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Venu sur le vert

Venu sur le vert 07-04-2009
S´étant planté d´adresse
Mieux vaut se planter sans résa,
là sur un banc entre les mélèzes
Dans l´fond du parc de Bercy,
il y a certes pas de persil
mais des parterres de primevères
au soleil de printemps premier vert:
rasséréné un temps se prend
en paix de fin de journée qui s´éprend
au milieu d´oiseaiux picorant
et de chiens en chasse parcourant
les pelouses encor au repos hivernal.
Le bonheur revient si vernal
Simplement senti aux odeurs
Complexes mélangées dans l´heure
Parfurmée de Nature revenu;
Songez à la symbiose alors survenu
De soi en être d´osmose d´or sur le nu.

Shakra 08-04-2009
J´ai des fourmis dans la tête
En lumière au lever du soleil étant
Le matin fécond d´épiphanie
Etanche ce fond d´âme heureuse
Par nature de coeur lotus
D´homme primordial du soi
Commencement au dessus d´une totalité
Compacte unité totale du Cosmos.
13-04-2009
répétition des paroles récitées
mythe de cosmogonie recréé et resitué:
habiter le mythe…

Au bonheur de la ferme

Au bonheur de la ferme 03-04-2009
Ames animales connectées à l´Havre
Protègent le lieu d´aménité vrai,
Animaux non mangés restant vivant
Accorde paix et satiété satisfait à l´envie
D´un jour rempli le lieu se dépose
Et la lumière se replie et se repose
En soirée venu de consacrés rituels :
Près de soi d´humaine haleur si tu et elle rient
En musique en dansant sous demi-lune
Ensemble formant mi un mi une
Sans vraiment pouvoir partir repart un air
D´aucun retour sans plus de retard.
Autour d´une tablée 05-04-2009
De p´tit matin emballé
L´aisance amène 06-04-2009
Avec obligeance
Confiance transmise
En connaissance déffets
Instants toujours partagés
Installés ensemble
Autour d´un paon
Au soir de Pan
Assois ta peau ambre
Sois là avec la chambre
Nature Eléments
Environnemnt, c´est l´aimant
Que le Lieu l´a amené.
A plusieurs respire
Inspirre et s´en irait
Ici là, entrew temps,
Avant, après, pendant
Que d´rentrer ; Hommage
Au ciel fromaggio
Dôhm d´un très beau fermage
Fait d´hommes semés de femmes mages
De présence d´animaux
Restés en sérénité
Endroit berceau et bercail
Voil’à l´eau près du bétail
Allez, allez vaille que vaille
Au soleil finissant droitement
Voici vraiment un toit
Tout, to ut dormiront
Bientôt les mots dans lávre rimant.

Annonce
A trois pas d´Paris, pardi
A deux lieues des banlieues hardies
Y a un endroit au milieu d´un p´tit paradis
A nanterre université enterrée
C´est une ferme ouverte terrew et
Bonheur enciellé de temps serr´
Serait avrre de paix et d´aménité
Au seuil franchissant des éternités
O toi laisses à l´entrée toute ton inimité
Pour être rempli de grâce d´un nature bain
Autant j´ai 20 printemps bien sûr
Ni l´OTAN, ni l´G20 n´empêcheront
De venir fêter le renouveau trance
O vous viens rejoindre la saturnale danse
D´un rêvedans l´action p^chée
Ni dissension, ni fâcherie ne terniront
L´eau liesse d´Amours de terre qui iront
En l´air de cet enclos secrétement enclavé.
Cité interdite d´une franche de l´Ame et

Changement d saison

Changement d’saison 24-03-2009
Au ciel incertain de certains jours
Les choses stagnent en tours de nuages en cours;
Entrebaîllé un soleil apparaît
D’éclaircie d’esprit d’instant réparé.
Le jour d’après pleut de larmes célestes
D’eau douces en fusion de crise à lester.
Hume l’air (ter)
Respire l’esprit (bis)
De science partagée,
Esprits d’espoir.

Aux invalides

Aux Invalides 28-12-2009
Dans sa crypte funéraire
Le beau tombeau austère
De marbre marron enterre
Napoléonienne en air
D´allégories empereur pierres.

