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À la question, qu´est-ce que l´Art

A la question, qu’est-ce que l´Art
Myriades d´étoiles étant existées
Tant de pléthores d´art né fin d´l´été
A été un tort ayant droit de cité
Pour un état fort adoré, roi sans existence.

Refrain
Ah, mais qu’est-ce que l´Art ? (bis)
Oh peut être simplement de l´air
De rien, de faire avec la Matière
Otherwise neither Lord nor Master
Why Art does from Loess extract ?

Triades de mÉtaphores d´argent
Les gens ont tous un art, les gens
Fin d´république annoncée
L´art d´une chose jamais ne renonce.

Mais à quoi l’árt peut servir ?
Just´un peu vivre mieux qu´ses viscères
Une simple science devient savoir
Etre de méthode en moyeu sans avoir
Ou bien alors les moyens règlent la fin d´une science
Ou bien aussi la méthode obtient une sapience…

L´iliade de faire de l´art une enfance
Voyages d´artefacts de pensées foncantes
L´aptitude habile conserve une façon
D´allier esprit et matière en la connaissance d´un tréfonds.

Comment et où l´art agit-il ?
Techniques maîtrisées ou intuitives agiles
Il reste un résultat condensé à la moelle
Exercée ; est-elle « vraimante » cette peinture moderne ?
Serait-ce le fait d´art justifiant l´artifice
De construire un véhément théorème en édifice ?

Dia por dia

Dia por dia

Face au désordre mondial
Dialogues dia por dia
Jour après jour j’m'retranche
Derrière les écrans diffusés.

Démuni sans munitions
Je mire des images fictions
Sans aucune conviction
Face au monde en totale friction.

Inhibé, inanimé
Alibi d’ailleurs lointains
Cauchemar d’inanité,;
Je reste içi, là-bas toi là
Toi là bas qui reste sans toit
Dia por dia les jours s’entourent
D’indifférence générale.

Généreux pourtant sont les riches
Dons de toute part sans triche
Si ce n’est la différence
De victimes mortes sans déférence
Dia por dia l’anathème
Porte des problèmes à l’oeuvre humaine.

Novembre en toi

Novembre en toi
Mon membre en toi
Se tient droit
Novembre entre toi
Et moi c’est étroit

Vois ce dimanche novembre vibrant
Comme un cœur nouveau et brillant
Dans ce lendemain d’ excés ;
Une chanson légére devant ceux excédés.
Respires alors ce froid d’hiver rasséréné
Que nous procure l’étoile rare sirène
Saisis donc ces dés du hasard heureux
Pour que cette vie soit une chance aux heures.
Goûtes souvent cet instant novembre moment
De sérénité ambrée et aimante.

Décembre et toi
« j’sais plus dormir sans toi »
D’un mois à l’autre trop et tous ces gens
De moi à toi et les autres se toisant
N’est plus sans hormis cent étoiles

Etendre ce moment de décembre sur toi
Avec des yeux de si près magnifiques de toi
Fait ressentir aucune fin en soi
Et tend mon ëtre jusqu’entoi.
Au sentir vrai et proche de tes perles
Entières et intérieurs j’acquiers de l’air
Pour mon âme et dissoud les contours
Entre corps et monde tout contre toi.

Aimer me consacrer à toi
Serrer sous serment pour toi
Je vais dormir vraiment en vers et avec toi.

La contre plongée du monde

La contre plongée du monde
Dehors, dehors la banlieue flambe
Dedans ,dedans chacun tremble
Noir novembre neuf
Sédition tuée dans l’oeuf

Nove, nove novembre
Novembre novateur
Nouveau nouveau novateur
Nouvel, nouvel acteur

Cités sous feu couvert
désespoir fou vers ceux
qui se retranche derrière
une politique arriérée.

On ne veut voir guère
à nos portes la guerilla
Urbaine là-bas où il y a
La violence et la guerre.

Novembre se remembre
Comment comment être ensemble?

