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ensemble baleine

„les analogies électives“(dixit Elodie)
irisés sont les reflets musicaux indigo
braises un jour de matin se consumant ailleurs
bourgeons verts apparus au parfum premier
ensemble improvisé réussit d´être réel.

Ensemble baleine
„eclésia“ les écluses se referment sur ses reins
besoin de baleine (ter) urbain relais serein
ensemble goûter voir comment se lier, se lit
car le camphre d´un espace visionné à plusieurs
bourgeons arrivés
embaume au premier vert la parure arrivée
à l´aurore „ravalée en amour d´air à chacune engorgée…
j´ai l´or embrasé embarrassé rouge gorge
j´aurai bu l´ambroisie promise à deux corps
savourer attendre l´hôte autre jusqu´à
l´aurore bue.
27-03-2010

L´âme mouvement
C´est dans le voyage que les choses se rêvent et vêlent
Les sens ré-associeés
Les gens à la légende lue
De provoqué poète
16-03-2010

Un chant décroché, décrochement de sens
25-04-2010

Carpe Domenica

Allongé au bord de Seine ensoleillée
Au pied des peupliers les corps sons relayés
Paris sur quai se peuple sous le printemps qu’agite
Légèrement le vent un dimanche sans âge quitte
La ville emparessée en rêveries anciennes
Un dimanche en sieste dont le vert jusqu’à sienne
Reprend ses droits de cité ravivé par la sève
Alangui au goût d´une salve avalée.
19-04-2010

Nouveau départ

Nouveau départ (cartographié) 31-03-20
Partir en fin de jour né éconduit de nuit
Suivre un ciel fuyant quand au terme meurt un soleil
Perdre espace autant qu´un temps s´amenuise
Rattrapper en mesure la véloce course scellée.

Un moment arrêté sur une aire passagère
Inconnu en un seul retrouvé assagi
Avoir allongé l´heure c´est se sentir âgé
Etre regardé ailleurs situé est agi.

Arrivée d´une étape jusqu’en ville endormie (Dijon)
Mont blanc entunellé aux flocons dans du morse
Réveils intermittents d´intempéries mordantes (Milano)
Matin milanais au ciel charriés de mi-rêves
Fraîcheur d´avril en poids de couverture hiver.

Météo variable entre monts boursoufflés
Entre Milan Florence le vent va pour souffler
Traverser Lombardie et Toscane en ondées
Successives et hardies d´un liontain à sonder
Que se rapproche ainsi la vallée sous ses fleurs.

Nature remparts aux moyens monts ceinture (14.24)
Firenze parant les invasions pluies venant de Turin.

Femme pays toscan aux rondes collines
Corporelles sous la voûte ensoleillée câline (17.33)
S´étend s´élargissant jusqu´aux hommes du Latium
Laissée au fond lascive des Abbruzzes atrium
Les routes horizon toutes mènent au Coliseum
Chemin d´éclaircie Rome finit à l´ouest collé. (17.54)

Lumière éclatée d´astre décliné en printemps
Rayons deux heures avant son couchant de plein temps
Nuancé sud été mer en ciel embarqué
De vaisseaux nuages naviguent en l´heure arquée
Quittant à nouveau ports et cités oubliées (18:55)
Vers là-bas où s´en vont photons partout biaisés.

La nuit conduit à Naples arrivant pour finir
Le trajet tout à pied dans ses entrailles si fines
(02-04-2010, 2.15)
digérant en silence les activités diurnes
après un transit pieux je pose ex voto l´urne
du parapet élu là à entendre rumeur
en pets d´intestin ventre en paix venelle humeur
di quartiere stella aux détours calmes murés.
(2.41)

Note au Benet:
L´étoile du quartier se drape des filtres fanions, après ces élections de drapeaux italiens, sous les falots suspendus au dessus de la ruelle
Vico Stella pendant que la lune au ciel sans étoile mais aux bateaux nuages nacrés s´est voilée de son halo descendant de pleine mer stagnante … en étant l´état du milieu de nuit au petit chat noir passant, buona notte.

Battements d’ailes

Battements d

Battements d’ailes

Battements d´ailes du printemps arrivant 15-03-2010
Les oiseaux batifolent embranchés dans les arbres
Les eaux ailées enlacent tout en terre dans leur bras
Les joies hautes toutes folles sifflent et se lient en liesse
Sautiller sur les toits, voir ressentir en ciel.

Les enfants poussent en cris en jouant le jour né
Les êtres se réveillent l´Âme d´un prémisse air
Béatitudes tombent en pluie première
Se lancer le printemps d´un élan enjoué.

(Remise en commun des sens synthèse d´arts)
Mis en commun les sens animent en arts synthèse
La sève instantanée d´âme phyto-synthèse
Remonte en corps de corps réveillant tous les sangs.

Délicates odeurs touchent et allaitent en narine
Entendre goûter voit les preux miels en primant
Si s´éveillent en naissance sens sous les Anges.

A la Marquise

Marquisards Chez Mesdames à la Marquise
REf:
De fortune, d´urgence insalubres s´échouent
Hôtel 2008 (bis), leur loyer résilié
Campings éco-construits (ter) sanitaires surpeuplés
201o logements.
Leit:
Parait,paraitrait-il
Qu´à Paris, l´hospitalité
Qui s´moque pas d´la charité,
naît il ou est-elle?
L´hôpital faute d´hospitalité
Vers où va l´printemps expulsé…
Paris, pas rien.

