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Blanche nuit

Blanche nuit au matin anniversaire Florent
Fond en l’air l’élodie eau de feu l’or lent
D automne aux choses pliées à l´odeur de bois brülé
Recycle énergie en bienveillance sur eux beaux.

Jours entiers à la lune pleine et redescendue
En soleil rassemblé “d´espèce errante“ sans dû
Sang sans moeurs
Du sang du don meurs sans avec animal rythme
D´hier en sol présent inspiré en ces hymnes.

Syrinx soufflé doublé varie entre instrument
De jouer assemblé et l´air rit transhumant
Multiplié devient l´humain ré inspiré.
En tout lieu humain harmonieux, tenons
Mortaise à l´aise ceux qui bonheur renaissons
„Doublon d´arbres détendent l´horreur aurore répit.
07-10-2009

comme une obsidienne de ses boucles d´oreilles
comme l´abside en bouche dort et réveille
elle concentre au grand matin ce qu’un soleil
porte en ombres portées… 14-07-2009

grenier des enfants
l´on enivre rire est là
„les mères peuvent tout faire
elles sont plus fortes“ dixit Anne
si forts sommes nous…

Septembre square

Septembre square 07-09-2009
Si le hasard en route se pose en espace vert vers
Les enfants à leur mère, tout en terre est verveine
Au soleil sieste thé une veine se déverse en déveine :

Transit Paris Nantes 29_08_2009
La route a vive allure s avallent les kilometres
D ocean en nuages vaisseaux d eau sans trome
Voyage imprevu blanc vers l atlantique estuaire
Silence celerite laisse coment se taire.

Au vaisseau vais-je aux eaux 02-10-2009
Sous la verrière hier l´été était resté
Est-ce l´envie de pleurer au ciel changeant d´automne
Qui va garder l´arrière lueur avant autant
Que la pluie charriera après un soleil d´est…

Vais je au vaisseau
Pour gouter les eaux
Musicales entre eux
Et faire un voeu

Des sons cris d´enfants ouvrent toit et verrière
Vers hier à demain s´en vient tout soi® varié
Besoin de Baleine urbain relais serein
Dans le ventr entre eux sert d eau à la ville pour ses reins.

Ca sert à quoi (bis); à rien
Détanches, détaches chacun d´un lieu
Au lieu d etre seul avec entre eux c´est mieux
Cithare ensemble
Si tare soit-il ca sert à quoi
A rien sinon qu a rentrer chez soi
Seul etre engage en ferveur.

Plaine de Vincennes
Un tronc abattu reste en vestige oublié
Sur la plaine de Vincennes aux corbeaux rassemblés,
un dernier soleil darde de ses rayons en biais,
la sève éteinte partant sans verte tige aubier.

L ´automne arrive nord est frais froid
L´odeur forte de terre monte…
D´automne indien en vingtième et unième
De dimanche dernier octobre „derrièrhier“
Siècle nouveau rétrograde d´arrières…
15-10-2009

J’aimerai R

J’ aimerai Réjane 15-07-2009
J’aimerai Réjane narrer aujourd’hui
Ce qui me retient içi sous huit jours
N’ayant plus ce train maintenant l’attente
Au Luxembourg fait la Muse à tenter.

J’aimerais Réjane arranger l’arrêt
Pour qu’il soit tendu (tenu) à ne pas rater
Cette Chose entre autre ressentie de toi
en ru(e) transportée d’Âme que je te dois.

J’aimerais Réjane nager au soleil
Brun de tes prunelles et vouloir l’oser
Ce quelque chose à suivre bien tracé
D’Amour renouveau lacté de ton Astre.

Septembre se lève-t-il ?

Le vent levant les feuilles éclairées c´est levant
La sève jusqu´en nuages errés et élevant
Le rêve essentiel ainsi que va septembre
La vrai vie d´éléments s´enroulant c´est bien entre
Suivre un soleil éclat tant sa course encore tracé
Dure en scintillements et contrastant anthracite
Le changement appert-il que le vert se perd?
Il est temps que septembre fasse que tous se relèvent.

