
Allaitant la globalisée planète,
Tel un alizé qui t´aime,
Naît un nouveau goût vert.
Alimenté en turbulences,
De plus en plus d´ambulantes
Micro-migrations se balancent
D´un point à l´autre allant
Turbulents fous, vers où fuir vos guerres.

Brumes de novembre

Brumes de novembre
Soir de pleine lune démembrant
Paris en retour de congé en blanc
Les mines rentrent en humide spleen
Demain ils seront tous suppléants.

Enveloppée d´un nuage coton
Elle se love, élevée au fond d´son cocon
Enlevée nue au petit matin
E. vole, plaît à ses yeux mutins.
La nouvelle lune a décroché
L´amour d´un chant proche et
Mélodieusement mieux croches et
Notes aux dieux harmoniseront
L´hôte des lieux art ni mot oseront.
07-11-2006

D´instincts animaux
Animeront
L´instant minaud
Qu´qu´aimeront
Des âmes mots
D´amour monté
En novembre
Remembré.
Nouvelle Ambre
De novembre
Dans cette chambre
A hauteur de branches.

Dimanche d´un ciel crémeux

Dimanche d´un ciel crémeux
Dis moi l´Ange, c´est mieux?
Si de blancs miels émus
Rêvent en chambre au milieu mué.

Et laissant passer notre Etre partant
L´instant se prend se recréant
Le grand méchant mécréant aimant
Ne ment pas aujourd´hui dimanche

Lune d´elle

Tant va la lune qu´elle se promène
(seule) depuis des étoiles romaines (poméraniennes)
Qui naviguant en nuit pauvres mânnes
Des eaux cérébrales perd ramène,
Absorbant toutes pensées amènes (amenées).

Phoebée est une femme pleine
D´un parfait embryon essaimant
Quand la forêt se fait plaine
Dans l´ombre sauvage essayant
Le silence à peine en s´aimant.

D´un point à l´autre circulaire
Globe des contrées elle aura
Concentré les pays auriques
Rencontré les antres oniriques,
Accouchant son ventre à l´aurore.

D´un soleil autrement rossé Rosacée du matin ros´´e
C´est un relais d´astres retombés
D´un novembre automne bombé :
Flammes zénith en duex bontés.

Lied dehors

D´oeuvre hors
L´effroi de l´horreur
De mille mondes de hors œuvre
Gèle les ardeurs partant au dehors
« oubliez tous vos soucis
Au pays 3 francs, 6 sous
Des francais mal chez eux ,
Rances et malheureux,
A s´plaindr, à s´complaire
De complaintes en complies ;
Ca fait pas un pli pour les cons,
Au pays de celui qui veut plaire
Et qui manque pas mal d´air.

Lied dehors
Au dedans s´exclue
Du dehors cloué
Cet œil secret
Dont les rêves seraient
Ceux lointaines obliques
Rien d´autre que n´oblige
La fuite ou l´amour déguisé.
A l´affût derrière soi,
Elle s´en va s´asseoir
Ainsi assisse l´air se voit
Soit c´est un sursis à surseoir
Soit lui sied-elle que je parte ce soir.

Ballade à l´infante

Quiconque arrive à la cheville
D´un coeur enchevillé
Quinconce entre eau et rive aimée
Rend le rêve véhément.

Fluidité d´sentiment l´été
Esquive c´qui a été
Amoureusement oublié
De son âme aubier.

De 6 à 8 pieds
J´reprends tous les vers à l´envers
Comment à nouveau l´air
Revient en refrain épié.

Et si l´amour fait grève
J´me verrai dégrevé
De l´être éternel
Et créverai en terre de grès.

Mais si, si mirer le sol
D´un sol au ré d´humeur
L´amant qui se meurt
Trouve un chant d´amour soleil.

C´est là qu entre les deux amants
L´infini huit est monté
Jusqu´à cette saison
Et si personne n´avait raison…

Adieu ma belle Infante
J´n´suis qu´un éléphant
Qui de l´homme à l´enfant
Saura de qui l´enfantera.

Je sais tu chanteras
Un écho hantera
Mon oui étendu,tu vois le 8
D´un oui mêlé à ta voix d´huitre.

Refermes bien l´écrin
De ce que tu n´as craint
Car si l´amour est hyménée
De 8 à 8 l´hymne m´y a mené.

10/10/2006

Face au buisson d´Voltaire

Face au buisson d´Voltaire
Y´a deux chatons d´la rue Eluard
Pôle minuit passé sous les lueurs
D´lampadaire en dessous d´l´heure
D´la lune arabe par hasard;

Y mangent les os des poubelles
Sont sauvages, poivre et sel
Se changent en toutes les couleurs
S´prénomment Passer Elle a l´art.

Anges jumeaux passent et là restent
Sous l´arbre jumelle terrestre
Pleurant ses eaux égoûtantes
Leurs Oreilles encore écoutant
La mélodie pas trop dégoûtante
Inspire par pauvre et belle
De leurs yeux un peu comme Elle.