Trêve hivernale échue
Crèves sans toit et chut
Rêvez d´autres accueils
Verts au printemps que cueille
Pris rien qu´un temps au seuil
Pauvre et sans logis erres seuls
Jolis (bis) logements expulsables
Des logis expulsions inexpugnables.

Second tour et paris ne va plus
Sable en sol, rien ne vient si pas vus
Les surpris pris au dépourvu
De´s´faire déloger d´où vers
Habiter reste une affaire foncière.
Foncièrement si une cité sociétaire ne recoit plus
D´habitants modestes en son sein , soit plus
La terre est cher plus l´air rendant
Libre de circuler s´expulse en dehors,
soit plus l´indifférence dedans s´endort.
Sommes nous avec ou sans maison? (bis)
Hôtes `*a l´endroit particulier? Mais on sonne chez…

Bonté tombée

Bonté tombée 28-02-2010
La pluie en bonté tombe sans ombre bruit la nuit
Lui et elle font des boucles souples lunes lunatiques
Délayé et brassé sous lune aromatique
Tracé s´enracine un relais automatique.

Si ininterrompu il pleut nuit extérieure
Condensé intérieur luit un texte rieur
La pluie esssuie le corps des cieux essorés
Aux arbres en vague au vent souffle les pensées rossées.

Dans la nuit du lendemain jour 01-03-2010
Pleine lune échue l´autre ensoleillé
Nuit calme et chouette jouit au jour ailé
Deux astres se répondent d´une nuit au lendemain
Un entier équilibre comme un corps à deux mains
Du monde environnant.

Lieux communs comme un lieu
Ensemble semble un semblable commun
Comme un lieu lié entre tous inspirés
Texte d´ensembles
Contient du temps
Théâtre en est son espace
Il est là et présent.

Battement d´ailes 03-03-2010
De temps en temps d´oiseaux mémoriaux se souviennent
D´avoir été avant ancienne vie humaine
Ref leit:
Leurs grands disques percent l´ivresse
Sons m´ont attiré ailleurs.

Marius

Marius 30-01-2010
Marius est né
N´est réuni
Que dans un corps d´paix
D´aménité encore né.

Bienvenu à toi Marius
Qui a bien su
Arriver à l´issue
Maissonnée réussie
D´amour mu à suivre
D´air aria assuré.

Marius est né
A ri un cri sur
L´art d´être réuni
Au monde en âme sourire.

Bleu ciel d’hiver

L´année dernière est passée
Derrière l´actuelle ne sait pas
Encore de quoi est fait le prochain,
du proche au lointain,
un peu comme en ce moment ce train
en mouvement dans une large étreinte
bleu ciel d´hiver en campagne
allant jusqu´à la mer sa compagne.
L´état tendre entre ressenti
Voyage en saississanzt instants
D´âme ou rapsodie d´un sang
Commun en qui le sentiment sourit tant,
en éléments réunis transitant
dans un transport tissant
un espace accord d´espèce de sens.
Les choses ainsi se rejoingnent
D´instinct pour que s´éloignent
Regrets, nostalgie et mélancolie;
Et que se mêle l´an à l´eau qui
S´actionnent en présent sel.
Au soleil se prend celle
Oubliant le temps du trajet
Jeune à la fois très âgée
D´éternels chants intérieurs
Et au teint de jour trÈs rieur.
Là-bas règne à l´horizon
Une reine lueur jusqu´ici en oraison
Réminiscence d´un paysage mélopée
Transforme toutes les errances épopées
En roman composé harmonisant
L´arrivée au hâvre réunissant
Destination et destinée rêve réunissant

Septembre square

Septembre square 07-09-2009
Si le hasard en route se pose en espace vert vers
Les enfants à leur mère, tout en terre est verveine
Au soleil sieste thé une veine se déverse en déveine :

Transit Paris Nantes 29_08_2009
La route a vive allure s avallent les kilometres
D ocean en nuages vaisseaux d eau sans trome
Voyage imprevu blanc vers l atlantique estuaire
Silence celerite laisse coment se taire.

Au vaisseau vais-je aux eaux 02-10-2009
Sous la verrière hier l´été était resté
Est-ce l´envie de pleurer au ciel changeant d´automne
Qui va garder l´arrière lueur avant autant
Que la pluie charriera après un soleil d´est…

Vais je au vaisseau
Pour gouter les eaux
Musicales entre eux
Et faire un voeu

Des sons cris d´enfants ouvrent toit et verrière
Vers hier à demain s´en vient tout soi® varié
Besoin de Baleine urbain relais serein
Dans le ventr entre eux sert d eau à la ville pour ses reins.

Ca sert à quoi (bis); à rien
Détanches, détaches chacun d´un lieu
Au lieu d etre seul avec entre eux c´est mieux
Cithare ensemble
Si tare soit-il ca sert à quoi
A rien sinon qu a rentrer chez soi
Seul etre engage en ferveur.

Plaine de Vincennes
Un tronc abattu reste en vestige oublié
Sur la plaine de Vincennes aux corbeaux rassemblés,
un dernier soleil darde de ses rayons en biais,
la sève éteinte partant sans verte tige aubier.

L ´automne arrive nord est frais froid
L´odeur forte de terre monte…
D´automne indien en vingtième et unième
De dimanche dernier octobre „derrièrhier“
Siècle nouveau rétrograde d´arrières…
15-10-2009