Fragilité d´être
Etre cést fragile
Exister c´est d´l´argile,
Pluie sous éclaircie
Septembre est si clair
Sur l´équinoxe gracile.
La nuance sensible
Contraste en lumière
De saison changée indicible.
Le ciel prend l´allure de pierre
D´un granit bleu gris d´hier.
C´est l´automne arrivant
Vers le nord est et sa ria
De mer continentale où demain ira…
Pendant que les éléments au rythme
Lent suivent l´isthme
De changement de saison,
L´humain perd sa raison.
2j´t´l´dis , mon frère
J´aime pas les arabes“
Entends-je de la bouche de neujs
A l´américain ferré.
Pour la connerie y´a du rab
En période de Ramdam
Eh c´est Ramadan
Sous l´équinoxe d´un milieu
De nuit comme de jour au lieu de maudire
De médire
J´n´ai pas peur de l´Islam
Car du fond d´mon âme
J´t´vois l´amisoufi
Suffit les intégrismes
Religieux et politiques, écris la joie et l´aménité
Imaginées; mieux que l´inanité
Images innées de poétutopies,
A bas l´égoisme et la vanité.

La femme en gamme

Dos dans ton dos
Dormiront ses yeux
Ré pr`s d´tes reins
Rêveront les cieux
Mi au milieu d´tes seins (hi,hi…)
Migreront ces russes
Fa, ca c´est la femme
Fameuse fleur d´ut
Sol sur son lobe
Soleil sâcré en Uranus
La le long du larinx
Là existe en point concis
Si la voix est Sphinge
Si siffle le souffle en cocsis.
Donc
Réponds
Mime
Facon
Solstice
Latescent
S´immiscant.

Vais=je au vaisseau

Au Vaisseau
Sous la verrière hier l´été était resté
Est-ce l´envie de pleurer au ciel changeant d´automne
Qui va garder l´arrière lueur avant autant
Que la pluie charriera après un soleil d´est?

Ref:
Vais-je au vaisseau
Pour goûter les eaux
Musicales entre eux
Et faire un voeu?

Des sons cris d´enfants ciel ouvrent toit et verrières
Vers hier à demain s´en vient tout soi® varié
Besoin de Baleine urbain relais serein
Dans le ventre entre eux sert d´eau à la ville pour ses reins.

Leitmotiv: „ca sert à quoi (bis)?, à rien.

Détanches, détaches chacun d´un lieu
Au lieu d´être seul avec entr´eux c ést mieux
Cithare ensemble
Si taré soit-il
Ca sert à quoi?
A rien sinon qu ´à rentrer chez soi.

Baumeschaden

Baüme Schäden in Schobenhaussen
Largué dans un bled bavarois
Sans pouvoir aider ceux qui avaient l´arroi
Je tourme „am Rand der mittelaltlichen
Stadt Dorf“. Glacis autour de gens
Glacés en mai catholique saintes
Glaces sur le Heimet´s Denkmal.
En ce soir bavarois j´y ai vu l´ennui
Mélancolique mêlé à la nostalgie
Du temps en léspace glas lassé
De sonner (bis) pour qui l´entend.
Ce son d´eau sourdant en quelques endroits d´eau vive de fontaines chantant
Les oiseaux heureux d´avoir cette
Circonférence de marronniers
Suivant un sente pourtour.
Pour tout creux mieux vaut
Laisser venir et couler l´eau
Sous ses ponts factices humains
Se humant „le soleil des fils de héros“ de demain.
06-05-2009 „die Sonne der Helden Söhne“
ecrire un poème soulageant son Âme
dans ce rythme de l´oreille interne
où chaque battement de coeur
entend son sang couler.
08-05-2009

Ouvrières et ouvriers

Oui ouvrières et ouvriers velléitaires
Ouvrez l´action des terres vêlées
Le temps d´un printemps déferré
Se prend à temps plein différé
Dans un vert inondant délivré.
Les prairies donnant l´ivresse
Une génération généreuse d´ivraie
De nature heureuse à dire vrai.
La route resplendit indéterminée
De circulation que perdit l´interminable
Espace étiré et retendu en terminal
Entre villes et campagnes endurcies
D occurences provoquées sciemment
En des hasards convoqués inconsciemment.
Le voyage ouvre en claire
Voies des champs intérieurs en labour
Voix de chants antérieurs c´est entre l´Etre et l´air
La joie gage naturelle sur l´aile en l´Amour.
28-04-2009

Saint arbre creux

Saint arbre creux 15-04-2009
Revenant au pays de son enfance
Sans plus de nostalgie d´ailleurs en france
Reprenant le chemin d´aieuls à venir
La pluie de printemps étanche souvenirs
L ´Ame immanente en Nature symbiose
Dans le creux connexe d´arbre au sein si beau.

Ref :
Source en retournée
Ressource narrée
Sous l´air en arrêt
Ours heureux nourri
Sur l´eau entouré.

Se retrouver seul entre deux terreaux
Aere trouée en ciel entre éther et eau
A l´air inspiré au sein d´un creux vert
Vers expiré en rêve veillé vers eux
Veil d´un jour vieux au tronc durathème
Nature levée sans plus d´an