Aux Invalides non tombés
Les cours aux canons tonnerre
Entonnent en silence mortuaire
Un coup de semonce sans bonté
A la trêve espére en paix
Des touristes exaspérés
Par de continuelles guerres.

Aux Infanteries d´enfants
Fascinés par les fondants
Uniformes en vitrines
Si ainsi s´infantilise
La post société s´enlise
La nation aux Elysées
D´un terreau non fertilisé.

Aux plans reliefs „d´un pied
Pour cent toises“ à épier
Sur des maquettes d´époques
Posées sur tables socles
Se dilatent pupilles
Des nations obscures si les
Détails précisent ses cils.

„aux Afghans et nous“sommes
Tous victimes des hommes
Sans prestige dans l´honneur
Encouru de honte sonne
Le glas glacé dans l´heure
Renvoyée comme eux
A leur pays qui meurt.

A la lune dans la nuit
Brumeuse et comme lui
Bientôt ronde en boulet
De canon à tout chambouler
Pris à son pied d´ombre
D´empire des cas sombre.

Le centre Regard

„Straßen Ecke“ 13-12-2008
Reprenant tranquile l´arpentage
Je marche et flâne sur des pans d´âge
Ecroulés d´hiver aux hâleurs
De rumeur clamée sans chaleur,
réchauffan la ville sans coeur,
Arrachée cette réalité désuette
Pour faire résonner muette
L´Hymne réconciliateur,
Après des pamphlets calomniateurs,
„Strassen Ecke“ n´ajamais pu dire adieu
A láménité tant rêvée jusqu´aux dieux;
„Rester au milieu de là où personne ne va (…)
Continuer à rêver sur la ville arpentée (…)
Si divague ne signifie rien, va tén !
Deux d´équations font tant
Autant s´emportent les vents d´espérants
S´entre regarde au dedans des fenêtres s´ouvrant
L´Etre très rieur.“

Le centre Regard 14-12-2008
Se poser entre autre Chose
Fureur d´écrrire
Furie d´un cri
Volonté de se parfairee
Se mettre à l´épreuve
D´èprouver les autres

Kindheit

Vouloir revivre tout ce que l´Enfance a vécu
Discerner tous ses sens d´avant comme pour après
Quel genre d´importance prend cet âge cuvée
Entre rémisniscence et souvenirs sapés.

Revoyant au flohmarkt le jouet d´un train chéri
D´Enfants nés à Berlin en train de jouer si riches
Les possettes se poussent passent les ans font un hochet
Du temps qui habite et l`Espace se fait chez l´hôte.

L´Enfant détient un Art spontanément inné
En devenant acteur en aimant tout bien vivre
Il voit entièrement les choses à l´intérieur.

L´adulte Enfance de l´Art ne va pas se renier
Devenu en un lieu pour suivre ce lien
Je l´entrevois entre autre chose cet Etre très rieur.

Proférer la poésie

La poésie se précisant est essentielle à tout Etre cherchant son Essence ciel.
Bis einunddreißiigste des Jahres
L´Amour en désuétude renaît
Loin plus loin l´ouest
Sans avoir rien d´concret
Entre les mains sugar sucrés
Opened World to Love or
L´amour en symbiose
Plus près à lÉst
En ayant tout économe
De l´Eco Individu autonome
Under the Eye World´s Kugel
Sous l´Oeil Mundi Cupola.

Spleen en retour (transit)

Du soleil à la pluie
Il y a un automne
Variable en une aumône
Du temps en route qui fuit.
Des bribes de souvenirs
Se projettent sur l´écran
Du ciel au bleu errant,
trajet à survenir.
La campagne colorée
S´efface en camaieu
De saison mordorée;
Le spleen s´aime mieux.

Zionkirch Gebet

Réconcilier la ville avec une parole véhiculée
Concilier la vie avec ce qu´elle comporte de ridicule
Colporter le sens dans l´absurde humanité
Descendre dans la rue au hasard d´une aménité,
Chanter juste pour les oiseaux fraternels
Pleurer sous les arbres à pensées éternelles
Aimer sans rancune avec Etre particules.