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Here are wars there

Spoiling the only oil ring the bells
On earthwhere slowly sings the hell:
I saw yesterday men burrying
Others menin Liban burning
Under bombs, anyway war´s earning
Dead bodies wasting and hurring
Up through the grey clounds.
Is this world with political clowns
So unreal to become a circus
Consummed by a devil´scircle.
Performed to survive the will improves
Humanity serving and providing
Vanity vanishing and washing
Machines for soul and people.
The sky screams and rains purple
Tears of civil and innocent
Victims of warriors without no sense
To fight just only for a black incens;
North eagle is thus so a predator insane.

Ici est la paix là
Être près d´une essence, si proche comme d´une révélation, nepas se laisser le temps de s´installer pour éviter d´exploiter.
Berlin aboie en silence et lance sa colombe au dessus du char des alliances naturelles, des chars de l´Alliance dénaturée.
Peu de choses sépare et réunit.
Un instant,une route et une ville.
« viens sur mon île » me dit-elle.
Filante dans la nuit la Muse chérie
Hante mon âme pour le monde renchéri.
Peu de temps avant la fin du jour
Une lumière d´été s´est dispersé
En pluie d´une saison qui disparait
Puis le prisme a changé son crépuscule rouge.

Des territoires

Des territoires
leitmotiv
Des terres rient (ter)
A la guerre dé-
Territorialises
Palestine…

Bombes à nouveau sur Beyrouth
Liban souvent en déroute
Plus de cèdre au pays
Pour sauvegarder la paix.

Irak au pétrole spolié
Victimes sacrifiées voilées
Mensonges sur l´intérêt
Imposture enterrée.

Des armes, des armes au plus
Petit état de nations,
Tiers monde et quart deration
Règnent en râle encor plus haut.

Prétexte d´une terreur
Pour politique sécurit
L´homme serait une erreur
Infectant comme un prurit.

Nature ainsi défaite
Planète détruisant (en destruction) survient
De cause bonne à effets
Désastreux vient la survie.
04-09-2006

Soupires tes ponts

Soupires, soupires tes ponts
Avec ce sol qui se dérobe
Qui vacille pire que l´ombre
Vaille que vaille bonté
Du génie des places offertes
Des fontaines que nous fêtons
Farniente pour faire au fond
Une majesté sur la place
Faut qu´ca plaise ;
A la gente veneziana
Venez voir la reggazza
Ce nést plus la berezina
D´une byzance et sa razzia
De décors d´orient volé
Pour une ville recluse et lové
Pas besoin d´écluse pour l´amour
D´une cité aux mystèreys amorphes
Orphéo faire de l´or
Du sort des fées
Défait des eaux

Expirez, expirez vot´ballet
Vous irez,vous irez ballot
Montés dans une sorte d´ballon
Sur l´eau allons et allez
Durant l´été défait
Par la chaleur moite
Sur la place de moi à toi
C´est la rencontre d´une fête
Entre les canaux de creux salés
Quand l´échange d´une ivresse
Dans un partage des eaux d´ivraie
C´est au fond chacun qui dit vrai
En dansant soprano alto.

ILE DE GROIX (2)

ILE DE GROIX (2)

Prologue
Kerguelen 23-08-2006
Attendre fixement
Après avoir parcouru d´est en
Ouest les paysages jusqu´à l´estran
Regarder attentivement
La course des nuages enflés
Changeant de direction en fait
Voyager effectivement
Par l´esprit du matin maritime
Jusqu´à l´essence des choses intimes
Partir librement
Sur les flots éternels et mobiles
Pour atteindre le secret mot de l´île.

Mot,mot, moteur
Action Autant que faire se peut 24-08-2006
Aparté A groix les araignées d´hier soir
Sont grosses comme peignées d´espoir

A partir d´autant il se peut que faire
Soit non loin du trou de l´Enfer ;
Et pourtant s´y côtoie une sorte de paradis
L´histoire visée ne se dira pas
Au titre juste d´évènement improvisé
De festivalier au spectacle révisé.
Festive et estivale, l´ivresse constante
Reste réalité lorsque chacun est content
D´être dans un partage permanent au rythme
Régulier d´éléments inspirant l´isthme.

Univers féérique de grue gréée
Tournent sur elle même en manège créé,
Antennes articulantes et captivantes
Captent un air circulant de métaphore vivante
Avec leurs arrêtes de fils haubanisés
A regarder du belvédére sans banc ni ciné.
28-08-2006
coupez
Peut être art, air et temps s´hallucinent
Ensemble dans une alchimie usinée
Par des machinistes d´un film
Fellinien aux images filantes.

L´attention se porte sur la harpe
D´une tension extraordinaire par la
Capture de sifflement pour rappeller
A la marée son vent épellé.
Et de visu les sons invisibles de l´air vu
Apparaissent dans un claire voie
De bandes plastiques hachurant vers
Le continent des fractions accrochés au versant.

L´actuelle projection fait encore rêver
Dans des actionnements avérés :
Flash d´oeuvrement en direct s´dévoilent
Pour lever la merveille des voiles.

Refrain
Levant ,levant les voiles
Voilà (bis) la Polyphale
Vas-y,vas-y affales
La machinante à fables
Qui raconte Mada affable.

Fabuloso e de nada a todos
Toupie tourne et retourne le dos
De port Lay de sa cale adossée,
Pirates inventeurs pour rire ont osé
L´âvre de follies là où les poser.

