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ANNONCE PREELECTORALE

ANNONCE PREELECTORALE
Contre tous mots ineffectifs
Je n’ ai qu’une parole faite d’éthique,
Contre tous ces requins mesquins
Mon prédateur qu’est le mien
Se prête à l’ acte dompteur
De ses « mots que rit le tueur ».
Peuples plurielles, écoutez l’aède
Qu’ils puisse de ses ailes tétraèdes
De poèmes venir vraiment en aide,
De vos peines soulager le tourment ;
Seules les anges l’entourent
Et la muse s’amuse de ses tours
De « brevis vita » jusqu’à « Ars longa ».
Munis, munis, si pâles
In situ, in situ, en situation
Unis, unis sans râle,
Municipales en action
Commune dont les intérêts
Ne sont pas de se taire
Mais bien au contraire
D s´parler politique concrète
Au coin d´la rue populaire
Tradition française citoyenne
Inspiration collective dans l´air
Débattons ensemble en direct Car Marianne vaut bien la troyenne (une plus une = troise)( …)

Morosité de mai

Morosité de mai
Comme une commemoration
D´une mémoire moratoire
Souvenez-vous de ces jours moroses
De mai sans plus de main à la rose.
Un 8 mai comme un 9 novembre
Comme un chagrin dé membrant
Les cites sans plus de droit
Ayant droit comme un roi
Sur ses sujets don’t l´objet
Est un ras d´bol et des jets de caillasse contre lacrymo
Surcontrôle et simulacra immonde.
L´occupation est un acre monde
Paris non plus libéré mais captifs
D´un exécutateur d´hiers hâtifs.
08-05-2007

Tu seras fus

„tu seras fus“
Tu serais furet
Et t´aurait-il tout fait
A tort et ferait
Dire la fierté
Pour un fief francais.
Fieffé fiel d´engrais
Envieux vieux jeunes en grés
Pour ceux qui seraient
En l´étau national si près
De la hâche aux récifs
D´un l^che sauveur Shériff
Dont l´ensemble affûté
Serait de tout refuter
Et si possible de fait en fût
Aura e uses effets…
Le temps mauvais a son meme complet gris
Ris pas Paris les condés sourient
Sur Paris en penitence
Rassasié en sentences potences.
07-05-2007

L’arbre à penser

L´arbre à penser

Dans le creux d´un arbre
Pousse heureuse une pensée
Montante en branchebras.

La naiveté
Accorde sécurité
Mieux que nier et voter.

06-05-2007

Élections des voies amoureuses

Electre a su choisir l´intérieur élu
D´une belle oiselle dont avec l´oeil lueur
Elle voit celle stellaire de l´étoile au soleil
La seule voix chantant l´énergie d´eaux là-haut.

Du poisson à l´oiseau se véhicule l´eau comme
Une âme oreille interne entendant un peu l´Ohm
Un humain pareil là à la tonalité
Près si se précisent les pensées oralités.

Transport télépathe et un brin papillonnant
Via vecteur patenté au désir sillonnant
Entre terres, mers et cieux harmonieusement.

Des elections finales désignant enfin
La verte voie d´une femme en hymne sur son dauphin
Au vote Amour centre sans le nier heureusement.
27-04-2007

Pouvoir vulgaire

Pouvoir vulgaire
Campagne galvodée et versatile
Où chaque candidat s’estime utile
A l’identité nationale sécurite
Sans immigration c’est le registre populiste facile.
Vulgarités
Langues politiques vulgaires
Vos vulves manquent pas d’air
Vous asphyxiez tout de vos guerres
Intestines, anodines et vilaines
Utilisant de paroles vulgates.
Vous n’enlèverez jamais la fibre
Poétique sève élevée à vivre
En ressource dans un Paris (Paris se tait-il, s’éteint-elle ?)
Amuï par des media papparazzi.
A chaque jour son poème
Car jusqu’à la peau aime
Transporter une fragange
Au-delà de sa petite France en arrogance.

Intensités d’être

Intens

Des vieux sans veillée

Des vieux sans veille
Les vieux sans veillée, ne leur en veuillez pas,
Qu’ils soient sans action ou nouveaux réacs
Ils ont peur de ceux qu’ils ignorent
Et sacrifiant de jeunes générations dans une orgie du nord
Se rallient à la cause d’un plus fort pouvoir.
Sécuritaires sont les mitoyens ; qui est pour voir
Solidaire sur terre ? Citoyens, pour qui nos voix ?
Hey, Papy, ça boom, l’confort du plumard à ressort
Etl’conformisme, n’est-ce pas la mimétis du confort.
Ploucs et ploutocrates, au pouvoir les gloutons
Sans plus de respect ni pour demain ni pour les autres en qui nous luttons.
Eux prônant le respect d’autrui, aveugles de son prochain.
Avenir ou pas après eux, les catasstrophes fatales,
Peu importe la fin d’un lmonde qu’ils engendrent,
Pourvu que leur vieux jours soient peinards avec un gendre,
Proche du gouvernement . Soit tuer dans l’œuf fœtal
Les gueux à l’intérieur de l’Etat vulgaire sur eux.
Hosannah aux plus haut des cieux amoureux
A devenir mieux que l’homme moureux.
14-03-2007

Essence du ciel

Sonnet en essence du ciel