Blog

Tous les articles

Immense amour

Immense amour
Chasser le spleen jusqu’en Poçlogne
Ecouter l’hymne quand dans sa pogne
Retentit
Le manque en l’absence résonne
S’absoudre sans que se perdent les raisons
De ressentir du repentir .

Des étés rentrent, restent les raisins
De mi-saison mûri sous un astre serein
Derrière les nuages l’hyménée dans le gris
Dissoud l’imaginé grandie.

L’immensité s’ouvre avec altitude
Des pays ne dépaysent plus l’attitude
Dégagée d’être un autre heureux présent
Sourire pleinement à l’humeur d’une autre heure se prenant.

Vom judischen Friedhof bis Zion Kirsche
Prenant le temps d’automne, arpentant ce cimetière
Les pensées s’attachent tant à cette lointaine terre
Promise et ressentent le miel de tes yeux
Le fruit d’amour tombé éloigne l’ennuyeux.

Marchant entre les tombessous la saison bruni
Ton souvenir partout se trouve réuni
Dans un parcours partant avec cet écureuil
Sur tes cheveux de robe, au même bel œil curieux.

Le chevreuil se dérobe devant glands et marrons
L’amande déborde de cœur dans cet air marrant
Désinvolte en face celle qui a la clé du cœur
Car d’une nécropole au seul lieu gagné
Le soir flâneur ramène ton amoureux regard
D’un regain vif de source au son, lacté de son corps.

Immodérée

Immodérée et
Immobile odeur
De l´hyménée
Aux étoiles aimées.
C´est un trajet droit
Au coeur qui passe par un détroit
Périlleux des sentiments humains.
Vaincre sa passion à mains nus
Occire la souffrance crainte
Dépasser l´idillle répassée.
Un amour sans sujet amuit son être
Et résonne la nuit sans echo à faire naître.
Alors restses lié à l´essentielle sincérité
D´un partage en ancienne union héritée.
Tempérance sans tempête de juillet,
Etanche un fond d´âme mouillée,
Même si l´été avec toi me manque
Non loin de ton anse
Je mouillerai mon ancre
Continuerai à couler une encre
De mon sang oxygéne sans que
Cet odyssée ne fasse perdre mon cran…

D´arrêt…
Image restée
Magie éthérée
De l´amour
Sans loi, ni mort.
C´est un arrêt momentanée,
Jolie mome de l´année ,
Qui suspend l´évolution
De nos coeurs en révolution
Dégager le nuisible
Deviner l´indicible
Défaire léntiéreté inquiète
Faire un le présent quiet
Une amie objectale suffit-elle ?
Ma mie érectale erre futile
Alors restes ailé dans la lointaine randonnée
Avec le ciel beau et net à donner .
Echange humain et céleste
Etanche l´unité sans plus d´ordre à lester,
Même si l´automne sans toi arrive
Non loin de la rive
Je dormirai en ta beauté
Demeurerai là où sera tombé
Mon âme offerte sans être oté
De l´éternelle nuée modérée…
Et aérée…

Here are wars there

Here are wars there
Spoiling the only oil ring the bells
On earthwhere slowly sings the hell:
I saw yesterday men burrying
Others menin Liban burning
Under bombs, anyway war´s earning
Dead bodies wasting and hurring
Up through the grey clounds.
Is this world with political clowns
So unreal to become a circus
Consummed by a devil´scircle.
Performed to survive the will improves
Humanity serving and providing
Vanity vanishing and washing
Machines for soul and people.
The sky screams and rains purple
Tears of civil and innocent
Victims of warriors without no sense
To fight just only for a black incens;
North eagle is thus so a predator insane.

Ici est la paix là
Être près d´une essence, si proche comme d´une révélation, nepas se laisser le temps de s´installer pour éviter d´exploiter.
Berlin aboie en silence et lance sa colombe au dessus du char des alliances naturelles, des chars de l´Alliance dénaturée.
Peu de choses sépare et réunit.
Un instant,une route et une ville.
« viens sur mon île » me dit-elle.
Filante dans la nuit la Muse chérie
Hante mon âme pour le monde renchéri.
Peu de temps avant la fin du jour
Une lumière d´été s´est dispersé
En pluie d´une saison qui disparait
Puis le prisme a changé son crépuscule rouge.

Eros d’Ethios

L’éros d’Ethios en rose

Vue de la route ton corps
Voyage en paysage
Passé de la montagne à la mer par péage
Ce n’est pas simplement un pays contemplé
Mais tes formes amoureuses qui en font tout un temple.

Ressenti du jour plein ta peau seule adoucit
L’heure d’ une lueur regardée sans souci
Il arrive que le temps s’oublie et disparaisse
Derrière ces callipyges collines grecques de paresse.

Caressé en vitesse l’excés parfois atteint
Ton décolleté des sommets en teintes
Ton ambre sur la contréese change alors en or.

Goûter d’un nombril nu un soleil de désir
Rougit sur tes joues et ta lune rousse de plaisir
Surgit sur ton paysage corps sage qui s’ endort.
29-08-2004.

Vert amoureux vers Sienne

Sous les oliviers de l’été rôde
L’anima de ses yeux vert émeraude
Le vertige amoureux prend la couleur
Du paysage versé en toscane hâleur
Farniente en milieu de journée Hosannah
De niente le lieu prend l’âme d’ Annah
Belliza.