(No more « melhancolical »
So that many alcoolical)
(No way in one sens
Policies are none sense)

Sensiblement urgent
Ceux sans argent
Sans sens censément
Germent essaimé
Ultime plaine sans mers.

Mais s’agit-il de voyager
Quand certain couvre feux viagers
Allume le mécontentement
Méconnu ostensiblement?

Ignorer les différences complètes
Entre populations obsolètes
Amène aucune vrai aménité
Et sur la place force d’insanités
Ne pas s’être entre temps préoccupé
Des problèmes sociaux occultés
Oser se préserver des soucis
Du monde réservoir ou si
Alors voir dans la perte soit de soi
Une dépression soit de la planète soit de
Fin de civilisation de décades
En décadence d’actions introuvés.

Terre favorable de talents à partager
Air adorable d’un latent tapage
Cités en flammes défaites
C’est l’alarme d’une défaite
Défaisez le feu des poudres
De fusils mitrailleurs dopés
Suffit les railleurs de paix
Les piailleurs politicards
A la solde du vieux Giscard
rocard pris pour un tocard
Qu’il soit mythe errant
Tous à résidence
C’est la nouvelle résidence
Du prince (bis) du prince
Du vil pain
La ville c’est du pain
Hein fidèles chiraquiens
Qu’est-ce qu’à raquer s’pèce de chiens
C’est pas du chichi(bis) c’est chirac
Qu’à la fin déca déca quinquennal
Quiconque aura faim
Avalera l’ivraie d’un bon pain
Dans ta gueule de Sarko-phage
Qui mangera ses morts par l’oesephage.

ANNONCE du BAL

ANNONCE du BAL
Entrez, entrez dans l’antre
Tentez,tentez donc l’autre
Entre autres jouer sur le temps
Quand trop de tour saute en ut
Donner, donner un instant
Sonner, sonner la monade
Dame Jade servira autant
Pour tous un ré de limonade.

La lame improvisée s’émane
Simultanées d’âme en âme
Changeant le sort des années
Entre et tenant ses messages.

Notez que l’ dieu tendre,
As de la chasse au temps,
Chante de mieux en mieux tout.
Mais si, si mirer le sol
Réussit là dehors d’être vrai ;
Les phrases se succèdent seules
Fameusement rêvées.

Une phase en première atteinte
Dormira sous d’autres teintes,
La grâce assimile les airs
Là-bas vers des notes serrées,
Présent composé l’aimant
A plusieurs aspirateurs
De bonheur inspirateur.

A toute heure revenez là
Où ensemble prend d’la verve
Inventant directement
Les vecteurs ouvertement.

Allez, allez au palais
Des libertés exprimées
Rimez, rimez l’art en paix
Inspirez, inspirez les primeurs
Premières fleurs d’aménité.

SIDOREMILASIFASOL
Cî dort rémi(niscence) lascive
Face aux seules essences actives
S’agite émérite au flirt
Ni sens et rêves aux fleures heures.

Mome ,mome ,
Joli moment
Aux instants inconscients
Echangés en un quotient.

Notes hypnotiques suspendues dans l’air ambiant
Flotte aux approches d’autres univers brillants
L’ego s’alterne à l’autre
Altérité de l’ego, écosystème d’ensemble
Vivant d’actions échangées
En échange de quoi ;?
Quoi d’autre que des artistes,
Pas trop en permanence,
Partageant l’espace inspiré
Salé au palais, sans pis aller,
Allez, allez au palais
Des libertés exprimées ;
Rimez, rimez l’art en paix ;
Inspirez, inspirez les primeurs
Premières fleurs d’aménité.

Changer l’absurde échantillon
De la vie sourde et esseulée
Dans un passe temps antichambre
Où l’ange de l’espace seul le sait.
Un passe temps pas comme d’habitude
Où chacun change d’ attitude ;
Baromètre pour une température affective
Déployer un imaginaire collectif
En des pratiques autrement poétiques.