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Immense amour

Immense amour
Chasser le spleen jusqu’en Poçlogne
Ecouter l’hymne quand dans sa pogne
Retentit
Le manque en l’absence résonne
S’absoudre sans que se perdent les raisons
De ressentir du repentir .

Des étés rentrent, restent les raisins
De mi-saison mûri sous un astre serein
Derrière les nuages l’hyménée dans le gris
Dissoud l’imaginé grandie.

L’immensité s’ouvre avec altitude
Des pays ne dépaysent plus l’attitude
Dégagée d’être un autre heureux présent
Sourire pleinement à l’humeur d’une autre heure se prenant.

Vom judischen Friedhof bis Zion Kirsche
Prenant le temps d’automne, arpentant ce cimetière
Les pensées s’attachent tant à cette lointaine terre
Promise et ressentent le miel de tes yeux
Le fruit d’amour tombé éloigne l’ennuyeux.

Marchant entre les tombessous la saison bruni
Ton souvenir partout se trouve réuni
Dans un parcours partant avec cet écureuil
Sur tes cheveux de robe, au même bel œil curieux.

Le chevreuil se dérobe devant glands et marrons
L’amande déborde de cœur dans cet air marrant
Désinvolte en face celle qui a la clé du cœur
Car d’une nécropole au seul lieu gagné
Le soir flâneur ramène ton amoureux regard
D’un regain vif de source au son, lacté de son corps.

ci Berlin

ci Berlin
Coeur intact sous neige d´étrennes
Maintenant Paris
Reine rentrée de l´esprit taquin.

Cœur intact d´esprit taquin
Reine rentrée sous neige éternelle
Blanc opalescent
D´hiver latescent
Berlin a son œil intérieur urbain
Dans un coin d´œillade ciselé au burin
Œillets d´hiver aiment bien se baiser
Dansant sous les voûtes de brique
S´improviser dans la ville comme bon me semble.

Immodérée

Immodérée et
Immobile odeur
De l´hyménée
Aux étoiles aimées.
C´est un trajet droit
Au coeur qui passe par un détroit
Périlleux des sentiments humains.
Vaincre sa passion à mains nus
Occire la souffrance crainte
Dépasser l´idillle répassée.
Un amour sans sujet amuit son être
Et résonne la nuit sans echo à faire naître.
Alors restses lié à l´essentielle sincérité
D´un partage en ancienne union héritée.
Tempérance sans tempête de juillet,
Etanche un fond d´âme mouillée,
Même si l´été avec toi me manque
Non loin de ton anse
Je mouillerai mon ancre
Continuerai à couler une encre
De mon sang oxygéne sans que
Cet odyssée ne fasse perdre mon cran…

D´arrêt…
Image restée
Magie éthérée
De l´amour
Sans loi, ni mort.
C´est un arrêt momentanée,
Jolie mome de l´année ,
Qui suspend l´évolution
De nos coeurs en révolution
Dégager le nuisible
Deviner l´indicible
Défaire léntiéreté inquiète
Faire un le présent quiet
Une amie objectale suffit-elle ?
Ma mie érectale erre futile
Alors restes ailé dans la lointaine randonnée
Avec le ciel beau et net à donner .
Echange humain et céleste
Etanche l´unité sans plus d´ordre à lester,
Même si l´automne sans toi arrive
Non loin de la rive
Je dormirai en ta beauté
Demeurerai là où sera tombé
Mon âme offerte sans être oté
De l´éternelle nuée modérée…
Et aérée…

Here are wars there

Here are wars there
Spoiling the only oil ring the bells
On earthwhere slowly sings the hell:
I saw yesterday men burrying
Others menin Liban burning
Under bombs, anyway war´s earning
Dead bodies wasting and hurring
Up through the grey clounds.
Is this world with political clowns
So unreal to become a circus
Consummed by a devil´scircle.
Performed to survive the will improves
Humanity serving and providing
Vanity vanishing and washing
Machines for soul and people.
The sky screams and rains purple
Tears of civil and innocent
Victims of warriors without no sense
To fight just only for a black incens;
North eagle is thus so a predator insane.

Ici est la paix là
Être près d´une essence, si proche comme d´une révélation, nepas se laisser le temps de s´installer pour éviter d´exploiter.
Berlin aboie en silence et lance sa colombe au dessus du char des alliances naturelles, des chars de l´Alliance dénaturée.
Peu de choses sépare et réunit.
Un instant,une route et une ville.
« viens sur mon île » me dit-elle.
Filante dans la nuit la Muse chérie
Hante mon âme pour le monde renchéri.
Peu de temps avant la fin du jour
Une lumière d´été s´est dispersé
En pluie d´une saison qui disparait
Puis le prisme a changé son crépuscule rouge.

Eros d’Ethios

L’éros d’Ethios en rose

Vue de la route ton corps
Voyage en paysage
Passé de la montagne à la mer par péage
Ce n’est pas simplement un pays contemplé
Mais tes formes amoureuses qui en font tout un temple.

Ressenti du jour plein ta peau seule adoucit
L’heure d’ une lueur regardée sans souci
Il arrive que le temps s’oublie et disparaisse
Derrière ces callipyges collines grecques de paresse.

Caressé en vitesse l’excés parfois atteint
Ton décolleté des sommets en teintes
Ton ambre sur la contréese change alors en or.

Goûter d’un nombril nu un soleil de désir
Rougit sur tes joues et ta lune rousse de plaisir
Surgit sur ton paysage corps sage qui s’ endort.
29-08-2004.

Vert amoureux vers Sienne

Sous les oliviers de l’été rôde
L’anima de ses yeux vert émeraude
Le vertige amoureux prend la couleur
Du paysage versé en toscane hâleur
Farniente en milieu de journée Hosannah
De niente le lieu prend l’âme d’ Annah
Belliza.

Terre de Sienne brûlé a pris le vert
Persienne de ses vieux volets sévères
L’horizon en claire voix de reliefs rondeur
Dégage un vol d’oiseau entre des collines d’odeurs
Le soleil surplomb dore les airs perchés
De villages en pic de chaleur sur une chère peau
Bellissima.

San gimignano n’ignore pas sur ses versants
La vertu de l’harmonie servant
Au-delà de ses tours et vers des détours
De touristes dans une ville musée détournée
De parcours parfumé entre oliviers , cyprés
Et figuiers extravertis dont le vertuheureux naît si près
De Lizabelle.