Terre de Sienne brûlé a pris le vert
Persienne de ses vieux volets sévères
L’horizon en claire voix de reliefs rondeur
Dégage un vol d’oiseau entre des collines d’odeurs
Le soleil surplomb dore les airs perchés
De villages en pic de chaleur sur une chère peau
Bellissima.

San gimignano n’ignore pas sur ses versants
La vertu de l’harmonie servant
Au-delà de ses tours et vers des détours
De touristes dans une ville musée détournée
De parcours parfumé entre oliviers , cyprés
Et figuiers extravertis dont le vertuheureux naît si près
De Lizabelle.

L’imaginée Aimée

L’imaginée Aimée
Par ton image aimée je réalise l’ampleur,
Face au néant toisé, du monde espérenpaix,
Un et humble devant toi , j’assiste sans peur
A la naissance année d’autres univers pensant.

Plaît-il à la magie animée d’ une année
Il est agi de rêve aimant comment planer
Point d’inflexion à deux, c’est tout de même t’aimer,
Qui des réflexions seules, m’enchante de mieux en mieux.

« A tout à l’heure, mon cœur », d’un sol au ré d’humeur
« tu me manques et si vite » il tend résolument
« A demain sous le toit », immensément t’aimant.

Inconscient actionné d’ axiomes amoureux
A l’écriture enjointe de joie reçue sur eux
A la gamme uni vers notre air mêlé maintenant.

A deux doigts

A deux doigts
A deux doigts de situer
Tout cet amour longtemps si tu
A sa place tant dévolu
Je jette tous mes dés dévoués

A deux doigts de jouir
Je les mets sans jouer
Au fond des lèvres inouies
Dénouant mes nuées nouées.

A deux doigts de ne rien vouloir
Tout devient aussi évolué
Que nous deux ainsi envolés
Dans l´idylle avoué de nous voir.

A deux doigts de parvenir
Ensemble au plaisir parvenu
Notre embryon est emparé et mu
Ala fois s´est grandi d´avenir.

A deux doigts de partir
Vers la mer variable. Roulons,
Tu jouis, je situe, nous voulons.
Doit-on arriver à lárt d´en rire ?
Doit-on ?
Doit on ou non se quitter ?
En rester là et finir par oublier#
Tout notre fol amour à lier
Pour sén tenir à cette chose acquittée.
Se contenter au beau milieu de l´´eté
D´extrémités tentées et regrettées
Au lieu de partir sur notre planète
Pour de nouveaux soleils à naitre,
Sacrifier ce chevreuil aimant
Dans un élan véhément,
Sauver cet oiseau blessé
Pour soigner l´âme délaissée.
En arriver à cœur ouvert
Aux aveux découverts
Et dépasser la perversité
Pour virer vers la vérité.
Suivre son destin
Avec un songe éteint
Survivre à la perte
Dans un malaise certain
Veut-on si oui continuer à s´aimer ?

Élection des voies amoureuses (II)

Toujours en mouvement vecteurs et fameux fluids
D´aimer les sens renaissent vers la folie d´une femme
Sensible et sans de cesse verts Ether si l´eau est blanche
Le sens d´être s´étend entre intensités sensibles.

Des images transitent dans l´air d´une pensée
Implicite perçu aux intuitions lancées
Nous naissons de l´écume unie d´un monde duel.

Transformer un flux de corps en tenségrité
Élaborer l´organe , concert d´intégrité
Nous aimons au lieu mÛ l´humain lien mutuel.
06-04-2007

« Etendue et profondeur »

« Etendue et profondeur »
Les moments étendues s’inscrivent
Quand les lignes tendues s’écrivent
Raconter c’qui se vit en direct
A travers c’qui vient sans dire rétif
Tout ce qui semble être tabou
Mérite un semblant de boutade.
Ecrivez, écrivez ce que vous avez
Sur le coeur car savez vous,
Même si inquiet à l’approche de l’été,
Que l’énergie intérieure se gâche;
Il ne faut plus être lâche
Pour engager sa vie à dire;
L’on peut mourir de n’importe quelle maladie
Si la veule morosité se propage
il faut un propane à l’eau d’une page
Car pour écrire sans épancher son âme
Autant faut-il face au vide en amont
Capter la profondeur de sa montagne.

L’Amour mûr

Fort d´un chose au fond de soi
Qui fait que rien ne décoit,
le retour s´effectue entier
aux fragments à réétudier.

Tout s´enchaîne avec harmonie
Bien pensé que soit non honni
Dans l´Ame d´un monde à aimer.

Tous et un poÈme à semer
Continue en chemin faisant
Avec sentiment bienfaisant.

Matière temporelle, l´amour mute
Toujours son Esprit en lÉspace
De l´immatérielle Ame qui passe.
28-08-2008
Torino-Parigi
Repassant non loin de la Suisse, c´est en franchissant la vallée d´Aoste que se termine ce Tour d´Italie avec le soleil couchant, direction ouest.
Trouver à Turin l´Amour mûr, en passant Piazza Cavour, là où d´autres auteurs se sont trouvés.
Intuition certaine du Hasard mené jusqu´à la place d´un milieuressenti de l´équilibre d´une ville entre pleins et vide ordonnancés régulièrement, entre tempsespace d´une vie en ville revenue.