Fol, fol air de Groix
Personne eut pu croire
Un jour d´imaginer voir
Autant d´art faire avec l´air
De rien : « Mais à quoi ca sert ? »
Rien qu´à vous transporter
Au monde tournant et portant
Des rêves éveillés d´un Port
Tout d´un coup ailé.

C´est promis juré
Après ce prix remis au jour et
Quittant cette escale
A l´année prochaine calée
D´un cuba libre à tir d´aile.

Allez,allez pour revenir
Sur l´île nous serons l´avenir
D´un équipage d´ils entraînés
D´entr´aide renée en train
D´se faire un direct simultané.

Sur place. Place ,place faites
Evoluer l´utopie en fête
Jusqu´`a cet hangar au fait …

Epilogue en el camiòn
« hey, René t´es chargé ou quoi
elle passe la charge sur l´île de groix
de què, de què, d´équerre
dans l´île des Ker,
loin de toutes les guerres. »

« hey Hubert j´n´suis qu´un buveur de projet
pas d´patate plutôt la crise à déroger,

Sonnet à l’organe

Insoutenablement en ces heures retenues
Un sentiment ténu s’enferme détenu
Derrière ses paupières dessinées de silence
Seules existent tes beaux songes clos peignés en cils.

Impertubablement en moment détendu
Une expression placide glisse en ces traits rendus
Devant son minois roi lisse sous la paix d’içi,
Ton miroir d’avant laisse le trou(ble) se dissiper.

Irrémédiablement entre corps ignorés
L’amour de diable en peau règne sur le cœur renié
On rit des oripeaux de nos âmes androgynes.

Indubitablement tu endors la nuit
Je durcis ma bite et ma mie m’amuït
Nous ne sommes maintenant qu’au début d’une origine .
21-10-2005

Sonnet à l’or manne
Main saisissant un sable sur ta peau paresseuse
Agace ce désir et passe encor caresseuse
Un dénuement complet d’épiderme dénudé
Me fait tomber dénu dans l’humide nuée.

Fol frisson court sur le long insaisissable
D’ une échine hérissée en reliefs chérissables
Une sensuelle attente par elle seule excitée
Me fait différer l’acte sexuel en elle seule.

Qui de nous commencés atteindra la douceur
D’une approche génitale de nos sexes soudeurs
A peine pénétré s’obtiendrait le plaisir ?

Qui de nous aimera recommencer rester
Au centre de nous deux en accordée terrestre ?
Tu ouvres enfin tes yeux dans lesquels je sais lire.

Sonnet à la mort d’un amour
Mon approche timide faite de maladresse
Respecte inimitée ce flot à l’âme tendresse
Vers toi indifférente inofferte aux avances
Réitérées des mains cherchant l’autre en cela.

Ta réserve inavouée ne laisse pas une adresse
Sans écho je suis voué à un destin dantesque
Sans toi aimante et là l’entier élan s’en va
Et nos ébats se perdent débattus et lassant .

Aucune rancœur au cœur rendu pour prêter
Ainsi encor à peine né l’amour arrêtait
Rien de plus ou en moins en rencontre acquittée.

Tacite entente à deux entêtés à teinter
Implicite attente d’autres amoures qui s’éteint
Nous nous sommes simplement finalement quittés.

Le profond de tes globes est une planète véritable
Fondante d’aneth en parfum stable
Ton regard de bonheur ravissent l’etre près
De toi² pour alors à l’heure prête
Regarder les abysses ciels
Et y voir un lys de miel.
Ton regard désarçonne
Organe de voix qui sonne
Eu égard l’œil polissonne
Fleur de l’âme éclose
Ton eau passe l’écluse.
L’inouï peut s’entendre
A travers des yeux tendres.

Your delight of eyes’light
Opens the stars of the night
Opera so that a joy might
Be sung by a right
Voice. Let’s ring
The soul’s sound earing.
By your divine eyes.

A l’orée d’ un trésor délicieux
Ton secret est or précieux
Etre entièrement entre quatre yeux
Fait de l’aimant un théâtre à deux.

La nouvelle lune d’un Phoebé a sondé
De son gros œil profond jusqu’à l’ aube mes songes et
Ton visage éclairé a réveillé un amour omniscient
Délibérément libéré connaissant sans licence
Le chemin reliant cœur et âme dans l’esprit
De l’ être renaissant et courrant qui respire
Des visions à venir arrivent par successives
Vagues à l’âme au fil d’une lame excessive.

Une insondable profondeur de prunelles
Démunit mon désir de lune pleine
Me renvoie face à l’une ce celle
Dénudée avec qui l’union fait cellulle.

Pas de crise à la question d’être un homme,
La réponse est indiciblement honnête :
Ne pas prendre pour cible la fleur
Qui est apprise par les caresses qui l’effleurent.

Comprendre jusqu’à l’entracte d’ un rire
Différer l’ acte jusqu’à l’écrire
Sentire ce que contient l’écrin
Comprendre l’entr’ acte d’un rire.

Un cycle s’apprête ainsi à reconstituer
Ses organes morts pour mieux les situer,
Refaits d’or, d’eau et de vie dilués .

Ta fée rit, M qui dort dans ce lit douillet
La féerie rode là haut en lune acidulée
L’ode à l’égérie s’érige ainsi dite et lue.

Ne laissons plus la saison émousser
Ce tranchant tempérament raffermi
Renaissons de raison ou dès lors c’est mou
Ce consensus de tendresse affirmée ;
On sait ce que la détresse d’être coûte
Je laisse au parc ses feuilles et en croûte
De visage abîmé mais dont l’œil lunaire se voit sur la route.