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Lune d’elle

Tant va la lune qu´elle se promène
(seule) depuis des étoiles romaines (poméraniennes)
Qui naviguant en nuit pauvres mânes
Des eaux cérébrales perd ramène,
Absorbant toutes pensées amènes (amenées).

De grâce arrive
Ou pas à la rive
D´une eau immense
De sagesse immanente.
Fleuve au cours d´un nombre donc …

Onde sans nombre certains
Retrouvés s´égoutte sereinement
Sous le baume commun d´une science
Sensible en mélange térébinthe.

Ballade à l´infante

Quiconque arrive à la cheville
D´un coeur enchevillé
Quinconce entre eau et rive aimée
Rend le rêve véhément.

Fluidité d´sentiment l´été
Esquive c´qui a été
Amoureusement oublié
De son âme aubier.

De 6 à 8 pieds
J´reprends tous les vers à l´envers
Comment à nouveau l´air
Revient en refrain épié.

Et si l´amour fait grève
J´me verrai dégrevé
De l´être éternel
Et créverai en terre de grès.

Mais si, si mirer le sol
D´un sol au ré d´humeur
L´amant qui se meurt
Trouve un chant d´amour soleil.

C´est là qu entre les deux amants
L´infini huit est monté
Jusqu´à cette saison
Et si personne n´avait raison…

Adieu ma belle Infante
J´n´suis qu´un éléphant
Qui de l´homme à l´enfant
Saura de qui l´enfantera.

Je sais tu chanteras
Un écho hantera
Mon oui étendu,tu vois le 8
D´un oui mêlé à ta voix d´huitre.

Refermes bien l´écrin
De ce que tu n´as craint
Car si l´amour est hyménée
De 8 à 8 l´hymne m´y a mené.

10/10/2006

Face au buisson d´Voltaire

Face au buisson d´Voltaire
Y´a deux chatons d´la rue Eluard
Pôle minuit passé sous les lueurs
D´lampadaire en dessous d´l´heure
D´la lune arabe par hasard;

Y mangent les os des poubelles
Sont sauvages, poivre et sel
Se changent en toutes les couleurs
S´prénomment Passer Elle a l´art.

Anges jumeaux passent et là restent
Sous l´arbre jumelle terrestre
Pleurant ses eaux égoûtantes
Leurs Oreilles encore écoutant
La mélodie pas trop dégoûtante
Inspire par pauvre et belle
De leurs yeux un peu comme Elle.

Ballade à l’Infante (II)

Quiconque arrive à la cheville
D´un coeur enchevillé
Quinconce entre eau et rive aimée
Rend le rêve véhément.

Anges jumeaux passent et là restent
Sous l´arbre jumelle terrestre
Pleurant ses eaux égoûtantes
Leurs Oreilles encore écoutant
La mélodie pas trop dégoûtante
Inspire par pauvre et belle
De leurs yeux un peu comme Elle.
10-10-2006

September Sonne

Mon coeur zerbrêché
Revient à Berlin ébhété, fin d´l´été.
Un soleil sur la brêche
D´un mur dépassé se meurt trépassé.
Eh bien marches et répares cette lumiére séparée sur la ville plus de trois fois passée.
30-09-2006

Eclats brisés
Matin défait de brumes
Métro refait gris d´humeurs
Trop subi entre des murs.
Ma souffrance m´appartient,
Mon errance mise à part la tienne, me mène dans la dans parisienne.
Le halo irisé de la lune est
De bon alloi et rient les nuées
L´alloöi cirée crie la ruée.
Soir absorbant intense, nuit sortant enceinte,
Aurore pointant l´instant.
06-10-2006